L’ESPRIT DE GVERRE DES PARISIENS, CONTRE L’ESPRIT DE PAIX Du Corinthien, refuté Article par Article.

Auteur
Anonyme
Éditeur
[s. n.]
Date d'édition
1652
Lieu d'édtion
[s. l.]
Langue
français, latin
Nombre de pages
19
Référence Moreau
M0_1282
Cote locale
B_10_9
Note
Voir aussi B_16_36
Dernière modification
2018-10-25 06:56:27
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Commentaires

Commentaire de : Patrick Rebollar, créé le 2013-02-05 11:05:17.
Notice Moreau : « Corinthien, vous êtes un séditieux, aussi impudent que criminel. » On connaît après cela le ton du pamphlet. L'auteur ne discute pas ; il injurie. Parlementaires frondeurs : le président de Nesmond, les présidents d'Hodic, Charton, Viole, Molé, de Thou, Lagrange, et MM. Broussel, Le Meusnier, Deslandes-Payen, Portail, Coulon, Dorat, Montauglan, Pithou, Foucault, Leclerc de Courcelles, Bitaut, Canais (sic), Védeau, Pinon, Durand, Petau, Croissy, Martineau, Géniers, Cumont, Pontcarré et Machaut. Royalistes : le premier président, les présidents de Bailleul, Novion, de Mesmes, Lecoigneux, Bocquemare, Guénégaud, de Lamoignon, Perot, Le Féron, les conseillers Doujat, Prévost, Sévin, Quélin (sic), Champré, Grasseteau, Lefèvre, Tibeuf, Ribier, Caumont, Bernard-Ressé, Bragelogne, Corbeville, Labarre et Fouquet, procureur général. « La naissance et la bonté de Son Altesse Royale, le courage et les victoires du prince de Condé, la vertu et la science du prince de Conty, le zèle et l'affection du duc de Beaufort, la sagesse et la générosité du duc de Nemours, l'assistance et la modération du duc de Rohan, l'effort et la conduite du duc de Sully, les peines et les fatigues du duc de Richelieu, les soins et la fidélité du duc de Larochefoucault, la douceur et la franchise du duc d'Angoulême, la bonne grâce et la civilité du prince de Tarente, la qualité et l'expérience de M. le chancelier, l'adresse et l'esprit de M. de Chavigny, les emplois de Marsin, la vigilance de Tavannes, les défaites de Baltazar, les forces du Doignon, et la résolution de tous les chefs qui commandent dans l'armée des princes, nous obligent à suivre un si juste parti. » Barbier, sur la foi de Van Thol, attribue ce pamphlet à Dubosc Montandré, art. 5401 ; mais je ne saurais dire sur quoi se fonde l'opinion de Van Thol.

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