LE COVP D’ESTAT DV PARLEMENT DES PAIRS, OV LE PRINCE CONVAINQVANT le Mazarin par la raison, & par l’Histoire. I. Que le Parlement des Pairs a eu le pouuoir de transferer l’exercice de l’Authorité Souueraine, entre les mains de son Altesse Royalle. II. Qu’il a deub se resoudre à ce transport par les necessitez de l’Estat. III. Qu’il n’est point d’authorité qui puisse en casser l’Arrest, que par vne vsurpation aussi insolente, que Tyrannique. IIII. Que les nouueautez du gouuernement iustifiées par les nouuelles conionctures d’Estat, ne sont pas des coups de caprice. V. Que son Altesse Royalle en qualité de Lieutenant general absolu, peut faire la Paix generale, sans que la Cour ait aucun droict de s’y opposer, & que les Princes Estrangers ayent seulement vn pretexte pour n’y consentir point.

Auteur
Dubosc-Montandré, Claude [?]
Éditeur
[s. n.]
Date d'édition
1652
Lieu d'édtion
[s. l.]
Langue
français
Nombre de pages
32
Référence Moreau
M0_802
Cote locale
B_5_3
Note
Dernière modification
2013-07-07 16:27:05
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Commentaires

Commentaire de : Patrick Rebollar, créé le 2013-07-07 16:27:05.
Notice Moreau : Dubosc Montandré dit, quelque part, qu'il a composé ce pamphlet dans un jour. Cela ne m'étonne que médiocrement. Mailly le cite deux fois, sous le titre de le "Coup d'État du parlement de Paris", page 223 du 2e vol., et, page 476 du 3e vol., sous son véritable titre.

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