Anonyme [1649 [?]], LE SILENCE AV BOVT DV DOIGT. , françaisRéférence RIM : M0_3674. Cote locale : A_7_41.

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            <note>Partie 1. Voir aussi A_7_42 (partie 2), C_10_13 (partie 1), C_10_14 (partie 2) et D_1_41 (partie 1)</note>
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            <interpretation><note><![CDATA[<p>Commentaire de Patrick Rebollar (2013-12-27 16:30:43)</p> <p>Notice Moreau : Deux parties, de 8 pages chacune. Pamphlet insolent et ordurier, surtout dans la seconde partie. Les amants de la reine sont Montmorency, Buckingham, Leganès et Mazarin, à qui elle avait été mariée par le père Vincent (de Paule). L'auteur prétend que Louis XIII ne s'était déterminé à faire mourir le duc de Montmorency que parce qu'il l'avait trouvé, un jour, aux pieds de la reine et lui baisant les mains. Il ne traite pas mieux les deux princesses de Condé que la régente. Parmi les amants de Claire Clémence, il nomme de Créquy le jeune. La première partie a été réimprimée dans la même année 1649, mais avec de nombreux changements. Les généraux de la guerre parisienne y sont rudement frondés. Au contraire, le paragraphe que l'auteur avait consacré au premier président dans la première édition, a disparu. Celui de la chancelière a quelques lignes de plus. Enfin voici ce qu'ont gagné le lieutenant civil d'Aubray et le lieutenant criminel : « Les femmes et l'argent leur font commettre mille injustices ; comme ils ont fait envers deux jeunes enfants orphelins, tant à cause de la haine que d'Aubray portoit à feu leur père, qu'à cause qu'ils ont imprimé contre Mazarin, leur dieu. Et pour trouver occasion de perdre cette pauvre famille, il a suborné leurs domestiques par argent, afin de faussement témoigner contre ces jeunes innocents et leur mère, âgée de 69 ans. La cour les voit maintenant à ses pieds, qu'ils demandent d'être délivrés des mains de ce tigre. » 
C'est de la veuve André Musnier et de ses deux enfants, Jean et François Musnier, que l'auteur entend parler ici. Guy Patin écrivait en effet à Spon, sous la date du 13 mai 1649, lettre XXXIXe, p. 210 du Ier volume : « On n'imprime plus ici de pièces mazariniques, tant le lieutenant civil a persécuté rudement les imprimeurs, dont même il y en a plusieurs encore dans les cachots ; et entr'autres, deux fils avec leur mère, nommée la veuve Meusnier, dont l'aîné a été condamné à être pendu, la mère à assister au supplice et bannie, après avoir eu le fouet par les carrefours, et l'autre fils aux galères. Ils en ont appelé à la cour, où l'on ne se hâte pas de les juger ; d'où l'on conjecture qu'on veut leur faire grâce, au moins ne les pas traiter si rigoureusement qu'a fait le lieutenant civil. »</p>]]></note></interpretation>
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