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Mazarinade n° D_1_1

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Anonyme [1637], DES ANCIENNES ENSEIGNES ET ESTENDARTS DE FRANCE, DE LA CHAPPE DE S. MARTIN. De l’Office & Dignité du GRAND SENESCHAL, dit DAPIFER, qui portoit ceste Chappe aux batailles. DE L’ORIFLAMME OV ESTENDART DE S. DENYS. DE LA BANNIERE DE FRANCE: & CORNETTE BLANCHE. , français, latinRéférence RIM : Mx. Cote locale : D_1_1.



Le Roman de la Rose.
 
Elle eut d’vne chape fourrée,
Si bien de ce ie me records
Affeuble & vestu son cors.
 
Le Roman de Florimond.
 
Toz à guise de marcheans
Furent vestus de chapes grands,
Desor auoient les espées,
Celes n’ont-ils pas oubliées.
 
Le Sire de Ioinuille en l’histoire de S. Louis : Le
pauure Cheualier ne fust mie esbaby, mais empoigne le bourgeois
par sa chape, bien estroit, & luy dit, qu’il ne le laisseroit
point aller.
Chronicon incerti authoris editum à Pitheo. Primùm
quendam nominatim exprimens, se sub CAPPA illius stetisse
professus est. Au volume des Epîtres escrites au
Roy Louis Ie Ieune, que i’ay veu entre les mains de
Monsieur du Chesne Geographe du Roy, y en a vne
conceuë en ces termes : Hugo Dei gratia Suessionensium
Episcopus, Regis Francorum Cancellarius. I. Præposito
de Chialfinant salutem. Cappam quam Clerici de Noruegia
per fines vestros transeuntes, in vadio dimiserunt, mandamus
vt ipsam liberam dimittatis. A l’exemple du Latin,
souuent au lieu de Chappe, a esté mis le nom de Cappe :
dont se voyent plusieurs exemples en l’histoire
manuscrite en vers de Philippes Mousk, qui est en la
Bibliotheque du Roy.
Capp[1 lettre ill.]
I’estime auoir clairement monstré l’vsage de cet
Estendart : Mais la durée, & le temps auquel il a cessé,
n’est pas de ma cognoissance.
Et la chose estant esclaircie ; l’origine du nom de