Sandricourt,? de [?] [1652], LE VISAGE DE LA COVR, ET LA CONTENANCE DES GRANDS, AVEC LEVR CENSVRE. ET Le Dialogue du Roy, & du Duc d’Anjou, Auec la Mamman. EN PROVERBES. , françaisRéférence RIM : M0_4033. Cote locale : B_3_14.
DIALOGVE DV ROY, ET DV DVC D’ANIOV, AVEC LA MAMMAN. Le Roy. IL y mange bien des mousches qui Le Duc d’Anjou. Il n’en faut croire ny La Reyne. Qui folle par conseil, ne folle Le Roy. Les vrays amis sont bien rares. La Royne. Encore s’en peut-il trouuer vn Le Roy. Mon Cousin le Cardinal n’en est-il Le Reyne. Vous deuriez baiser la terre par Le Roy. Mamman, Vous allez vn peu bien Le Reyne. Vostre Majesté ne le connoist Le Roy. Ie le cognois tant, que ie ne l’en
La Reyne. Vous voyez ce qu’on vous fait Le Roy. Et ie sçay ce que vous faites quand La Reyne. Vous en sçauez beaucoup, ie ne Le Roy. Ie ne dis mot, mais ie n’en songe La Reyne. Ie vous conseille de ne rien garder Le Roy. Tout vient à temps, qui peut attendre. Le Duc d’Anjou. Mamman, Monsieur le La Reyne. Ces Badins me donneront bien
enseignent à la Pie à faire son nid ; mais n’importe,
FIN. |
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Sandricourt,? de [?] [1652], LE VISAGE DE LA COVR, ET LA CONTENANCE DES GRANDS, AVEC LEVR CENSVRE. ET Le Dialogue du Roy, & du Duc d’Anjou, Auec la Mamman. EN PROVERBES. , françaisRéférence RIM : M0_4033. Cote locale : B_3_14.