LE TROISIESME COVRRIER FRANÇOIS, TRADVIT FIDELLEMENT en Vers Burlesques.

Auteur
Saint-Julien, ? [?]
Éditeur
Boudeville (Claude)
Date d'édition
1649
Lieu d'édtion
Paris
Langue
français
Nombre de pages
16
Référence Moreau
M0_2848
Cote locale
C_2_42_03
Note
Partie 3 de 12. Voir Pièces de C_2_42_01 à C_2_42_12
Dernière modification
2013-02-12 14:22:39
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Commentaires

Commentaire de : Patrick Rebollar, créé le 2013-02-12 14:22:39.
Notice Moreau : Douze numéros de 16 et de 12 pages. Naudé, p. 286 du "Mascurat", range le "Courrier" parmi les burlesques qui ne lui déplaisent pas, « à cause, dit-il, qu'il change assez naïvement le sérieux en ridicule. » On y trouve en effet de la gaieté et de l'esprit. Le "Courrier" en vers est plus plaisant que le "Courrier" en prose [M0_830] ; mais il n'est pas plus rare. Saint-Julien qui en est l'auteur, en a donné en 1650 une seconde édition, revue et très-corrigée sous le titre de : "le Courrier burlesque de la guerre de Paris" [M0_814].

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