Sarasin, Jean-François [?] [1649], LA POMPE FVNEBRE DE VOITVRE. AVEC LA CLEF. , français, latin, espagnol, italienRéférence RIM : Mx. Cote locale : C_6_60.
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S’ENSVIT LA TABLE DES CHAPITRES
de la grand’Chronique du noble Vetturius.

1 Du grand & horrible combat de Vetturius contre
Brun de la Coste, & comme Vetturius fit sa priere
au Dieu Mars, qui ne luy seruit de rien.

1 Contre Mr
de la Coste
pour le ieu.

CHAPITRE I.

Comme le Comte 2 Guicheus, le Cheualier de la
Mouche 3 & le Gentil Arnaldus Gabans entr’eux trois
enuoyerent par vn Menestrel ioyeusetez rimées à
Vetturius, & sa response.

2 Monsieur le
Mareschal de
Grammont.

3 Monsieur le
Contre de S.
Aignan l’vn
des Capitaines
des Cardes de
Mõsieur d’Orleans,
qui a
tousiours vne
mouche.
Monsieur Armault :
vn Menestrel,
vn Menestrier.

CHAP. II.

Comme Vetturius arriua à la Cour de la Reyne
Lionnelle de 4 Galle, comme il en deuint amoureux,
& comme il en fut chassé par les menées de Hunault
d’Armorique & de Rousselin de Grenade.

4 Madame
Saintot, ainsi
nõmée, à cause
de Gaillonnet,
maison de son pere : Hunault, Mr. de la Hunaudaye deBretagne, Roussielin deGrenade
Bensserade qui est roux, & qui à cause de la ressemblance de son nom, se dit des
Abencerrages.

CHAP. III.

-- 16 --

Du prodigieux spectacle qui apparut dans les
iardins du Palais de la sage 5 Artenice. Comme Vetturius
y fut blessé par bon 6 Luitton qui les gardoit
& qu’il combattit aux flambeaux.

5 L’Hostel de
Rambouillet.
Attenice, c’est
Catherine.
Elle s’appelle
Catherine de
Viuonne.

6 Luitton pour
lutteur, c’est à
dire cõbattant.

CHAP. IV.

Comme apres la mort de Hunault d’Armorique,
Lionelle vint visiter Vetturius chez vn 7 vauasseur, où
il estoit au lict gisant de ses playes, comme il la mesprisa,
& comme estant guery il fut à la conqueste de
la Lyonne 8 du Temple marescageux.

7 C’est icy vn
Hobereau, anciennement
c’estoit vn arriere-Bassal,
c’est-à-dire vn
Gentil-hommeau
Vassal
du Vassal d’vn
grãd Seigneur.

8 Mademoiselle
Paulet qui
loge au Maris
du Temple,
lyonne à cause
de son courage
& de ses cheueux
dorez.

CHAP. V.

Comme Vetturius entreprit la conduitte de la
Reyne de 9 Sarmatie iusques au Chasteau des Peronelles,
& comme Lyonelle l’y suiuit dans le Char de
l’Enchanteur 10 Fiacron.

9 La Reyne de
Pologne.
Il la suiuit iusqu’à
Peronne
cõme Maistre
d’Hostel du
Roy.

10 Vn carrosse
de loüage, on
les appelle des
Fiacres, à cause
de l’Image S.
Fiacre, où il y
en a beaucoup.

CHAP. VI.

De la Cour pleniere que tint le Duc 11 Grauelinot,
où Vetturius introduisoit les Nains & autres Messagers,
comme il seruoit au manger deuant l’Empereur
de Lutece : & comme son premier Tresorier
luy bailla en garde son Aumosniere.

11 Mr d’Orleans qui a pris Graueline. Lutece, Paris. Mr d’Auaux Sur-intendant
des Finances, le fit son premier Cõmis. aumosniere, bourse.

CHAP. VII.

Comme 12 Cazalie fut deliurée mains du Geant
Gerion, par Herculin d’Austrasie, & de noble
Chronique que Vetturius en compila.

12 Cazal secouru par Hercule de Lorraine, c’est Monsieur le Comte de Harcourt.

CHAP. VIII.

-- 17 --

Comme Vetturius sacrifia au Temple de la Diuine
13 Aplanie : & comme il y graua les vertus du
Prince Porphirogene 14 & de la belle Megalopolie
sa sœur.

13 Madame la
Princesse la
Doüairiere à
cause de la deuise
de Mont-morancy
APLANOS, sincerement.

14 Mr le Prince
& Madame
de Longueuiile.

CHAP. IX.

D’vne lettre que l’incomparable 15 Germanicus
& deux siens Cheualiers escriuirent à l’Illustre Iulie :
& comme le genereux Osiermont d’Alsace se
reposa de la response sur la Clergie de Vettutius, qui
moult noblement s’en acquitta.

15 Mr le Prince
Monsieur de la
Moussaye &
Mr. Arnaut
escriuirent en
Vers à Mr de
Montozier,
Oziermont,
Montozier,
Gouuerneur
d’Alsace.

CHAP. X.

Comme Vetturius arriua au Palais des Pees, où il
deuint carpe, d’vn merueilleux brochet 16 qu’il y
trouua, qui auoit vaincu tous les poissons de la mer,
& comme en presence de la Nymphe Galatée le brochet
en fit son compere.

16 Cela est
sondé sur la
lettre de la
Carpe, ils auoient
ioüé au
jeu des poissons,
où Mr le
Prince estoit
le brochet.

CHAP. XI.

Comme Vetturius composa mains Lays, & au
dernier le 17 Lay de la fiévre qu’il harpa en presence
de Germanicus au Tournoy des neuf preux : Et comme
apres auoir ramentû les hauts faits de Germanicus,
les neuf Preux l’assirent au dixiesme siege,
surnommé par Merlin le siege d’accomplissement
de Cheualerie.

17 La piece sur
la maladie de
Mr le Prince
qu’il recita à
Chantilly, où
Mr le Prince
& sa Cour
couroient la
bague.

CHAP. XII.

C’est là en somme ce que contenoit la matiere de
ce Romant a laquelle M. François Rabelais auoit adjousté

-- 18 --

six Chapitres par la permission de ses deuanciers,
dautant, disoit il, qu’il estoit bien aise de s’acquiter
aussi bien qu’eux des honneurs qu’il auoit reçeus
du mort, & que les choses qu’il auoit à adiouster
ne se pouuoient bonnement escrire qu’en stile
Pantagruelique, ces Chapitres apprenoient,

 

Comme Vetturius cribloit de nuit dans l’Vniuersité
d’Orleans, & comme vn matois Normand 18 luy
couppa les doigts.

18 Le President
des Hameaux
contre
qui il s’estoit
battu en duel.

CHAP. XIII.

Comme vn Esprit folet emporta Vetturius au
Royaume des Alphabets, 19 où il accorda les lettres :
Comme il en fut remercié par le Roy Tarin 20 de
Grammaire, & comme il entretint la Prophete
Bdel-neufgermicopsant 21 en son patois.

19 C’est la
piece où quelque
lettres se
plaignent de
de n’entrer pas
dans le nom
de Neuf-germain.

20 Tarin Professeur
en Eloquence.

21 Neuf-Germain.

CHAP. XIV.

Comme Vetturius arriua en l’Isle des Mensonges,
où il s’amouracha de la belle Extraordinaire,
22 fille de Nasin de Gazette, Dinaste 23 du pays. Cõme
les Archiues luy en furent monstrées, où il ne vit
qu’histoires Hebdomadaires, 24 qui ne contenoient
que billeuesees.

22 La fille de
Renaudot le
Gazetier

23 Dinaste
Prince, Nasin,
pour sõ nez en
pied de marmite.

24 D’vne sepmaine,
tous
les Samedis.

CHAP. XV.

Comme vetturius apprenoit aux 25 Nouueaux
Mariez ce qui s’estoit passé entr’eux le iour de leurs
nopces.

25 Dans la lettre
à Monsieur
de Colligny.

CHAP. XVI.

-- 19 --

Comme Vetturius se battoit nuict & iour, 26 &
de l’Edict des duels qui n’estoit pas fait pour luy.

26 La Reyne
dit quand elle
sceut que Voiture
s’estoit
battu que l’Edict,
&c.

CHAP. XVII.

Comme Vetturius emprunta 27 le cornet & les
dez de Bridoye, dont il ne pût trouuer chanse : &
comme il sembloit niaiser, & pourtant n’estoit grain
niais.

27 Il ioüoit &
perdoit, il auoit
la mine
niaise.

CHAP. XVIII.

Ces Romanciers estoient suiuis d’vne trouppe de
bonnes gens, se lamentans pitoyablement, C’estoit
nos vieux Poëtes que Voiture auoit remis en
vogue par ses Balades, ses Triolets & ses Rondeaux,
& qui par sa mort retournoient dans leur ancien
descry : Marot qui sur tout luy estoit le plus obligé,
se plaignant plus fortement que les autres, & à demy
desesperé leur chantoit cette Balade.

BALADE.

 


Maistre Vincent nous auoit retirez,
Par ses beaux vers faits à nostre maniere,
Des dents des vers nos ennemis iurez
Du long oubly d’vne sale poussiere.
Comme iadis nous tenions cour pleniere,
Tout gentil cœur composoit vn Rondeau,
Vieille Balade estoit vn fruict nouueau,
Les Triolets auoient grosse pratique,
Tout nous rioit, mais tout est à vau-leau,
VOITVRE EST MORT A DIEV LA MVSE
ANTIQVE.

-- 20 --


Bien est raison que soyons esplorez
Quand Atropos la parque safraniere
En retranchant les beaux filets dorez
Où tant se plut sa sœur la Filandiere
A fait tomber Voiture dans la biere :
Bien nous faut-il prendre le chalumeau
Et tristement ainsi qu’au Renouueau,
Le Rossignol au boccage rustique
Chacun chanter en pleurant comme vn veau
VOITVRE EST MORT ADIEV LA MVSE
ANTIQVE.

 

 


Or nous serons par tout deshonorez,
L’vn sera mis en cornets d’espiciere,
L’autre exposé dans les lieux esgarez
Où les mortels d’vne posture fiere
Luy tourneront par mespris le derriere,
Plusieurs seront balayez au ruisseau,
Maint au foyer trainant en maint lambeau
Sera bruslé comme vn traistre heretique,
Chacun de nous aura part au gasteau,
VOITVRE EST MORT ADIEV LA MVSE
ANTIQVE.

 

ENVOY.

 


Prince Apollon vn funeste corbeau,
En croassant au sommet d’vn ormeau,
A dit trois fois d’vne voix prophetique
Bouquins, bouquins r’entrez dans le tombeau
VOITVRE EST MORT ADIEV LA MVSE
ANTIQVE.

 

La Deesse Badinerie suiuoit les Auteurs, sa tristesse
paroissoit badine, & elle estoit aceompagnée
du vieux badin que vous connoissez.

-- 21 --

 


Il me semble que ie le Voy
De noir comme vn Page vestu
En sa nouuelle tablature
Cherchant trois rimes à Voyture.

 

 


Il cheminoit en ce convoy
Le front ridé, l’æil abbatu
La barbe iusqu’à la ceinture
Triste du trespas de Voiture

 

Neuf-Germain
qui fait
des Vers, les
syllabes du
nom de celuy
pour qui il les
fait seruant de
rimes.

Cet homme menoit Pegaze en main, & ce cheual
venoit là, par ce que comme Voiture estoit petit
il auoit accoustumé de s’agenoüiller badinement
toutes les fois qu’il vouloit monter dessus. Le pauure
cheual marchoit auec grand peine, tant il auoit
les jambes de derriere gorgées de ces eaux qui luy
descendent incessamment, & qui se sont tellement
corrompues sur sa vieillesse, qu’enfin elles ont fait
vn vilain marais au pied du Parnasse, & produit
toutes les grenoüilles poetiques dont nous sommes
persecutez.

 


Comme vn vieux cheual de renvoy
Maigre, harassé, courbatu
Venoit la debile monture
Aux funerailles de Voiture.

 

Son corbeau & son chien y venoient aussi, le
corbeau iettoit des cris pitoyables, & le chien ne
disoit mot, au contraire, il marchoit fort pensif, &
tenoit la queue entre les iambes : On s’estonna fort
de n’y voir point le 2 Grillon, le Hibou, la Tortuë,

-- 22 --

& la Taupe, à qui Voiture auoit donné l’immortalité
dans ses ouurages, & qui à moins d’vne estrange
ingratitude ne pouuoient luy refuser les derniers
deuoirs : Mais le miserable estat où le desespoir de
cette mort les auoit reduits, & dans lequel ils sont
encore, les deuoit bien excuser : vous aurez peine à
croire ce que ie vous en vais dire, & vous ne vous
imagineriez iamais les choses que leur douleur les
force de faire, si vn autre que moy vous les racontoit,
Mais ie vous les garantis vrayes, & ie les sçay d’original.

 

1 Il auoit vn
corbeau & vn
chien.

2 On enuoya à
Mr Esprit pour
estresnes vn
grillon, vn hibou,
vne
& vne taupe,
& Voiture
fit des Vers sur
cette galãterie.

 


Le Grillon saisi de douleur,
Voulant mourir en ce malheur,
S’estoit cheminant sur les pistes
Des anciens Gymnosophistes,
Au trauers des flammes ietté,
Et dans vn four precipité :
Mais tous ces amis qui coururent,
A point nommé le secoururent,
Lors que les ardeurs du fourneau
Commençoient à griller sa peau :
Maintenant contre son enuie
Forcé de conseruer sa vie.
Gardé des siens, plein de courroux,
Il se renferme dans les trous,
Et pres des fours fait sa demeure,
N’attendant là sinon quelque beure
Que les gens ne s’en doutent pas,
Afin de courir au trespas,
Monstrant par vne voix dolente
Qu’empescher sa fin violente,
Luy cause vn immortel ennuy,
Et portant tousiours auec luy
Sur sa peau plus noire que meûre,

-- 23 --


D’illustres marques de bruslure,
Comme autrefois on remarque
La femme du grand Seneca,
Portant sur son visage pasle
Des marques d’amour coniugale.
Le Hibou l’vnique soulas,
Et les delices de Pallas,
Qui deuant que le bon Voiture
Eust suby la loy de nature,
Ne recherchoit que l’entretien
Du gentil peuple Athenien,
Maintenant, dent chacun s’estonne,
Ne voulant frequenter personne,
Melancholique, songe-creux,
D’vn esprit fantasque & bideux,
Soubs des toicts remplis d’araignées
Ou dans des forests esloignees,
Il fuit la lumiere du iour,
Et lors que la nuit à son tour,
Couure l’Vniuers de tenebres :
Il pousse mille cris funebres,
Songeant seulement à gémir
Sans se coucher & sans dormir
D’ailleurs la discrette Tortue
Pleine de l’ennuy qui la tue,
De voir dans la tombe enfermé
Le mortel qu’elle a tant aymé
Pour cacher sa douleur secrette,
De crainte que l’on n’en caquette,
Choisit sa petite maison,
Comme vne eternelle prison,
Et la seule veufue & depite,
Ne recoit aucune visite,
De la vient qu’assez à propos
Le monde dit que sur son dos
Elle portera sa demeure,
Iusques au moment qu’elle meure

-- 24 --


Sans s’en esloigner tant soit peu
Quand mesme on y mettroit le feu,
Et sans desormais plus paraistre,
Qu’vn peu la teste à la fenestre :
Mais on tient pour tout asseuré,
Que la Taupe a si fort pleuré
Qu’enfin elle a perdu la veue.
Qu’elle dit qu’elle est resolue
De porter tousiours le grand deuil
Et pour rencontrer le cercueil
Qui la fameux Voiture enserre
De fouiller par toute la terre
Cherchant sur tout dans les jardins
Comme croyant que les iasmins
Et les fleurs de cette nature,
Naissent sur cette sepulture,
Ou le plus insolent hyuer
N’oseroit les aller trouuer,
Au reste bien determinée
Ne cessant ny nuict ny iournée,
De trauailler aueuglement
Que si dans ce beau monument
Le destin permet qu’elle arriue
De s’enterrer là toute viue,
Et d’accompagner à la mort
Voiture qu’elle ayma si fort.
Or maintenant ie vous demande
Si cette miserable bande
Ne pouuoit pas honnestement
S’excuser de l’enterrement.

 

La representation de Voiture paroissoit enfin
couronnée de laurier, & portée sur les espaules de
huict beaux garçons : C’estoient les ieux & les ris
qui l’auoient accompagné pendant sa vie : mais les
ris estoient melancholiques, & les ieux ne prenoient

-- 25 --

rien en ieu, les quatre coings du grand drap, sur lequel
cette figure estoit posee, estoient souslenus par
Ronsard, des Portes, Bertault & Malherbe, Iupiter
menant Apollon, neuf des plus grandes Deesses,
chacune vne Muse. Le reste de nos Poëtes des
derniers temps suiuoient la figure & fermoient le
Conuoy, y ayant vne telle foule le long du chemin
qui va du Temple d’Apollon au Temple de
Themis, où on a esleué la sepulture des grands hommes,
que sans les Satyres qui faisoient faire place à
coups de tirses, la pompe auroit eu peine à passer :
Les lauriers rompant sous le faix de la canaille poëtique
qui auoit monté dessus, & tout le monde
auoüant que depuis les funerailles de Catulle, que
son siecle regardoit comme le nostre a fait Voiture,
on n’auoit point veu au Parnasse vne si belle assemblée.
Apres qu’on eut rendu les derniers deuoirs à
l’Image du deffunct, Apollon couronné de cyprez,
tenant vn luth & s’auançant deuant les hommes &
deuant les Dieux, chanta des vers. En cet endroit si
i’eusse creu l’enthousiasme, i’aurois poussé quantité
de vers, mais la raison s’estant presentée à poinct
nommé, & m’ayant monstré qu’il ne m’appartenoit
pas de faire parler Apollon ny de loüer Voiture, i’ay
esté obligé d’en demeurer là, mon dessein estoit
apres luy auoir donné toutes les louanges qu’on
peut donner à vn homme d’esprit, & qu’il meritoit
sans doute, de le faire choisir par Apollon pour son
Collegue à l’Empire de la Poësie, & de faire ordonner
à ce Dieu, que d’oresnauant les Auteurs l’inuoqueroient

-- 26 --

au commencement de leurs ouurages.

 

 


De plus ie luy voulois bastir en ces bas lieux
Vn Temple & des Autels d’eternelle structure
Ie voulois le placer aux Cieux
Et nommer de son nom quelque estoille Voicture
Comme nous appellons l’astre du Nort Arcture
Mais pour bien faire voir ces choses par escrit
Et dignes de Voicture & dignes de paraistre
Il faudroit estre bel esprit
Et ie n’ay pas l’honneur de l’estre.

 

FIN.

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Sarasin, Jean-François [?] [1649], LA POMPE FVNEBRE DE VOITVRE. AVEC LA CLEF. , français, latin, espagnol, italienRéférence RIM : Mx. Cote locale : C_6_60.