Questier, Mathurin, dit Fort-Lys [1649 [?]], SVITTE DV IOVRNAL POETIQVE DE LA GVERRE PARISIENNE. Dedié aux Conseruateurs du Roy, des Loix, & de la Patrie. Par M. Q. dit FORT-LYS. TROISIESME SEPMAINE. , françaisRéférence RIM : M0_1763. Cote locale : C_4_38_03.
Mais helas s’en est fait ? Nous ne sçaurions plus rire De conter nostre mal, c’est alors qu’il s’empire ? Il nous vaut mieux chercher dés à present la mort Que d’allonger nos vies auec quelque remord.
Nous auons veus chez nous des trouppes Polonnoises Plus cruelles cent fois que ne sont les Turquoises, Quoy qu’ils soient ennemis jurez du nom Chrestien Ils sont beaucoup plus doux dedans leur entretien Que ces Scythes frilleux ; quand ils sont en colere.
Scythes endiablez ; engencé de Cerbere ? Hé pourqoy nous faites vous de telles extortions A celle que l’on tient Reyne des Nations. Qui t’a fait si hardy, ô ! Sarmathe impudent De nous venir causer vn si triste accident ? Le viole est-il parmis parmy ta gent maudite ? Non, meschant que tu es ? infidelle, hypocrite. Pollüer les Saincts lieux ; violer femmes & filles Abattre, & brusler, ruyner des familles,
Questier, Mathurin, dit Fort-Lys [1649 [?]], SVITTE DV IOVRNAL POETIQVE DE LA GVERRE PARISIENNE. Dedié aux Conseruateurs du Roy, des Loix, & de la Patrie. Par M. Q. dit FORT-LYS. TROISIESME SEPMAINE. , françaisRéférence RIM : M0_1763. Cote locale : C_4_38_03. |