LE SIEGE MIS DEVANT LE PONTEAV DE MER : PAR l’ordre du Duc de Longueville. Que le Gouverneur & les habitans du lieu ont fait lever. Le Te Deum chanté pour la ratification de la paix avec l'Empire: Et ce qui s’est n’aguéres passé à la Cour.

Auteur
Anonyme
Éditeur
[s. n.]
Date d'édition
1649
Lieu d'édtion
Saint-Germain-en-Laye
Langue
français
Nombre de pages
8
Référence Moreau
M0_3670
Cote locale
A_1_20
Note
Sans page de titre. Avec privilège au colophon, ainsi que la mention : "Imprimé à Saint Germain en Laye, le dixième Mars 1649."
Dernière modification
2013-12-27 11:41:54
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Commentaires

Commentaire de : Patrick Rebollar, créé le 2013-12-27 11:41:54.
Notice Moreau : Rare. « Le 4 mars, le roi étant allé visiter son imprimerie, établie dans l'un des appartements de son orangerie de Saint-Germain en Laye, et Sa Majesté ayant voulu faire imprimer quelque chose..., celui à qui Leurs Majestés ont donné la direction de cette imprimerie [Renaudot], dicta sur-le-champ quelques vers... sur la première conférence de Ruel. » Voici les derniers, les seuls que l'auteur publie, les premiers ayant été enlevés par les courtisans : « J'accepte cet augure en faveur de l'histoire, / Qu'à l'instant que Paris se met à la raison, / Mon prince visitant sa royale maison / Va fournir de sujet aux outils de sa gloire. / Embrassez-vous, François ! Espagnols, à genoux / Pour recevoir la loi ; car la paix est chez nous. » Le roi récompensa magnifiquement les ouvriers.

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