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Rechercher dans le corpus des Mazarinades
(24 occurrences trouvées)

Résultat de votre recherche de l'expression "trone" dans le corpus des Mazarinades :


Occurrence 1. Anonyme. LA REQVESTE DES TROIS ESTATS, Touchant le... (1651 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 24 pages. Langue : français. Voir aussi B_14_25. Dans Choix II de Moreau. Référence RIM : M0_3495 ; cote locale : B_14_14. le 2012-12-26 10:32:22.

& ses Partizans en ont esté
les complices, & que c’est auec leurs mains qu’il a pillé
toute la France, qu’il a ruiné tous les Peuples, qu’il
a mis le feu aux quatre coings de la Monarchie, &
qu’il a malheureusement commencé d’ébranler le
trone, sans esperance de le pouuoir iamais r’affermir
comme il estoit auparauant, à moins que les Estats
Gener. ne soient en liberté de retrancher vigoureusement
tous les abus, pour r’asseu-er auec plus de fermeté
les fondemẽs du trône François sur le bel ordre

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Occurrence 2. Fonteneil, Jacques [?]. LE REMERCIMENT DES BOVRDELOIS, AV ROY, Sur... (1650) chez Bessin (Nicolas) à Paris , 8 pages. Langue : français. Jouxte la copie imprimée à Bordeaux.. Référence RIM : M0_3277 ; cote locale : A_9_1. le 2012-10-27 11:02:39.

qu’il n’y eut point d’Echo qui redist fidellement nos
plaintes, on nous a fait languir comme des criminels,
pource qu’on nous a creu tout à fait miserables. Mais
depuis que l’aisné des Parlemens (dans lequel la Iustice & la Vertu ont estably leur Trone comme dedans vn
Ciel) s’est rendu sensible à nostre mal; que des personnes
illustres touchees de nos douleurs, ont demandé
pour nous vostre compassion, & que nos souffrances
ont poussé des soupirs qui vous ont fait entendre, qu’il
n’estoit pas iuste que

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Occurrence 3. Saint-Amant, Marc-Antoine... . LA ROME RIDICVLE, CAPRICE. ([s. d.]) chez [s. n.] à [s. l.] , 56 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : Mx ; cote locale : B_18_36. le 2012-12-28 14:59:15.

leur beau chemin,
Et fay que pour des Chansonnettes
On les revende en parchemin.  

XVIII.  
Thermes où la voit sa Carcasse,
Riche de gratelle & de cloux,
Ce vieux Fat qui pour quatre choux
Laissa le Trone & la Cuirasse :
Qui n’enrageroit dans sa peau,
De veoir du fond iusqu’au coupeau
Vos voutes entieres & saines,
Tandis que peut-être en maints lieux
Celles des caves toutes pleines
Font le plongeon devant les yeux ?  

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Occurrence 4. Anonyme. LA VERITÉ CONTINVANT DE PRONONCER SES... (1652 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 39 pages. Langue : français. Deuxième partie. Voir aussi B_17_18 (1ère Partie). Dans Choix II de Moreau. Référence RIM : M0_3998 ; cote locale : B_17_19. le 2013-01-05 06:01:42.

d’employs, qu’il cherche l’honneur, mais par les voyes
de l’interest, ou qu’il cherche plustost où il y a à gagner,
que, où il y a à se signaler. Les vns & les autres s’appuyent de leurs raisons, lors
que ses deffendeurs disent qu’il s’attache au trone, ils
pretendent le iustifier, en disant qu’il ne se depart iamais
des interests du Roy : Il faut seruir le Roy, mais il le
faut sçauoir seruir, & c’est tousiours reuenir à l’opinion
qui donne à ce Comte plus de bras que de teste, On peut

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Occurrence 5. Anonyme. LE PLAIDOYÉ DE LA MAISON ROYALLE, OV LA... (1652) chez [s. n.] à Paris , 32 pages. Langue : français. Selon l'avertissement "Au lecteur" au colophon, cette pièce serait de Dubosc Montandré. Voir aussi C_12_43. Référence RIM : M0_2773 ; cote locale : B_3_15. le 2013-09-30 16:05:43.

à leur rigueur.   V. Pour conclure sans apel, contre ceux qui choquẽt
les Princes du Sang, ie dis que les Roys mesmes
ne peuuent point laisser ces iniures sans reparation,
& que l’Estat n’est pas moins obligé de s’en
ressentir, que de conseruer le trone qu’il a esleué,
pour seruir de tribunal de Iustice à son Souuerain. Si les crimes ne sont appellez crimes d’Estat, que
parce qu’ils choquent tout l’Estat en la personne
de leur Souuerain ou de ses proches; on ne peur
point douter qu’il apartient à

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Occurrence 6. Anonyme. LE PLAIDOYÉ DE LA MAISON ROYALLE, OV LA... (1652) chez [s. n.] à Paris , 32 pages. Langue : français. Selon l'avertissement "Au lecteur" au colophon, cette pièce serait de Dubosc Montandré. Voir aussi B_3_15.. Référence RIM : M0_2773 ; cote locale : C_12_43. Texte édité par Site Admin le 2013-09-30 16:01:31.

à leur rigueur.   V. Pour conclure sans apel, contre ceux qui choquẽt,
les Princes du Sang, ie dis que les Roys mesmes
ne peuuent point laisser ces iniures sans reparation,
& que l’Estat n’est pas moins obligé de s’en
ressentir, que deconseruer le trone qu’il a esleué,
pour seruir de tribunal de Iustice à son Souuerain. Si les crimes ne sont appellez crimes d’Estat, que
parce qu’ils choquent tout l’Estat en la personne
de leur Souuerain ou de ses proches ; on ne peut
point douter qu’il apartient à

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Occurrence 7. Anonyme. LE ROYAL AV MAZARIN Luy faisant voir par la... (1652 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 32 pages. Langue : français. Sans page de titre.. Référence RIM : M0_3561 ; cote locale : B_10_4. le 2013-12-09 14:35:15.

qui mesconnoit ces bornes, prescrites à l’authorité
Souueraine ; & qui ne veut point estre reduite
à ne pouuoir, que ce que la foiblesse de ses
bras ne luy permettera point d’entreprendre :
Mais ce n’est point estre Souuerain, que d’estre
tyran : le Trone de ces puissances Despotiques
ne subsiste qu’à force de bras : comme le ioug
qu’elles imposent à leurs subiets est intolerable,
la crainte de le voir secoüé par l’impatience, les
oblige à des soings qui sont les tyrans de leur liberté :
Ils ne sont obeis

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Occurrence 8. Anonyme. LE ROYAL AV MAZARIN Luy faisant voir par la... (1652 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 32 pages. Langue : français. Sans page de titre.. Référence RIM : M0_3561 ; cote locale : B_10_4. le 2013-12-09 14:35:15.

clemence Royalle & de le suplier tres humblement
de ne se souuenir point de tout le passé.
Alles allez dit-il, ne me venez point exposer des sentiments
si contraires à l’idée que vous deuez auoir de ma
bonté, le Roy de France n’est point esleué sur le Trone
pour venger les interests du Duc d’Orleans que vous
auez offencé. Pour lors ie vous considerois en ennemis
& l’honneur m’obligeoit de me ressentir des affronts que
ie pretendois auoir receu. Mais à present ie vous regarde
en sujets, & la iustice

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Occurrence 9. Brousse, Jacques [?]. ADVIS AVX GRANDS DE LA TERRE. Sur le peu... (1649) chez Coulon (veuve d'Antoine) à Paris , 11 pages. Langue : français, latin. Avec permission.. Référence RIM : M0_487 ; cote locale : A_2_2. le 2013-12-28 15:38:22.

soient si iniquement
mises à mort dans la crainte qu’il ne luy en arriue autant, s’il donne
cours à cette tyrannie. Non, non, les Roys ne doiuent pas apprehender
que leur trop de douceur, & de clemence, mesme enuers les coulpables
n’affoiblissent leurs trone; mais plustost qu’ils redoutent tous que les cruautez, & les violences qu’ils exercent indifferemment, sur le bon, &
le scelerat ne les brisent. Et pour le second point: Qu’est-ce que les Monarques
doiuent tant craindre, que d’auoir des Fauoris

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Occurrence 10. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE COVP D’ESTAT DV PARLEMENT DES PAIRS, OV... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 32 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_802 ; cote locale : B_5_3. le 2013-07-07 16:27:05.

des Pairs n’estant
plus qu’vn petit abregé de tout le corps de l’Estat apres
la grande estenduë de son Empire, son authorité ne seroit
pas generalement respectée dans le choix qu’il
pourroit faire de quelque personage de merite, pour
l’asseoir sur le trone.   Quoy que iene desaprouue pas ce sentiment ie iuge
neantmoins qu’il est en quelque façon erronée, puis
que si l’on considere comme il faut la nature du Parlement
des Pairs, il est éuident qu’estant vn abregé de
tout ce qu’il y a de choisi dans

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Occurrence 11. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE COVP D’ESTAT DV PARLEMENT DES PAIRS, OV... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 32 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_802 ; cote locale : B_5_3. le 2013-07-07 16:27:05.

ne fut chassé de l’Estat que par vn Arrest porté contre
l’iniustice de ses déportemens par l’Assemblée generalle
des François, appllée du depuis Parlement des Pairs.
Et Chilperic le dernier des Roys de cette mesme premiere
race ne fut frustré de la succession du Trone, qui
estoit legitime dans sa maison, que par l’Arrest de cette
assemblée generalle ou du Parlement porté en faueur
de Pepin, lequel ayant esté iustement reconnu
plus capable que son predecesseur pour releuer les affaires
de cette honteuse décadence, où la

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Occurrence 12. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE COVP D’ESTAT DV PARLEMENT DES PAIRS, OV... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 32 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_802 ; cote locale : B_5_3. le 2013-07-07 16:27:05.

point ? Henry Troisiesme ne tesmoigna-t’il point
auant qu’il fust assassine par vn Moine, que les malheurs
de son gouuernement ne pouuoient que du
mespris qu’il auoit fait de se regler sur la conduite du
Parlement des Pairs, reconnu par tout l’Estat, pour
le Trone infaillible, & pour le veritable depositaire
de la Royauté ? & de nos iours Louys le Iuste
n’ayant laisse la Regence à Anne d’Austriche qu’à cõdition
qu’elle se conduiroit par l’experience de trois
Ministres, qu’il appelloir non destituables, le

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Occurrence 13. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE RAPORTEVR DES PROCES D’ESTAT, FAISANT... (1652 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 32 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_2977 ; cote locale : B_7_52. le 2013-10-20 15:41:25.

à leur rigueur.   V. Pour conclure sans apel, contre ceux qui choquẽts
les Princes du Sang, ie dis que les Roys mesmes
ne peuuent point laisser ces iniures sans reparation,
& que l’Estat n’est pas moins obligé de s’en
ressentir, que de conseruer le trone qu’il a esleué.
pour seruir de tribunal de Iustice à son Souuerain. Si les crimes ne sont appellez crimes d’Estat, que
parce qu’ils choquent tout l’Estat en la personne
de leur Souuerain ou de ses proches ; on ne peut
point douter qu’il apartient à

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Occurrence 14. Dubosc-Montandré, Claude [?]. L’APOCALYPSE DE L’ESTAT, FAISANT VOIR,... (1651 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 40 pages. Langue : français. La page 40 et dernière contient un avertissement au lecteur qui identifie Dubosc-Montandré.. Référence RIM : M0_98 ; cote locale : B_4_18. Texte édité par Site Admin le 2013-02-01 15:27:34.

l’intelligence
de Theodebert & de Theodoric ses deux arrie-fils,
faisant croire à ce dernier par ce qu’elle auoit besoin
de son appuy que Theodebert estoit fils d’vne
concubine, & que par consequent il n’auoit aucun
droit de recueillir la succession d’vn Trone, qui ne
luy estoit echeu que sur la fausse creance qu’on auoit
qu’il n’estoit point bastard. Il n’est pas besoing de beaucoup d’artifice pour
persuader à Theodoric, ce que l’ambition d’auoir vn
Royaume plus estendu, luy fait receuoir aueuglement

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Occurrence 15. Dubosc-Montandré, Claude [?]. L’APOCALYPSE DE L’ESTAT, FAISANT VOIR,... (1651 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 40 pages. Langue : français. La page 40 et dernière contient un avertissement au lecteur qui identifie Dubosc-Montandré.. Référence RIM : M0_98 ; cote locale : B_4_18. Texte édité par Site Admin le 2013-02-01 15:27:34.

le luy represente
auec trop de naïfueté sous vn visage plus innocent,
auec lequel il seroit consideré de tous les hommes,
si tous les hommes le regardoient par ses yeux.   Mais elle ne sçauroit affermir la fortune de cet indigne
fauory, sans esbranler le Trone de son fils :
mais elle ne peut donner de l’esclat à l’obscurité de sa
naissance & à l’infamie de son extraction, sans fletrir
à mesme temps la splendeur de nostre Couronne :
Mais elle ne peut le garentir du danger, sans y precipiter
tout l’Estat :

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Occurrence 16. Dubosc-Montandré, Claude [?]. L’APOCALYPSE DE L’ESTAT, FAISANT VOIR,... (1651 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 40 pages. Langue : français. La page 40 et dernière contient un avertissement au lecteur qui identifie Dubosc-Montandré.. Référence RIM : M0_98 ; cote locale : B_4_18. Texte édité par Site Admin le 2013-02-01 15:27:34.

Apostats,
qui nous enuironnent, & pour vous arracher auec
tout le respect que ie vous doits, d’entre les mains de
celuy qui ne vous tient, que pour s’en seruir de bouclier
contre les insolens : ie vous rendrois à vos peuples
qui vous conseruent tousiours le Trone qu’ils
vous doiuent dans leurs cœurs, & vous connoistrez
enfin par le changement de toutes les mauuaises impressions
qu’on vous a donnée, que vous estes tousiours
égallement aymé de ceux qu’on s’efforce meschamment
de vous faire haïr.   V.

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Occurrence 17. Dubosc-Montandré, Claude [?]. L’APOCALYPSE DE L’ESTAT, FAISANT VOIR,... (1651 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 40 pages. Langue : français. La page 40 et dernière contient un avertissement au lecteur qui identifie Dubosc-Montandré.. Référence RIM : M0_98 ; cote locale : B_4_18. Texte édité par Site Admin le 2013-02-01 15:27:34.

d’vne tyrannie, qui sera
sans exemple. La premiere partie de cette proposition, se trouue
tellement verifiée par l’experience de toute l’antiquité,
qu’il n’est quasi point necessaire de raisonner
pour l’establir. Vn seul adultere fit tomber le Trone
des Roys Romains ; Vn attentat à la pudicité d’vne fille renuersa toute l’authorité des Decemuirs : Mais
qu’est ce que ie dis : pour vn seul attentat d’vn Souuerain,
les peuples se sont-il bien portez quelquefois
à vn changement d’Estat ;

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Occurrence 18. Dubosc-Montandré, Claude [?]. L’APOCALYPSE DE L’ESTAT, FAISANT VOIR,... (1651 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 40 pages. Langue : français. La page 40 et dernière contient un avertissement au lecteur qui identifie Dubosc-Montandré.. Référence RIM : M0_98 ; cote locale : B_4_18. Texte édité par Site Admin le 2013-02-01 15:27:34.

de ceux qui se sont emparez
du Roy & de son authorité ; à qui est-ce que l’obligation
en restera, si ce n’est à Son Altesse Royalle, à
Monseigneur le Prince, & à la fidelité de nos peuples,
lesquels s’vnissant de méme volonté pour le soustien
du Trone, témoigneront hautement par la
moderation de leur conduite, qu’ils n’ont point de
plus sincere dessein que celuy d’appuyer la Royauté
pour la restablir toute entiere entre les legitimes
mains de celuy qui en abuseroit maintenant, par ce
qu’estant obsedé par

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Occurrence 19. Anonyme. LA REQVESTE DES TROIS ESTATS, Touchant le... (1651 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 20 pages. Langue : français. Voir aussi B_14_14. Dans Choix II de Moreau. Référence RIM : M0_3495 ; cote locale : B_14_25. le 2014-10-12 11:55:23.

& ses Partizans en ont esté
les complices, & que c’est auec leurs mains qu’il a pillé
toute la France, qu’il a ruiné tous les Peuples, qu’il
a mis le feu aux quatre coings de la Monarchie, &
qu’il a malheureusement commencé d’ébranler le
trone, sans esperance de le pouuoir iamais r’affermir
comme il estoit auparauant, à moins que les Estats
Gener. ne soient en liberté de retrancher vigoureusement
tous les abus, pour r’asseu-er auec plus de fermeté
les fondemẽs du trône François sur le bel ordre

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Occurrence 20. Anonyme. LES LAMENTATIONS MAZARINES. (1652) chez Clément (Philippe) à Paris , 8 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : M0_1801 ; cote locale : C_12_9. le 2014-02-16 10:11:12.

peut dire que nostre Politique est borgne
ou du tout aueugle. 14. Tu autem Domine in aternum manes, solium tuum
in generationem. 14. En tout cas Sire vous ne pouuez rien perdre &
prenant nostre party vous pouuez beaucoup gaigner
on n’abbettra point vostre trone quand mesme la
victoire iroit du costé des ennemis, & si elle se range
du nostre tout ce qu’il y a de beau & de bon dans le
Royaume sera à nous. 15. Quare in æternum obliuisceris nobis, derelinqueres nos
quamdiu erunt longa tempora. 15. Nous

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Occurrence 21. Saint-Amant, Marc-Antoine... . LA ROME RIDICVLE. CAPRICE. ([s. d.]) chez [s. n.] à [s. l.] , 55 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : Mx ; cote locale : C_8_65. le 2014-12-27 18:13:20.

leur beau chemin,
Et fay que pour des Chansonnettes
On les revende en par chemin.  

XVIII.  
Thermes où lavoit sa Carcasse,
Riche de gratelle & de cloux,
Ce vieux Fat qui pour quatre choux
Laissa le Trone & la Cuirasse :
Qui n’enrageroit dans sa peau,
De veoir du fond iusqu’au coupeau
Vos voutes entieres & saines,
Tandis que peut-être en maints lieux
Celles des caves toutes pleines
Font le plongeon devant les yeux ?  

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Occurrence 22. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE CADVCÉE D’ESTAT, FAISANT VOIR PAR LA... (1652 [?]) chez Le Muet (Pierre) à Paris , 32 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_617 ; cote locale : B_16_30. le 2017-11-23 01:29:59.

que par les suggestions de ceux qui la flatent sans la connoistre, & qui la veullent esleuer sans
aucune aprehension de sa cheute.   Le dessein de Pharamond premier Roy de France
dans sa loy Salique, ne fut autre que d’oster la succession
du trone à la femme, & d’empescher que le sceptre
Francois ne tombat point en guenoüille ; parce que
l’incapacité naturelle qu’il voyoit dans le sexe pour le
maniment des affaires d’Estat, ne luy permit point de
consentir à ce foible de toutes les autres

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Occurrence 23. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE CADVCÉE D’ESTAT, FAISANT VOIR PAR LA... (1652 [?]) chez Le Muet (Pierre) à Paris , 32 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_617 ; cote locale : B_16_30. le 2017-11-23 01:29:59.

permit point de
consentir à ce foible de toutes les autres Monarchies,
où l’on voit que les femelles, au defaut des masles peuuent
estre les heritieres de leurs couronnes. Si c’est donc l’incapacité qui seruit de motif à Pharamond
pour rauir la succession du trone à la femme, il
ne faut point douter que ce grand Monarque & premier
legislateur des Francois pretendit par la mesme
loy, que l’Estat, dont on luy auoit deferé le maniment,
ne seroit point gouuerné par la participation du Conseil
ou de la cõduite de la

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Occurrence 24. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE CADVCÉE D’ESTAT, FAISANT VOIR PAR LA... (1652 [?]) chez Le Muet (Pierre) à Paris , 32 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_617 ; cote locale : B_16_30. le 2017-11-23 01:29:59.

l’establissement
de leurs communs interests ; & pour l’affermissement
de la tranquillité de ses peuples : est-ce forcer les
inclinations d’vn fils, que de luy conseiller vn detachement
politique qui seul peut remettre ses affaires sur
pied, & rasseurer son trone, desia beaucoup esbranlé
par tant de secousses d’Estat ? Est-ce violer des tendresses
que de vouloir obtenir d’vne mere, par la part qu’elle
doit prendre dans les interests de son fils, qu’elle se
retire pour quelque temps de sa presence ; afin de donner

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