Dubosc-Montandré, Claude [?] [1650], LES ALARMES DE LA FRONDE, ET L’INSENSIBILITÉ des Parisiens, Sur les approche du Card. Mazarin. Ou les Frondeurs, & les bons François pourront voir qu’ils ont plus de subiet de craindre, que si l’Archiduc s’auançoit auec vne armée de cinquante mil hommes; & que Paris ne sçauroit le receuoir qu auec autant de danger, que d’ignominie, apres l’affront que ce Ministre a receu dans l’entreprise de Bordeaux, & le dessein qu’il a de se faire gouuerneur de Prouence. , françaisRéférence RIM : M0_59. Cote locale : B_13_30.
SubSect précédent(e)

SubSect suivant(e)

<?xml version="1.0" encoding="UTF-8"?>
<TEI xmlns="http://www.tei-c.org/ns/1.0">
   <teiHeader>
      <fileDesc>
         <titleStmt>
            <title>LES ALARMES DE LA FRONDE, ET L’INSENSIBILITÉ des Parisiens, Sur les approche du Card. Mazarin. Ou les Frondeurs, & les bons François pourront voir qu’ils ont plus de subiet de craindre, que si l’Archiduc s’auançoit auec vne armée de cinquante mil hommes ; & que Paris ne sçauroit le receuoir qu auec autant de danger, que d’ignominie, apres l’affront que ce Ministre a receu dans l’entreprise de Bordeaux, & le dessein qu’il a de se faire gouuerneur de Prouence. </title>
            <respStmt>
               <resp/>
               <name/>
            </respStmt>
         </titleStmt>
         <editionStmt>
            <edition>
               <date>1650</date>
            </edition>
         </editionStmt>
         <extent>24</extent>
         <publicationStmt>
            <distributor>
          Equipe Marazinades
        </distributor>
            <address>
               <addrLine>Université Nanzan</addrLine>
               <addrLine>Yamazato-cho 18</addrLine>
               <addrLine>Showa-ku</addrLine>
               <addrLine>Japon</addrLine>
            </address>
            <idno type="source_fichier"/>
            <idno type="cat_moreau">M0_59</idno>
            <idno type="cat_mazarinades">B_13_30</idno>
         </publicationStmt>
         <notesStmt>
            <note/>
         </notesStmt>
         <sourceDesc>
            <bibl>
               <author>Dubosc-Montandré, Claude [?]</author>
               <editor/>
               <title>LES ALARMES DE LA FRONDE, ET L’INSENSIBILITÉ des Parisiens, Sur les approche du Card. Mazarin. Ou les Frondeurs, & les bons François pourront voir qu’ils ont plus de subiet de craindre, que si l’Archiduc s’auançoit auec vne armée de cinquante mil hommes ; & que Paris ne sçauroit le receuoir qu auec autant de danger, que d’ignominie, apres l’affront que ce Ministre a receu dans l’entreprise de Bordeaux, & le dessein qu’il a de se faire gouuerneur de Prouence. </title>
               <imprint>
                  <pubPlace>[s. l.]</pubPlace>
                  <publisher>[s. n.]</publisher>
                  <date>1650</date>
               </imprint>
               <extent/>
            </bibl>
         </sourceDesc>
      </fileDesc>
      <encodingDesc>
         <samplingDecl/>
         <editorialDecl>
            <correction>
               <note/>
            </correction>
            <normalization/>
            <quotation marks="all" form="std"/>
            <hyphenation eol="none"/>
            <interpretation><note><![CDATA[<p>Commentaire de Patrick Rebollar (2013-02-14 02:11:34)</p> <p>Notice Moreau : Une des plus mauvaises pièces du pamphlétaire le plus fécondde la Fronde, Dubosc Montandré. On raconte que Montandré reçut des coups de bâton ou, suivant l'expression du P. Lelong, eut le visage écharpé par l'ordre du prince de Condé qu'il avait odieusement déchiré dans un libelle. Il jura de se venger, protestant de ne se laisser arrêter par la crainte d'aucun châtiment. Le prince qui en fut averti, jugea à propos de l'adoucir par quelque prévenance ; et, de ce moment,
la plume vénale de Montandré lui fut acquise. Cette anecdote peut être vraie ; mais ce qui est plus vrai, c'est que le libelle dont le prince aurait si fort ressenti l'injure, est demeuré parfaitement inconnu. On n'en sait pas même le titre. 
Je crois plutôt que l'anecdote n'a pas d'autre fondement qu'un récit inexact du cardinal de Retz. (Voir "A Monseigneur Charles de Lorraine, duc d'Elbeuf" [M0_3], etc.) Les pièces nombreuses que Montandré a publiées dans le cours des années 1650, 1651 et 1652, sont toutes à la louange et pour la défense du prince de Condé. On n'en compte pas moins de cinquante-trois ; mais il y a des erreurs évidentes. D'abord il faut retrancher de la liste le "Manifeste de l'auteur du manifeste de M. le
prince" [M0_2355], qui est de Mathieu Du Bos. Les "Paradoxes d'État" [M0_2677] ne sont autre chose que le "Tombeau du sens commun" [M0_3784], que personne n'attribue à Montandré et qui n'est pas de lui. La troisième partie de "l'Aveuglement de la France" [M0_464], a été ajoutée par un anonyme que le succès des deux premières avait alléché. Il est fort douteux que Montandré soit l'auteur de "l'Apologie de Messieurs du parlement" [M0_103], qui n'est ni de son style ni dans sa manière. Quand le "Manifeste du cardinal de Mazarin" [M0_2390] a paru, la paix était faite sans doute entre le prince de Condé et les deux chefs de la vieille Fronde ; mais malgré cela Montandré aurait-il bien écrit toutes ces flatteries qui s'adressent à l'orgueil du coadjuteur ? Surtout aurait-il attendu de publier la "Suite du Manifeste" pour faire l'éloge du prince de Condé ? 
Mazarin avait quitté la France ; Condé commençait à laisser voir sa répugnance pour le mariage de son frère avec Mademoiselle de Chevreuse. On peut croire d'ailleurs que le "Manifeste" et sa "Suite" ne sont pas de la même main. Enfin le "Plaidoyer de la maison royale" [M0_2773] est une réimpression, avec un titre nouveau, du "Rapporteur des procès d'État" [M0_2977]. 
Ce sont donc quatre pièces qu'il faut retrancher certainement, trois encore très-probablement. Il en restera quarante-cinq. 
Montandré en avoue trente-quatre. Dans le "Courtisan désintéressé" [M0_939], il dit qu'il a publié pour la liberté des princes « la "Satyre des satyres" [M0_3589], aussitôt leur arrestation ; la "Résolution politique" [M0_3515], les "Aveuglement[s] de la France" [M0_465] et le "Discours d'État" [M0_1107], après la bataille de Réthel ; le "Caractère du tyran" (le Vrai caractère) [M0_4066], les "Allarmes de la Fronde" au retour de Bordeaux ; la "Pièce curieuse" [M0_2757], le "Conseiller d'État" (sans fourbe) [M0_763], pour le transfert au Havre ; les "Convulsions de la monarchie" (les Dernières convulsions) [M0_1032], le "Censeur monarchique" (les Décisions du) [M0_872] sur la requête de Madame la princesse ; et le "Politique royal" [M0_2816]. » 
Les autres pièces que Montandré reconnaît pour lui appartenir, sont : 1° La "Franche Marguerite" [M0_1447] ; 2° le "Point de l'ovale" [M0_2808] ; 3° la "Décadence visible de la royauté" [M0_866] ; 4° le "Tu autem" [M0_3900] ; 5° le "Coup de partie" [M0_806] ; 6° le "Contre-coup du Coup de partie" [M0_786] ; 7° "l'Exorciste de la reine" [M0_1332] ; 8° le "Manuel politique" [M0_2407] ; 9° "l'Excommunication politique" [M0_1324] ; 10° le "Formulaire d'État" [M0_1401] ; 11° le "Caducée d'État" [M0_617] ; 12° le "Coup d'État du parlement des Pairs" [M0_802] ; 13° le "Royal au Mazarin" [M0_3561] ; 14° "l'Avocat général" [M0_733] ; 15° "l'Apocalypse de l'État" [M0_98] ; 16° le "Rapporteur des procès d'État" [M0_2977] ; 17° "l'Anatomie de la politique du coadjuteur" [M0_83] ; 18° le "Dépositaire des secrets d'État" [M0_1006] ; 19° "l'Écueil de la royauté" [M0_1183] ; 20° et 21° la "[Véritable] Relation" [M0_3947] et la "Seconde relation de ce qui s'est fait et passé au siége d'Angers" [M0_3620], etc. J'ai suivi l'ordre chronologique qui résulte des indications de Montandré lui-même excepté pour les deux dernières pièces. 
Voici comment. Il paraît que les pièces de Montandré avaient un très-grand succès ; au moins se plaint-il plusieurs fois avec colère de ce que l'on usurpe la méthode de ses titres pour tromper la curiosité du public. D'abord il se contente de renier les pièces qu'on lui attribue à tort, comme la "Discussion" [M0_1154], la "Cautèle[s]" [M0_659] et le "Caton français" [M0_655], dans le "Coup de partie". Puis il indique les pamphlets qu'il a composés, par exemple, dans le "Formulaire d'État". C'est ainsi que j'ai pu suivre la série de ses publications depuis la "Franche Marguerite" jusqu'à "l'Écueil de la royauté". Cette dernière pièce et le "Dépositaire des secrets d'État" sont signées D'Orandre. 
Restent douze pièces qui ne sont point avouées et sur lesquelles la controverse est encore ouverte. Ce sont : 1° le "Déréglement de l'État" [M0_1009] ; 2° le "Nœud de l'affaire" [M0_2531] ; 3° le "Philosophe d'État" [M0_2751] qui a paru aussi sous le titre de "l'Homme d'État" [M0_1656] ; 4° le "Discours de l'autorité que les oncles des rois de France" [M0_1113], etc. 5° le "Discours important sur l'autorité des ministres" [M0_1125] ; 6° les "Pressantes conjurations d'un très-dévot exorciste français" [M0_2861] ; 7° "l'Aveuglement des Parisiens" [M0_467] ; 8° la "Vérité prononçant ses oracles sans flatterie" [M0_3998] ; 9° la "Vérité continuant de prononcer ses oracles" ; 10° "l'Esprit de vérité représentant nuement la puissance et l'autorité du roi" [M0_1283] ; 11° le "Sceptre de France en quenouille" [M0_3598] ; 12° "l'Esprit de guerre des Parisiens" [M0_1282], etc. 
Montandré était le pamphlétaire à gages du prince de Condé. C'est lui qui soutint les plus grands efforts de la lutte contre le coadjuteur après la fameuse retraite de ce prélat en 1651. On sait que cette guerre de plume dura trois ou quatre mois avec beaucoup de chaleur. « Le pauvre Montandré s'était épuisé en injures, dit le cardinal de Retz dans ses "Mémoires" ; et il est constant que la partie n'était pas égale pour l'écriture. » Assurément je ne veux comparer Montandré ni avec Gondy, ni avec Patru, ni même avec Joly ou Portail ; mais il ne faut pas croire que le coadjuteur ait constamment eu les rieurs de son côté. Ce qu'il y a de plus vrai à dire sur cette polémique, c'est que les deux partis avaient presque toujours raison dans leurs attaques et presque toujours tort dans leurs défenses. Il est incontestable d'ailleurs que Montandré qui cite les pères de l'Église, les poëtes latins, les controversistes, les annalistes de France, est pourtant, suivant l'expression du cardinal de Retz, un méchant écrivain. Son plus grand mérite était d'écrire avec une abondance et une facilité déplorables. Le "Coup d'État du parlement des Pairs", qui ne compte pas moins de trente-deux pages in-quarto, d'un caractère très-fin, a été composé en un jour. 
Je suis fâché qu'on puisse établir avec quelque fondement une certaine solidarité entre le prince et le libelliste. "L'Apocalypse de l'État" n'est pas seulement un mauvais pamphlet, il est surtout une mauvaise action. Il ne convenait pas au prince de Condé qu'on écrivît en son nom les lignes qui suivent, contre la mère du roi : « N'accusons pas la reine ; ses inclinations sont débauchées ; ses sentiments sont violentés ; son imagination est renversée ; son esprit est troublé ; son jugement est ébranlé ; ses sens sont tous (sic) effarés ; enfin elle est possédée par Mazarin, » ("l'Exorciste de la reine"). 
Montandré termine la démonstration de chacun des quatre points de la "Franche Marguerite" par cet abominable refrain : « Vive Dieu ! vive le roi ! point de Mazarin ! point de Mazarins ! point de Mazarines ! main basse sur cette maudite engeance ! point de quartier ! Tue ! Tue ! Tue ! » Et dans le "Point de l'ovale" : « Faisons carnage sans respecter ni les grands ni les petits, ni les jeunes ni les vieux, ni les mâles ni les femelles, afin que même il n'en reste pas un seul pour en conserver le nom. Allarmons tous les quartiers, tendons les chaînes, renouvelons les barricades, mettons l'épée au vent, tuons, saccageons, brisons, sacrifions à notre vengeance tout ce qui ne se croisera pas pour marquer le parti de la liberté. » Les bourgeois de Paris ont dû se rappeler ces paroles atroces le jour de l'incendie de l'hôtel de ville. 
Le parlement s'émut à la publication de ces odieux libelles. Le 27 mars 1652, la Grande chambre, la Tournelle et la chambre de l'édit réunies déclarèrent la "Franche Marguerite" et le "Point de l'ovale" méchants, séditieux ; tendants à séditions, remplis de maximes et discours abominables ; en conséquence elles ordonnèrent qu'ils seraient brûlés au pied du grand escalier du palais par l'exécuteur de la haute justice ; ce qui fut exécuté le même jour. Elles firent défense à toutes personnes de les vendre, débiter ou publier à peine de la vie, même de les garder ou retenir sur telles peines qu'au cas appartiendrait. 
Cet arrêt rendit Montandré un peu plus sage. Je vois même dans le "Tu autem" quelques phrases qui sont apparemment des essais de justification ; celle-ci, par exemple, qui n'est pas très-claire : « Les séditions n'ont jamais rien valu ; mais les états se sont quelquefois bien trouvés de leurs soulèvements. » Et cette autre qui ne laisse pas que d'être ingénieuse : « Si je voulais exhorter le monde à un soulèvement, je n'y voudrais inviter que ceux qui le haïssent le plus, pour empêcher les extrémités auxquelles on se porte pour l'ordinaire lorsqu'on n'y voit que les coquins. » 
Il est assez difficile de dire quelle était la politique de Montandré. Pamphlétaire aux gages du prince de Condé, il écrit dans le "Point de l'ovale" : « Voyons que les grands ne sont grands que parce que nous les portons sur nos épaules ; nous n'avons qu'à les secouer pour en joncher la terre. » Dans le "Rapporteur des procès d'État" il prétend que les princes sont « les assesseurs essentiels de la royauté. » Au moins cela est dans son rôle. Après avoir cité les exemples de Pépin et de Hugues Capet qu'il suppose appelés au trône par les États généraux, il ajoute : « Voilà le pouvoir des États, et le voilà au-dessus de celui des rois qui ne peuvent avoir que des soumissions et des respects pour les lois fondamentales, cependant que les États peuvent légitimement les enfreindre même par le seul motif de leur passion, puisque Hugues Capet ne fut placé sur le trône qu'ensuite de l'aversion que les François conçurent contre le légitime héritier de leur couronne... » (Le "Formulaire d'État"). C'est la souveraineté du peuple ; mais attendez : « Comme la monarchie avoisine le plus la divinité, est-il dit dans la "Décadence visible de la royauté", aussi faut-il que tout homme raisonnable la tienne pour la moins illégitime. Les républiques sont des imitations ou des expressions parfaites de la révolte des anges ; et ceux qui les favorisent, symbolisent avec les premiers mutins. » Que faut-il pour aller de là à la monarchie absolue ? Mais un peu plus loin Montandré se ravise. « L'État françois, dit-il, ne condamne point l'aristocratique ; mais il le soumet au monarchique. Si ce dernier voulait être indépendant jusqu'à ne vouloir déférer en rien à l'aristocratique, c'est-à-dire à la conduite des plus proches de la couronne ou des plus sages établis par leur participation, il serait despotique ou tyran ; et, par conséquent, il faudrait s'en défaire. » 
Si l'on tient à trouver l'unité dans ces théories discordantes de Montandré, on devra penser peut-être qu'il voulait que le peuple fût tout juste assez souverain pour pouvoir donner la couronne au prince de Condé. Dans ce cas il aurait singulièrement devancé son siècle, pour me servir d'une expression fort commune aujourd'hui ; et nous devrions reconnaître qu'on n'a pas tout inventé de nos jours. Il resterait à savoir quelle part le prince de Condé avait aux pensées, aux espérances peut-être de Montandré. 
Les pièces de cet écrivain seraient assez intéressantes à étudier de ce point de vue mais il n'est pas toujours facile d'en avoir une collection bien complète. Il paraît que Montandré crut devoir quitter la France avec le prince de Condé en 1652. On le voit en 1656 dédier à messieurs du chapitre de Liège la "Vie de Saint Lambert" qui ne parut cependant que l'année suivante. Sorti avec le prince, il ne rentra qu'avec lui après la paix des Pyrénées. Il s'occupa alors d'études sérieuses. Il publia successivement la "Suite des ducs de la Basse-Lorraine" et "l'Histoire et la politique de la maison d'Autriche", ouvrages pour lesquels il avait obtenu un privilège le 30 janvier 1662. Le second est dédié par trois lettres différentes au roi, à la reine et à la reine-mère. 
Ce retour à des habitudes plus calmes n'empêcha pas, que par précaution, il ne fut mis à la Bastille en 1667, à l'occasion de la guerre des Pays-Bas, et en 1672, après la déclaration contre la Hollande. On dit que sur la fin de sa vie il fut obligé de faire des sermons pour subsister. Ce travail ne lui fut pourtant pas très profitable ; car il est mort pauvre à quatre-vingts ans passés. </p>]]></note></interpretation>
         </editorialDecl>
         <classDecl>
            <taxonomy xml:id="mots_cles_generaux_equipe_mazarinades">
               <bibl/>
            </taxonomy>
            <taxonomy xml:id="genre_equipe_mazarinades">
               <bibl/>
            </taxonomy>
            <taxonomy xml:id="ideo_equipe_mazarinades">
               <bibl/>
            </taxonomy>
         </classDecl>
      </encodingDesc>
      <profileDesc>
         <creation>
            <date>2013-02-15 13:33:25</date>
         </creation>
         <langUsage>
            <language>français</language>
         </langUsage>
         <textClass>
            <keywords scheme="mots_cles_generaux_equipe_mazarinades"/>
            <keywords scheme="genre_equipe_mazarinades"/>
            <keywords scheme="ideo_equipe_mazarinades"/>
         </textClass>
      </profileDesc>
      <revisionDesc>
         <change when="" who="sys">Première importation du fichier</change>
      </revisionDesc>
   </teiHeader>
   <text>
      
   <body><pb n="1"/>
SubSect précédent(e)

SubSect suivant(e)


Dubosc-Montandré, Claude [?] [1650], LES ALARMES DE LA FRONDE, ET L’INSENSIBILITÉ des Parisiens, Sur les approche du Card. Mazarin. Ou les Frondeurs, & les bons François pourront voir qu’ils ont plus de subiet de craindre, que si l’Archiduc s’auançoit auec vne armée de cinquante mil hommes; & que Paris ne sçauroit le receuoir qu auec autant de danger, que d’ignominie, apres l’affront que ce Ministre a receu dans l’entreprise de Bordeaux, & le dessein qu’il a de se faire gouuerneur de Prouence. , françaisRéférence RIM : M0_59. Cote locale : B_13_30.