L’ESPRIT DV FEV ROY LOVIS XIII. A SON FILS LOVIS XIV. Luy monstrant que la mauuaise conduite de Mazarin, est la cause des troubles de l’Estat. Et luy donnant les moyens infaillibles de les appaiser, par son retour en sa bonne Ville de Paris.

Auteur
Anonyme
Éditeur
[s. n.]
Date d'édition
1652
Lieu d'édtion
Paris
Langue
français
Nombre de pages
49
Référence Moreau
M0_1287
Cote locale
B_3_3
Note
La page de titre est en page 2. Pièce 28 des 52 de Carrier
Dernière modification
2013-02-05 14:39:43
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Commentaires

Commentaire de : Patrick Rebollar, créé le 2013-02-05 14:39:43.
Notice Moreau : C'est en quelque sorte une suite que l'auteur a voulu donner à la pièce [M0_1286] qui précède ; et il s'y est surpassé lui-même. Je cite : « Il est vrai qu'on auroit sujet de s'étonner comment Senèque et Burrhus... prêtèrent leur consentement au funeste dessein que faisoit Néron de perdre sa mère, Agrippine,... si ce n'est que la raison nous apprend qu'il n'est pas juste qu'une personne, pour flatter sa passion et satisfaire quelque désir de vengeance mal fondé, trouble le repos de tout un empire, et qu'il est permis d'éteindre un flambeau qui ne luit que pour la ruine du genre humain. » J'ai besoin de dire qu'au moment où ces lignes exécrables s'imprimaient, le peuple de Paris avait rompu avec la Fronde.

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