Questier, Mathurin, dit Fort-Lys [1649 [?]], SVITTE DV IOVRNAL POETIQVE DE LA GVERRE PARISIENNE. Dedié aux Conseruateurs du Roy, des Loix, & de la Patrie. Par M. Q. dit FORT-LYS. QVATRIESME SEPMAINE. , françaisRéférence RIM : M0_1763. Cote locale : C_4_38_04.
Enfin voyons sortir le Duc de Beaufort Et la Mothe Houdancourt, auec du renfort, De quelques Caualiers pour purger les chemins De Meaux, que ces volleurs infectoient de larcins. Ces genereux Guerriers rencontrerent à Bondis, Des trouppes qui faisoient des bois leur Paradis : C’estoit des gens bien faits ; & la Caualerie, N’estoit à mespriser, qu’en cas de vollerie ; Ie diray qu’ils estoient la plus part Allemands, Hardis dans les combats, auec des Flamands ; Leur Chef & conducteur joüa mal son rollet, Receuant de Beaufort vn coup de pistolet, Qui dessus son cheual le renuersa par terre : Seul coup qui fit cesser cette petite guerre, Faisant des prisonniers vn nombre suffisant : Qui monstre que ce Duc, est pour eux trop puissant.
Tandis l’on fit reueuë de quelque Infanterie Dans la Place Royalle ; ie dis sans flatterie,
Questier, Mathurin, dit Fort-Lys [1649 [?]], SVITTE DV IOVRNAL POETIQVE DE LA GVERRE PARISIENNE. Dedié aux Conseruateurs du Roy, des Loix, & de la Patrie. Par M. Q. dit FORT-LYS. QVATRIESME SEPMAINE. , françaisRéférence RIM : M0_1763. Cote locale : C_4_38_04. |