[retour à un affichage normal]

Accueil > recherche > Rechercher dans les Mazarinades

Rechercher dans le corpus des Mazarinades
(447 occurrences trouvées)

Résultat de votre recherche de l'expression "race" dans le corpus des Mazarinades :


Occurrence 201. Anonyme. L’OBEISSANCE REMONTREE. (1649) chez [s. n.] à [s. l.] , 11 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_2563 ; cote locale : A_6_52. le 2013-06-09 09:45:27.

son esprit, qu’il en fit la merueille de son
temps; ses Vertus estoient admirées & honorées
de tous ceux qui cognoissoient son nom &
ses dignes habitudes, ce Pere auoit logé tout
son espoir à cét vnique enfant, il voioit auec
tendresse paternelle reviure sa race, & l’honneur
de son nom dans cette chere education,
il le fit éleuer à toutes sortes de sciences pendant
son enfance; & lors qu’il fut en âge plus
auancé il le fit Cheualier, & de profession aux
armes; c’est ou ses inclinations parurent

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 202. Anonyme. L’ORPHEE GROTESQVE, AVEC LE BAL RVSTIQVE.... (1649) chez Martin (Sébastien) à Paris , 20 pages. Langue : français. Avec permission, et achevé d'imprimer au colophon, daté du 18 mai 1649. Partie 1. Voir aussi C_8_10 (partie 2). Référence RIM : M0_2634 ; cote locale : C_8_9. le 2013-06-10 08:26:36.

gaillard esguillon les pique,
Et iusqu’au moindre asne est tenté
De cette curiosité.
L’asne semonneur de la feste
Comme guide marche à la teste :
Cheuaux, mulets, rosses, poulins,
Grands & petits, beaux & vilains,
De races poussiues, hargneuses,
Morueuses, retiues, rogneuses,
Tout y courent, le bruit en court,
Aucun bestail n’en fait le sourd,
Chiens de chasse, chiens de cuisine,
Matous, chattes mesme en gesine,
Rats qui suiuent au son les chats,
Souris

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 203. Anonyme. OBSERVATIONS CVRIEVSES, SVR L’ESTAT ET... (1649) chez Alliot (Gervais), Langlois (Denis), Langlois (Jacques) à Paris , 31 pages. Langue : français. Avec permission. Voir aussi C_6_40. Référence RIM : M0_2568 ; cote locale : A_6_85. le 2013-02-22 05:02:28.

les Roys y sont absolus & Souuerains,
& ne tiennent leur Couronne que de Dieu & de
leur espée. Ils entrent en ce grand heritage par
les degrez de la succession, & depuis 1227. ans,
soixante cinq ont heureusement continué leur
Regne sous trois races: A sçauoir de Meroüée, de Charlemagne, &
de Hucs-Capet, dont la Maison Royalle de Bourbon tire sa naissance,
estant sortie de Robert Comte de Clermont, dernier fils de
sainct Louys. La Monarchie
de France fut
fõdée l’an 420. Robert

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 204. Anonyme. OBSERVATIONS CVRIEVSES, SVR L’ESTAT ET... (1649) chez Alliot (Gervais), Langlois (Denis), Langlois (Jacques) à Paris , 36 pages. Langue : français. Avec permission. Voir aussi A_6_85. Référence RIM : M0_2568 ; cote locale : C_6_40. le 2013-02-22 05:06:56.

les Roysy sont absolus & Souuerains,
& ne tiennent leur Couronne que de Dieu & de
leur espée. Ils entrent en ce grand heritage par
les degrez de la succession, & depuis 1227. ans,
soixante cinq ont heureusement continué leur
Regne sous trois races : A sçauoir de Meroüée, de Charlemagne, &
de Hugues Capet, dont la Maison Royalle de Bourbon tire sa naissance,
estant sortie de Robert Comte de Clermont, dernier fils de
sainct Louys. La Monarchie
de France fut
fõdée l’an 420. Robert

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 205. Anonyme. QVATRIESME PARTIE DV POLITIQVE VNIVERSEL, OV... (1652 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 39 pages. Langue : français. Partie 4. Voir aussi B_17_30 (partie 1), B_17_31 (partie 2) et B_17_32 (partie 3). Référence RIM : M0_2818 ; cote locale : B_17_33. Texte édité par Site Admin le 2013-10-06 17:27:15.

si l’on veut faire le salut de son ame. C’est vne
regle où la iustice de Dieu ne met point d’exception,
ny pour les conditions, ny pour les qualitez,
ny pour les honneurs, ny pour les charges,
ny pour le sang, ny pour la parenté, ny pour les
races, ny pour les dignitez, ny pour les houletes,
ny pour les couronnes. Tous les hommes,
grands & petits, riches & pauures, sont obligez
de restituer vn bien mal acquis, de quelque nature
qu’il soit, & de quelque façon qu’il soit entré
dans leur famille,

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 206. Anonyme. QVATRIESME PARTIE DV POLITIQVE VNIVERSEL, OV... (1652 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 39 pages. Langue : français. Partie 4. Voir aussi B_17_30 (partie 1), B_17_31 (partie 2) et B_17_32 (partie 3). Référence RIM : M0_2818 ; cote locale : B_17_33. Texte édité par Site Admin le 2013-10-06 17:27:15.

vn Partisan en toute
la Monarchie. Enfin des seruiteurs qui eussent
vn front d’airain, & vn cœur de diamant, comme
dit la parolle éternelle pour dire ce qu’il faudroit dire au Monarque en secret iusques dans ses
oreilles.   C’est vne race maudite, qui tousiours saisie
d’vne rage insatiable, & d’vne furie tout à fait desordonnée,
fait bien voir qu’elle a l’ame toute
cauterisée d’vn mal incurable : car pour vne ambition
transitoire, & qui s’esuanoüit comme de
la fumée, elle ne

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 207. Anonyme. QVATRIESME PARTIE DV POLITIQVE VNIVERSEL, OV... (1652 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 39 pages. Langue : français. Partie 4. Voir aussi B_17_30 (partie 1), B_17_31 (partie 2) et B_17_32 (partie 3). Référence RIM : M0_2818 ; cote locale : B_17_33. Texte édité par Site Admin le 2013-10-06 17:27:15.

a l’ame toute
cauterisée d’vn mal incurable : car pour vne ambition
transitoire, & qui s’esuanoüit comme de
la fumée, elle ne craint pas d’accabler tout le
monde d’vne éternelle misere, pour s’enrichir
elle seulle de sa dépoüille. C’est vne race qui n’a
pas honte, pour se rendre semblable à des Cirus,
de perdre vn nombre infini de pauures innocẽs,
pour se baigner dans la pourpre de leur substance
plus spirituelle. Mais que vous sert-il ames venales
de vous aproprier iniustement le bien d’autruy,

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 208. Anonyme. REFLECTION SVR LA CONDVITE DE MONSIEVR LE... (1652 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 23 pages. Langue : français. Voir aussi C_11_24. Référence RIM : M0_3059 ; cote locale : B_20_20. le 2013-02-24 13:06:57.

malgré toutes les brigues de ses ennemis,
cét escrit n’a passé que pour vne pure calomnie
de l’inuention des Partisans du Cardinal Mazarin,
pour obliger Monsieur le Prince à sortir de
Paris, ou pour empescher que la justice n’acheuast
d’exterminer cette maudite race infectée du venin
de leur Maistre, & née pour les desordres. Ces seditieux s’estoient persuadez, que puis que
Monsieur le Prince s’estoit retiré à S. Maur sur vn
simple soupçon, il pourroit bien s’esloigner dauantage
quand il verroit clairement par ce

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 209. Anonyme. REFLECTION SVR LA CONDVITE DE MONSIEVR LE... (1652 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 23 pages. Langue : français. Voir aussi B_20_20. Référence RIM : M0_3059 ; cote locale : C_11_24. le 2013-02-24 13:08:40.

malgré toutes les brigues de ses ennemis,
cét escrit n’a passé que pour vne pure calomnie
de l’inuention des Partisans du Cardinal Mazarin,
pour obliger Monsieur le Prince à sortir de
Paris, ou pour empescher que la justice n’acheuast
d’exterminer cette maudite race infectée du venin
de leur Maistre, & née pour les desordres. Ces seditieux s’estoient persuadez, que puis que
Monsieur le Prince s’estoit retiré à S. Maur sur vn
simple soupçon, il pourroit bien s’esloigner dauantage
quand il verroit clairement par ce

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 210. Anonyme. RESPONSE AV BANDEAV DE L’HONNEVR EN VERS... (1649) chez [s. n.] à Paris , 12 pages. Langue : français. Voir aussi C_2_17, [M0_573] (dont cette pièce est la réponse).. Référence RIM : M0_3373 ; cote locale : C_2_18. le 2013-06-10 09:20:57.

de la vraye Honneur,
Et qui crois que tout ton bon-heur,
Dépend de luy faire vne face,
Aduersaire à sa bonne grace ;
Lors que tu formes deux portraits
De l’Honneur, par tes diuers traits
Tu corrompts son illustre essence ;
Sçaches qu’vne race prudence,
Veut & commande qu’en ce temps,
Les esprits forts & inconstants,
La reuerent comme Déesse,
Et comme la seule Princesse,
Qui domine sur les François,
Et qui par ses diuines loix,
Les contraint & les force

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 211. Anonyme. RESPONSE AV BANDEAV DE L’HONNEVR EN VERS... (1649) chez [s. n.] à Paris , 12 pages. Langue : français. Voir aussi C_2_17, [M0_573] (dont cette pièce est la réponse).. Référence RIM : M0_3373 ; cote locale : C_2_18. le 2013-06-10 09:20:57.

traits de ses rayons,
L’Honneur veut donc que nous croyons,
Quelle void clairement au monde,
Malgré cette Enuie qui gronde,
Et qui chante comme vn Corbeau,
Que l’Honneur est sous vn bandeau.
France considère de grace,
Comme nostre Royalle Race ;
Est éprise de sa splendeur,
Voy partout regner sa grandeur,
Mesme dans le trouble des Foires,
Où les actions les plus noires
Ont coustume de se cacher,
Personne ne peut empescher
Cette Déesse de paroistre,
Elle fait

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 212. Anonyme. SECONDE PARTIE DE L’ASNE ROVGE, DÉPEINT... (1652) chez Hardouin (Louis) à Paris , 24 pages. Langue : français. Avec permission. Partie 2. Voir aussi B_12_56 (partie 1). Référence RIM : M0_85 ; cote locale : B_12_57. Texte édité par Patrick Rebollar le 2013-02-02 08:59:19.

temerité, que l’audace de ce mépris ? y aurat’il
des ambitions telles qu’elles puissent faire esclorre
ses desirs, & desquels sa naissance ne le rende
digne : les diadêmes, les bandeaux d’aucuns
Princes pourroient-ils fléchir sous la main d’vne
race plus éleuée que la sienne ? ce grand Prince
n’est-il pas capable de soustenir auec les forces de
son esprit, les carresses de la fortune ! pourquoy
cette genereuse ambition ne luy sera-elle permise !
pouuez-vous, insolent temeraire trancher
auec le glaiue de vos

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 213. Anonyme. SVITTE DE L’ORPHEE, AVEC LES BACCHANTES OV... (1649) chez Martin (Sébastien) à Paris , 12 pages. Langue : français. Avec permission. Partie 2. Voir aussi C_8_9 (partie 1). Référence RIM : M0_2634 ; cote locale : C_8_10. le 2013-06-10 08:30:24.

tombe auec elle d’accord,
Orphée ils ont iuré ta mort.
Quel si gueux violon t’enuie,
& voudroit donner de ta vie
Les vieilles gregues d’vn pendu,
Depuis que Venus t’a vendu,
A ces yurognesses de Thrace,
Qui tiennent l’yuresse de race,
Et s’embeguinent le cerueau
D’vne iatte de vin nouueau.
La moindre n’en est pas sevrée,
Bacchus leur donne fa livrée,
Vois-tu sous leurs fronts bourgeonnez
Flamber les rubis de leurs nez :
Leurs trognes d’yuresse enfumées
Et

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 214. Anonyme. SVITTE DE L’ORPHEE, AVEC LES BACCHANTES OV... (1649) chez Martin (Sébastien) à Paris , 12 pages. Langue : français. Avec permission. Partie 2. Voir aussi C_8_9 (partie 1). Référence RIM : M0_2634 ; cote locale : C_8_10. le 2013-06-10 08:30:24.

i’en rie :
La belle esperance aux corbeaux
De voir nostre chantre en lambeaux ;
Quoy qu’à l’obiet de playe & bosse
Vn barbier pense estre à la noce
Il seroit décontenancé,
Prés ce mal’heureux fracassé
Sur qui cette race ennemie
Fait la premiere anatomie :
Et qui pis est sans bistoury
Dont le pauure homme estoit mary.
Mais quoy qu’au lieu de l’art l’yuresse,
Le dissequast tout sans iustesse
De la prend son extraction
Damoiselle dissection
Quand le

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 215. Anonyme. TROISIESME PARTIE DV POLITIQVE VNIVERSEL, OV... (1652 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 40 pages. Langue : français. Partie 3. Voir aussi B_17_30 (partie 1), B_17_31 (partie 2) et B_17_33 (partie 4). Référence RIM : M0_2818 ; cote locale : B_17_32. Texte édité par Morvan Perroncel le 2013-10-06 17:22:19.

ce tribut
n’est autre chose que ce qu’on luy doit donner
pour l’entretient de sa Maison & pour les
affaires qui concernent la seureté & le repos
de l’Estat, qui est iustement ce qu’on appelle
Domaine, duquel les Roys de la premiere &
seconde Race se sont contentez sans rien leuer
au de là de ce qu’il leur raportoit sur leurs subiets
si ce n’estoit en quelque cas extraordinaire :
Mais quand la necessite le requiert, il faut faire
assembler les trois Estats du Royaume pour voir
si le pretexte que l’on

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 216. Anonyme. TROISIESME PARTIE DV POLITIQVE VNIVERSEL, OV... (1652 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 40 pages. Langue : français. Partie 3. Voir aussi B_17_30 (partie 1), B_17_31 (partie 2) et B_17_33 (partie 4). Référence RIM : M0_2818 ; cote locale : B_17_32. Texte édité par Morvan Perroncel le 2013-10-06 17:22:19.

que le mépris s’engendre de la trop grande familiarité,
ou de la trop grande cognoissance
que nous auons de la chose : ou du moins ils ne
se deuroient laisser voir qu’vne fois l’an, ainsi
que les Roys des Assyriens, ou ainsi que nos
anciens Roys de la derniere race de Pharamond,
faisoient par vne vanité qui les rendit
à la fin tout à fait méprisables. Mais an contraire, ie trouue que nous ne sçaurions auoir beaucoup
de compassion pour ce qui nous est inconu,
& que l’amour, la veneration, & le

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 217. Baltasard, Christophle. TRAITTÉ DES VSVRPATIONS DES ROYS... (1645) chez Paslé (Jean) à Paris , 48 pages. Langue : français. Avec privilège. En dernières pages: table et extrait du privilège.. Référence RIM : Mx ; cote locale : D_1_6. Texte édité par Site Admin le 2013-03-10 08:56:33.

& virent deschirer piece à piece ce grand Estat, acquis
en tant d’annees par le sang des François, pour auoir trop voulu gouster
des trompeuses douceurs du repos.   La suitte de ce discours fera voir auec quel courage leurs successeurs,
souz la troisiesme race, ont poursuiuy leurs droicts & pretentions, & maintenu
leur grandeur contre l’effort de leurs ennemis, & la rebellion de leurs
vassaux, tesmoin les guerres anciennes de Flandre, d’Angleterre, & de
Bourgongne : & de plus fraische memoire, les voyages

=> Afficher la page


Occurrence 218. Baltasard, Christophle. TRAITTÉ DES VSVRPATIONS DES ROYS... (1645) chez Paslé (Jean) à Paris , 48 pages. Langue : français. Avec privilège. En dernières pages: table et extrait du privilège.. Référence RIM : Mx ; cote locale : D_1_6. Texte édité par Site Admin le 2013-03-10 08:56:33.

les formes anciennes.
Nous laisserons ce differend pour expedier celuy du Comté de Roussillon.   Du Comté de Roussilion. CE pays fut erigé en Comté par l’Empereur Charlemagne, lors qu’il
donna à Louis son fils le Royaume d’Aquitaine. Sur le declin de la
race des Carliens les Ducs & Comtes qui n’estoient auparauant que Gouuerneurs,
s’estans rendus hereditaires, les Comtes de ce pays s’allierent
par succession de temps auec la Maison d’Arragon : & par ceste alliance
ce Comté fut vny à la Couronne d’Arragon, souz

=> Afficher la page


Occurrence 219. Baltasard, Christophle. TRAITTÉ DES VSVRPATIONS DES ROYS... (1645) chez Paslé (Jean) à Paris , 48 pages. Langue : français. Avec privilège. En dernières pages: table et extrait du privilège.. Référence RIM : Mx ; cote locale : D_1_6. Texte édité par Site Admin le 2013-03-10 08:56:33.

quatre
fils, qui diuiserent l’Estat en quatre parts, souz le tiltre de Royaumes sans
aucune reseruation d’hommage enuers l’aisné, suiuant la coustume de ce
siecle grossier, & ignorant au maniement des affaires d’Estat, coustume
qui dura iusques à la troisiesme race de nos Roys. Ainsi le Royaume de Paris
escheut à Childebert, aisné des quatre freres, celuy d’Orleans à Clodomire,
Theodoric, celuy de Metz, & celuy de Soissons à Clotaire. Ce démembrement de la Couronne, auec le peu d’vnion qui se trouuoit
entre ces jeunes

=> Afficher la page


Occurrence 220. Baltasard, Christophle. TRAITTÉ DES VSVRPATIONS DES ROYS... (1645) chez Paslé (Jean) à Paris , 48 pages. Langue : français. Avec privilège. En dernières pages: table et extrait du privilège.. Référence RIM : Mx ; cote locale : D_1_6. Texte édité par Site Admin le 2013-03-10 08:56:33.

c’estoit la coustume de donner partage aux puisnez, il leur falloit
assigner sur quelque partie d’Alemagne, à la charge de releuer de l’aisné :
Mais ceste sorte d’appointer les Cadets souz la souueraineté de la Couronne,
n’a esté mise en vsage que souz la troisiesime race : Ce quia cause la
dissipation de ceste grande Monarchie. Quelques Historiens de ce temps
là escriuent que Louis le Debonnaire, pour obuier au debris de cet Estat,
eut dessein de le consigner entierement entre les mains de Lothaire, son
fils aisné, & de laisser aux

=> Afficher la page


Occurrence 221. Baltasard, Christophle. TRAITTÉ DES VSVRPATIONS DES ROYS... (1645) chez Paslé (Jean) à Paris , 48 pages. Langue : français. Avec privilège. En dernières pages: table et extrait du privilège.. Référence RIM : Mx ; cote locale : D_1_6. Texte édité par Site Admin le 2013-03-10 08:56:33. , fils de Louis III. vray heritier de la Couronne
Imperiale. Et de faict, apres le deceds de Louis, fils d’Arnoul, la race de
Charles le Grand ayant pris fin en Allemagne, pendant qu’elle continuoit
en la maison de France, les Allemans ne laisserent pas de creer vn
Empereur de leur Nation : Ce que les Italiens auoient desia fait apres
la mort de Charles le Gros, si bien qu’il y eut

=> Afficher la page


Occurrence 222. Baltasard, Christophle. TRAITTÉ DES VSVRPATIONS DES ROYS... (1645) chez Paslé (Jean) à Paris , 48 pages. Langue : français. Avec privilège. En dernières pages: table et extrait du privilège.. Référence RIM : Mx ; cote locale : D_1_6. Texte édité par Site Admin le 2013-03-10 08:56:33.

legitimes, que Charles le Simple, son cousin issu de Germain,
Arnoul, & Louis son fils, ne pouuoient tenir l’Empire qu’à tiltre de precaire,
& iusques à la majorité de ce ieune Prince. Mais supposé qu’ils fussent
appellez à ceste dignité legitimement, la race de Charles le Grand
ayant finy en leur branche, l’Empire deuoit retourner en la branche directe
& legitime, qui duroit encore en France, au preiudice de laquelle
les Allemans, ny les Italiens, ne pouuoient rendre ceste dignité electiue,
ayant esté donnee hereditaire

=> Afficher la page


Occurrence 223. Baltasard, Christophle. TRAITTÉ DES VSVRPATIONS DES ROYS... (1645) chez Paslé (Jean) à Paris , 48 pages. Langue : français. Avec privilège. En dernières pages: table et extrait du privilège.. Référence RIM : Mx ; cote locale : D_1_6. Texte édité par Site Admin le 2013-03-10 08:56:33.

Naples, fit dresser des piloris
par les carrefours de Rome, & exercer la Iustice par ses Officiers, pour
conseruer les droicts que luy auoient acquis ses predecesseurs.   Ayans fait voir par quels degrez cet Estat accreut si puissamment souz
la premiere & seconde race de nos Roys, reste à deduire, selon nostre dessein,
les moyens qui le firent decliner. Les Sages ont remarque que les Monarchies
tombent en ruine, ou par l’insuffisance, & mauuaise conduite des
Souuerains, ou par l’infidelité de ses Officiers & ministres, ou par

=> Afficher la page


Occurrence 224. Baltasard, Christophle. TRAITTÉ DES VSVRPATIONS DES ROYS... (1645) chez Paslé (Jean) à Paris , 48 pages. Langue : français. Avec privilège. En dernières pages: table et extrait du privilège.. Référence RIM : Mx ; cote locale : D_1_6. Texte édité par Site Admin le 2013-03-10 08:56:33.

qui moururent
sans hoirs legitimes, & sans autre heritier que Charles le Simple, leur
Cousin yssu de germain : Mais cet Arnoul, bastard de Carloman, duquel
nous auons parle, s’empara de ceste grande succession, suiuant la
coustume obseruée souz la premiere & seconde race, qui égaloit les bastards
aux enfans legitimes, ainsi que Thierry, bastard de Clouis, partagea
auec Clotaire, Clodomire, & Childebert : Louis & Carloman, bastards
de Louis III. que les François esleuerent sur le trône Royal pendant
le bas âge de Charles le

=> Afficher la page


Occurrence 225. Baltasard, Christophle. TRAITTÉ DES VSVRPATIONS DES ROYS... (1645) chez Paslé (Jean) à Paris , 48 pages. Langue : français. Avec privilège. En dernières pages: table et extrait du privilège.. Référence RIM : Mx ; cote locale : D_1_6. Texte édité par Site Admin le 2013-03-10 08:56:33.

bastards
aux enfans legitimes, ainsi que Thierry, bastard de Clouis, partagea
auec Clotaire, Clodomire, & Childebert : Louis & Carloman, bastards
de Louis III. que les François esleuerent sur le trône Royal pendant
le bas âge de Charles le Simple. Souz la troisiesme race on s’aduisa
de corriger ceste faute, mais ce fut trop tard : Car si Arnoul n’eust
point succedé à Charles le Gros, son Oncle, tous les membres de ceste
grande Monarchie espars çà & là, se fussent reünis à la Couronne de
France, comme à leur chef.

=> Afficher la page


Occurrence 226. Baltasard, Christophle. TRAITTÉ DES VSVRPATIONS DES ROYS... (1645) chez Paslé (Jean) à Paris , 48 pages. Langue : français. Avec privilège. En dernières pages: table et extrait du privilège.. Référence RIM : Mx ; cote locale : D_1_6. Texte édité par Site Admin le 2013-03-10 08:56:33.

mesme consideration qui
auoit retenu son pere, le porta à la paix, qui fut concluë auec l’Empereur,
auec renonciation expresse aux droicts qu’il pouuoit pretendre sur la Lorraine.
Pour conseruer ce qui restoit de ceste grande Monarchie, on commença
souz ceste troisiesme race d’appanager les puisnez, à la discretion
des Roys, & à la charge de retour à la Couronne au default d’hoirs mâles.
Sage, & vtile instituiton, à laquelle nous deuons la reünion de beaucoup
de Prouinces & Seigneuries, assez inconsiderément démembrees,

=> Afficher la page


Occurrence 227. Baltasard, Christophle. TRAITTÉ DES VSVRPATIONS DES ROYS... (1645) chez Paslé (Jean) à Paris , 48 pages. Langue : français. Avec privilège. En dernières pages: table et extrait du privilège.. Référence RIM : Mx ; cote locale : D_1_6. Texte édité par Site Admin le 2013-03-10 08:56:33.
trouue point de Traitté par lequel nos Roys ayent renoncé aux droicts &
pretentions de ceste Prouince. Du pays de

=> Afficher la page


Occurrence 228. Baltasard, Christophle. TRAITTÉ DES VSVRPATIONS DES ROYS... (1645) chez Paslé (Jean) à Paris , 48 pages. Langue : français. Avec privilège. En dernières pages: table et extrait du privilège.. Référence RIM : Mx ; cote locale : D_1_6. Texte édité par Site Admin le 2013-03-10 08:56:33.
ce qu’il fit, & la fit resoudre à receuoir garnison Françoise.   Ainsi tout le Rhin est retourné à ses anciens Maistres, qui depuis la seconde
race de nos Roys, l’auoient perdu par diuisions, & guerres ciuiles : &
maintenant le recouurent par les armes de leurs Maiestez Tres-Chrestiennes. Les principales forces du Duc d’Enguien demeurerent campees à la
veuë de Philisbourg, où elles croissoient de iour à

=> Afficher la page


Occurrence 229. Boyer, Paul / sieur du Petit... . L’IMAGE DV SOVVERAIN OV L’ILLVSTRE... (1649) chez [s. n.] à Paris , 26 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1684 ; cote locale : C_5_58. Texte édité par Morvan Perroncel le 2013-04-27 17:07:35.

contre toute equité tout le bien du peuple. Si bien que
pour empescher ces desordres il fut contraint de créer vn
Chef qui pût commander à tous, & qui pût pareillement
aussi maintenir les bons dedans leur propre bien, & châtier
les méchans pour en exterminer la race. Cette seule raison
nous oblige à croire que les Roys furent establis dés le
commencement du monde, & presque incontinent apres
que nos premiers Peres furent bannis du Paradis terrestre.
Car la préeminence & l’authorité estoient plus necessaires
en ce

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 230. Du Crest,?. LE SENEQVE MOVRANT, DECLARANT A SA MORT le... (1652) chez [s. n.] à Paris , 31 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_3640 ; cote locale : B_16_19. Texte édité par Patrick Rebollar le 2013-02-11 13:50:30.

Le premier aage & comme l’enfance de la Monarchie
Françoise s’est passé sous Pharamond, & ses successeurs,
iusques à enuiron trois cens ans. Il s’est accreu
sous Charlemagne, & poussé l’ardeur de sa jeudesse :
Mais les derniers Roys de sa Race venans à se
relascher dans l’excez des delices, eussent sans doute
enseuely dans vne honteuse ruine, la grandeur que
tant d’illustres Monarques luy auoient acquise, si la
prudence d’Hugues Capet ne l’eut remise en l’estat
d’vne meure vigueur. Mais depuis

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 231. Du Crest,?. LE SENEQVE MOVRANT, DECLARANT A SA MORT le... (1652) chez [s. n.] à Paris , 31 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_3640 ; cote locale : B_16_19. Texte édité par Patrick Rebollar le 2013-02-11 13:50:30.

de peine par le moyen des Normands. Charles le Gros, Charles le Simple, & Loüis d’Outre
Mer, firent des grandes pertes au sujet de la Guerre,
& du rauage des Normands. Loüis V. eust fort peu de contentement pendant
sa Royauté. Ainsi la seconde Race des Roys fust elle
mesme contrainte de ceder à vne meilleure place : Car
toutes choses ont vne certaine reuolution, & comme les saisons
succedent les vnes aux autres, ainsi les coustumes des hommes
se changent, voire mesme celles des Empires. Sous Hugues Capet,

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 232. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE COVP D’ESTAT DV PARLEMENT DES PAIRS, OV... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 32 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_802 ; cote locale : B_5_3. le 2013-07-07 16:27:05.

pratiquée du depuis
pour le premier & veritable Monarque des François.   Cependant, ces assemblées des Francs pratiquées auant
leur establissement dans les Gaules, ne s’interrompoient
point ; & tous nos Historiens sont d’accord, que
dans la premiere race de nos Roys, qui est celle des Meroüingiens,
elles faisoient vne fois tous les ans, auec
vne seuerité si estroite, qu’il n’estoit pas possible de s’en
dispenser, à moins d’vne excuse qui fust iugée valable
& tres-legitime. Il est vray que pendant

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 233. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE COVP D’ESTAT DV PARLEMENT DES PAIRS, OV... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 32 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_802 ; cote locale : B_5_3. le 2013-07-07 16:27:05.

Roys, qui est celle des Meroüingiens,
elles faisoient vne fois tous les ans, auec
vne seuerité si estroite, qu’il n’estoit pas possible de s’en
dispenser, à moins d’vne excuse qui fust iugée valable
& tres-legitime. Il est vray que pendant cette premiere race de nos
Roys, tous les Francs se trouuoient dans les assemblées,
parce que l’estenduë de leur petite Monarchie estoit
fort bornée : Mais depuis que les premiers Carlouingiens,
c’est à dire, les premiers Roys de la seconde race,
eurent estendu les limites de

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 234. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE COVP D’ESTAT DV PARLEMENT DES PAIRS, OV... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 32 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_802 ; cote locale : B_5_3. le 2013-07-07 16:27:05.

Il est vray que pendant cette premiere race de nos
Roys, tous les Francs se trouuoient dans les assemblées,
parce que l’estenduë de leur petite Monarchie estoit
fort bornée : Mais depuis que les premiers Carlouingiens,
c’est à dire, les premiers Roys de la seconde race,
eurent estendu les limites de leur estat, par leur conquestes ;
l’incommodité d’assembler tous les subjets, obligea les Souuerains de n’appeller que les principaux
de leurs Estats à ces assemblées qui se faisoient à la verité
tous les ans vne

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 235. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE COVP D’ESTAT DV PARLEMENT DES PAIRS, OV... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 32 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_802 ; cote locale : B_5_3. le 2013-07-07 16:27:05.

les Souuerains de n’appeller que les principaux
de leurs Estats à ces assemblées qui se faisoient à la verité
tous les ans vne fois, mais pour lesquelles neantmoins
on ne choisissoit pas vn lieu determiné, comme
le Campus Martius, ou le Champ de Mars de la premiere
race.   Il faut encor remarquer suiuant ce que Paul Emile
& les Annales de Mets en rapportent, que pendant la
premiere race de nos Roys, ces assemblées de Francs,
sembloient plutost des armées rangées en bataille,
que des Conseils establis pour des

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 236. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE COVP D’ESTAT DV PARLEMENT DES PAIRS, OV... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 32 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_802 ; cote locale : B_5_3. le 2013-07-07 16:27:05.

fois, mais pour lesquelles neantmoins
on ne choisissoit pas vn lieu determiné, comme
le Campus Martius, ou le Champ de Mars de la premiere
race.   Il faut encor remarquer suiuant ce que Paul Emile
& les Annales de Mets en rapportent, que pendant la
premiere race de nos Roys, ces assemblées de Francs,
sembloient plutost des armées rangées en bataille,
que des Conseils establis pour des deliberations publiques,
parce qu’il faloit selon les Loix de ces assemblées,
que tous ceux qui les composoient, fussent armez de
pied en

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 237. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE COVP D’ESTAT DV PARLEMENT DES PAIRS, OV... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 32 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_802 ; cote locale : B_5_3. le 2013-07-07 16:27:05.

pied en cap ; & qu’il falloit outre cela, qu’elles ne se
fissent iamais à l’imitation des Romains, que dans le
Champ de Mars, c’est à dire, dans vn lieu champestre,
esloigné du commerce des Villes. Ces assemblées changerent de posture en la seconde
race de nos Roys, & comme elles furent renduës ambulatoires
par la necessité des affaires d’Estat, on ne les
tenoit presque plus que dans les villes ; si les personnes
armées n’en estoient point exclües, elles n’y estoient
du moins necessaires ; la Robe &

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 238. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE COVP D’ESTAT DV PARLEMENT DES PAIRS, OV... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 32 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_802 ; cote locale : B_5_3. le 2013-07-07 16:27:05.

du moins necessaires ; la Robe & l’Epée commencerent
à symboliser ensemble ; & cét esprit vn peu farouche
che dans les assemblées qui ne se faisoient que dans les
champs, fut en quelque façon appriuoisé à vne humeur
plus raisonnable dans les villes. La race des Capetiens, qui est la troisiesme race, &
la souche des Roys d’aujourd’huy, continua. Pendant
ie ne sçay combien de temps ces assemblées, soubs le
mesme nom ; iusqu’à ce que soubs Philippe II. fils de Louys VII. dit le Ieune, elles prirent le

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 239. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE COVP D’ESTAT DV PARLEMENT DES PAIRS, OV... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 32 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_802 ; cote locale : B_5_3. le 2013-07-07 16:27:05.

commencerent
à symboliser ensemble ; & cét esprit vn peu farouche
che dans les assemblées qui ne se faisoient que dans les
champs, fut en quelque façon appriuoisé à vne humeur
plus raisonnable dans les villes. La race des Capetiens, qui est la troisiesme race, &
la souche des Roys d’aujourd’huy, continua. Pendant
ie ne sçay combien de temps ces assemblées, soubs le
mesme nom ; iusqu’à ce que soubs Philippe II. fils de Louys VII. dit le Ieune, elles prirent le tiltre de Parlement,
qui fut enfin rendu

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 240. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE COVP D’ESTAT DV PARLEMENT DES PAIRS, OV... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 32 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_802 ; cote locale : B_5_3. le 2013-07-07 16:27:05.

les Peuples ne sont nullement obligés de s’y soumettre à moins qu’il ne leur soit euident
par vn Arrest de cette Assemblee où de ce Parlement
qu’elles sont iustes & legitimes.   Les conquestes de nos Roys ; & sur tout celles de la
seconde race, venant à estendre les limites de la Monarchie
Françoise, il a fallu necessairement que nos Souuerains,
ait communiqué ce pouuoir de connoistre des
affaires Publiques & particulieres à d’autres Parlemẽts
qu’à celuy de Paris, lesquels neantmoins n’estant

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 241. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE COVP D’ESTAT DV PARLEMENT DES PAIRS, OV... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 32 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_802 ; cote locale : B_5_3. le 2013-07-07 16:27:05.

que nos
Roys ont auiourd’huy leur lict de Iustice, jadis representé par
l’exemple de cet Auguste Tribunal, sur lequel leurs predecesseurs
auoient coustume d’estre esleuez au champ de Mars dans
l’assemblée generale des François, dans la premiere & seconde race,
& dans le commencement de la troisiesme race de nos Roys, &
qui y president aujourd’huy auec la mesme authorité, qu’ils
presidoient pour lors sur ces Tribunaux Champestres, lors que
tous les François dans la premiere race ; & les principaux dans

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 242. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE COVP D’ESTAT DV PARLEMENT DES PAIRS, OV... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 32 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_802 ; cote locale : B_5_3. le 2013-07-07 16:27:05.

de Iustice, jadis representé par
l’exemple de cet Auguste Tribunal, sur lequel leurs predecesseurs
auoient coustume d’estre esleuez au champ de Mars dans
l’assemblée generale des François, dans la premiere & seconde race,
& dans le commencement de la troisiesme race de nos Roys, &
qui y president aujourd’huy auec la mesme authorité, qu’ils
presidoient pour lors sur ces Tribunaux Champestres, lors que
tous les François dans la premiere race ; & les principaux dans
toute la seconde, & dans le commencement de la

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 243. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE COVP D’ESTAT DV PARLEMENT DES PAIRS, OV... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 32 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_802 ; cote locale : B_5_3. le 2013-07-07 16:27:05.

François, dans la premiere & seconde race,
& dans le commencement de la troisiesme race de nos Roys, &
qui y president aujourd’huy auec la mesme authorité, qu’ils
presidoient pour lors sur ces Tribunaux Champestres, lors que
tous les François dans la premiere race ; & les principaux dans
toute la seconde, & dans le commencement de la troisiesme,
se trouuoient dans ces assemblées generales, pour y decider
souuerainement & coniointement auec leur Souuerain de toutes
les affaires d’Estat. Apres

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 244. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE COVP D’ESTAT DV PARLEMENT DES PAIRS, OV... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 32 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_802 ; cote locale : B_5_3. le 2013-07-07 16:27:05.

pouuoir Souuerain, sans que personne
soit en droit d’en empieter l’Authorité, puis que le Parlement
en representant cette Assemblée generalle des Francs represente
par consequent tous les François, lesquels y estoient
tous appellés sans aucune exception dans la premiere race,
& les principaux d’entre eux dans la seconde & dans le commancement
de la troisiesme : & puis que les Roys ne tiennent
leur pouuoir que de l’Assemblée des Francs appellée du
depuis Parlement sous Philipe Auguste, & renduë sedentaire
dans Paris

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 245. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE COVP D’ESTAT DV PARLEMENT DES PAIRS, OV... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 32 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_802 ; cote locale : B_5_3. le 2013-07-07 16:27:05.

general des François, il ne peut par consequent
point estre de differend de quelque haute importance
qu’il soit, qu’il ne puisse souuerainement decider. Pour soustenir ce raisonnement il faut que i’aye recours
à l’histoire. Le quatriéme Roy de la premiere race
ne fut chassé de l’Estat que par vn Arrest porté contre
l’iniustice de ses déportemens par l’Assemblée generalle
des François, appllée du depuis Parlement des Pairs.
Et Chilperic le dernier des Roys de cette mesme premiere
race ne fut frustré de la

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 246. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE COVP D’ESTAT DV PARLEMENT DES PAIRS, OV... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 32 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_802 ; cote locale : B_5_3. le 2013-07-07 16:27:05.

Le quatriéme Roy de la premiere race
ne fut chassé de l’Estat que par vn Arrest porté contre
l’iniustice de ses déportemens par l’Assemblée generalle
des François, appllée du depuis Parlement des Pairs.
Et Chilperic le dernier des Roys de cette mesme premiere
race ne fut frustré de la succession du Trone, qui
estoit legitime dans sa maison, que par l’Arrest de cette
assemblée generalle ou du Parlement porté en faueur
de Pepin, lequel ayant esté iustement reconnu
plus capable que son predecesseur pour releuer les affaires

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 247. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE COVP D’ESTAT DV PARLEMENT DES PAIRS, OV... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 32 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_802 ; cote locale : B_5_3. le 2013-07-07 16:27:05.

honteuse décadence, où la stupidité des
derniers Meroüingiens les auoient laissez insensiblement glisser, fut éleué sur le bouclier & sur le trosne,
au preiudice mesme du droict hereditaire de Chilperic.   Le mesme Parlement sur la fin de la seconde race
declara Charles fils de Louys d’Outre-mer, indigne
d’occuper le trosne François, pour auoir pris le Duché
de Lorraine en foy & hommage de l’Empereur Othon
II. & pourueu par mesme iugement à la succession de
la Couronne en faueur de Huges Capet, lequel

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 248. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE COVP D’ESTAT DV PARLEMENT DES PAIRS, OV... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 32 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_802 ; cote locale : B_5_3. le 2013-07-07 16:27:05.

absolument sur les affaires publiques. sans que
les Souuerains s’y peussent opposer par les seuls obstacles
de leur authorité : Ie ne veux rien decider, Mazarin
qui que tu sois, rapportons-nous en tous deux à l’histoire,
& nous scaurons que dans la premiere race, cette assemblee
des Francs qui se faisoient à toute sorte de rencontres,
decidoit souuerainement, le Roy present où
non present, toutes les affaires d’Estat ; Et que dans la
seconde race & dans le commencent de la troisiesme,
comme ces assemblées ne se

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 249. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE COVP D’ESTAT DV PARLEMENT DES PAIRS, OV... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 32 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_802 ; cote locale : B_5_3. le 2013-07-07 16:27:05.

en tous deux à l’histoire,
& nous scaurons que dans la premiere race, cette assemblee
des Francs qui se faisoient à toute sorte de rencontres,
decidoit souuerainement, le Roy present où
non present, toutes les affaires d’Estat ; Et que dans la
seconde race & dans le commencent de la troisiesme,
comme ces assemblées ne se faisoient qu’vne fois l’année
on y resoluoit les affaires importantes lors que le Roy
n’y estoit pas, auec la mesme souueraineté que s’il y eust
esté present. Et si tu veux

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 250. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE COVP D’ESTAT DV PARLEMENT DES PAIRS, OV... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 32 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_802 ; cote locale : B_5_3. le 2013-07-07 16:27:05.

tout à vn mesme compas, c’est extrauaguer : Les Loix
mesme fondamentalles qui doiuent estre les plus inébranlables
sont sujetes au temps ; & quoy que par la loy
fondamentalle la succession du Trône appartint à
Charles Duc de Lorraine sur la fin de la seconde race ;
la nouueauté du changement fut neantmoins estimée
tres legitime par le Parlement des Pairs, pour l’establissement
de Hugues Capet. Il n’a iamais esté de plus estrange nouueauté, que la
Declaration de Charles V. donnée pour faire emanciper
les Roys

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 251. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

mortelle. De là elle se porte
pour Regente de ses Enfans Sigebert, Childebert,
Corbe & Merouée, lesquels bien qu’ils fussent illegitimes,
furent appellés à la Couronne d’Austrasie
par le droit de leur naissance, suiuant l’vsage de ce
tẽps dans la premiere race de nos Rois. Mais Pepin &
Arnoul seigneurs principaux d’Austrasie ayãts conspiré
auec Varnier & Albon Maires du Palais, la perte
de Brunehaut & de ses arriere-fils, les liurerent au
Roy Clotaire leur ennemy, lequel ayant fait mourir
premierement ces

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 252. Dubosc-Montandré, Claude [?]. L’ADVOCAT GENERAL, SOVSTENANT LA CAVSE DE... (1652 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 32 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_555 ; cote locale : B_17_14. le 2013-01-22 14:50:10.

de
cet edifice, elle n’eut pas manqué de trouuer deux
ou trois millions ou de les retrancher du moins de
ces sommes immenses que son fauory faisoit secretement
transporter par ses ordres dans l’Italie, pour
y bastir des Palais à la plus infame de toutes les races
du monde. Au reste c’est exagerer encor plus patetiquement
les raisons qu’on a de croire, que la Reyne n’estoit
pas fort affectionnée pour les interests de l’Estat ;
que de dire que le Val de Grace est le seul bastiment
qu’elle a entrepris, &

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 253. Dubosc-Montandré, Claude [?]. L’APOCALYPSE DE L’ESTAT, FAISANT VOIR,... (1651 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 40 pages. Langue : français. La page 40 et dernière contient un avertissement au lecteur qui identifie Dubosc-Montandré.. Référence RIM : M0_98 ; cote locale : B_4_18. Texte édité par Site Admin le 2013-02-01 15:27:34.

qu’elle s’imagina qu’en
l’esleuant, il deuiendroit enfin, par le seul motif d’vne
complaisance seruile le maistre instrument de sa
brutalité. Faut il regrater dans la Genealogie du
Gondy de Catherine de Medicis, que tout le monde
sçait estre Florentin, issu de race de Maranes, fils
d’vn double Banqueroutier, & de la plus infame Putain
& Maquerelle qui soit iamais sortie de l’Italie.
Pour le Mazarin d’Anne d’Autriche, tout le monde
tombe d’accord qu’il est de tres ville naissance, &
que les plus illustres

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 254. Dubosc-Montandré, Claude [?]. L’ESPRIT DE LA VERITÉ Representant... (1652) chez [s. n.] à Paris , 16 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1283 ; cote locale : B_17_28. Texte édité par Patrick Rebollar le 2013-02-05 11:12:07.

qui est rapporté par l’Autheur de l’Arrest
que la dignité du Roy est la multitude du peuple, & que la honte
du Prince est au petitit nombre. Il dit vray : Mais comment ?
certainement ce n’est point de ce miserable siecle :
mais du temps des Merouingiens en la 1. Race des
Rois de France, des Charlemagnes en la seconde Race des vrais imitateurs de nos Capets en cette troisiesme
qui ont vescu & sont decedez en cette dignité par la
multitude des Peuples de France, qui les ont reconnu dignes
Administrateurs de cet

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 255. Dubosc-Montandré, Claude [?]. L’ESPRIT DE LA VERITÉ Representant... (1652) chez [s. n.] à Paris , 16 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1283 ; cote locale : B_17_28. Texte édité par Patrick Rebollar le 2013-02-05 11:12:07.

dignité du Roy est la multitude du peuple, & que la honte
du Prince est au petitit nombre. Il dit vray : Mais comment ?
certainement ce n’est point de ce miserable siecle :
mais du temps des Merouingiens en la 1. Race des
Rois de France, des Charlemagnes en la seconde Race des vrais imitateurs de nos Capets en cette troisiesme
qui ont vescu & sont decedez en cette dignité par la
multitude des Peuples de France, qui les ont reconnu dignes
Administrateurs de cet Empire. Mais combien
auons nous veu de Rois, qui auroient

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 256. Gondi, Jean-François Paul /... . HARANGVE FAITE AV ROY PAR MONSEIGNEVR LE... (1652) chez L'Angevin (Antoine) à Paris , 15 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1594 ; cote locale : B_16_64. le 2013-01-13 00:49:44.

fera point entendre les diuerses
causes des remuements populaires qui y
sont arriués. On vous rendra tousiours criminels
ceux qui se sont opposez, non à vostre iuste
authorité : mais au mauuais Ministre de vostre
Conseil. On vous fera le plus puissant de
vostre race : Mais on ne vous dira point que Paris
est plus tost a present vne ancienne Rome déforcée
qu’elle n’estoit iadis à comparer à la ville
d’Ostie. On vous promettra que la faim la contraindra
la corde au col à chercher pardon comme
on faisoit au blocus : Mais

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 257. L. G. [signé]. LE DONNEVR DAVIS AVX PARTISANS SORTANT DV... (1649) chez [s. n.] à Paris , 10 pages. Langue : français. Le titre devrait être "Le donneur d'avis", avec apostrophe.. Référence RIM : M0_1171 ; cote locale : C_7_61. Texte édité par Site Admin le 2013-07-20 08:09:05.

les honneurs
que ie merite, que les Peintres vendent mon portaict, &
que l’on metent au dessus, voicy celuy qui merite vne gloire
immortelle, & qui ne s’est iamais reposé tant que le mõde
a esté miserable de ceste verité, on passera à l’honneur
de ma race & de vilains que mes parens sont à ceste heure
Roituriers ou Artisans nous serons logés au supreme rang
des esleuations & des loüanges, attendant ceste aymable
saison ie mangeré mon pain sec & bis auec paix & ioye &
le prefereré aux bisques de ceux

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 258. M. B. I. V. D. R. D. L. P. P.... . ARREST SVR LE IVGEMENT rendu contre... (1652) chez [s. n.] à Paris , 8 pages. Langue : français. Référence RIM : Mx ; cote locale : B_17_16. le 2013-01-06 05:50:31.

tirent point les
conditions necessaires pour bien gouuerner de leur naissance.
Isaï auoit plusieurs fils plus aagez que Dauid, qui neantmoins
n’ont point esté choisis de Dieu à cause qu’ils n’en auoient point
les vertus. Ce n’est point pourtant que la naissance & race Royale
le ne doiue estre grandement considerable, iusques à estre tousiours
preferée aux plus dignes Prince de l’Estat, iusque à tant
que Dieu en dispose autrement, soit en leurs déniant ou priuant
des vertus necessaires à vn Roy pour gouuerner, soit en les

=> Afficher la page


Occurrence 259. M. N. R. F. J.. L’ESTAT EN TROVBLE Par le Gouuernement DES... (1652) chez Chrétien (Antoine) à Paris , 15 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1296 ; cote locale : B_16_53. le 2013-02-05 15:33:31.

Allemands, fut enfin par eux-mesmes despoüillé
de sa Couronne, & finit sa vie en prison. Et Lothaire
son petit fils ne s’estant point rendu prudent
par le mal heur d’autruy, laissa l’Empire si
foible & si fragille à son fils, qu’il fut le dernier
de la race de Charlemagne qui y commanda.
L’Empereur Louys mesme ne se peut garentir
qu’auec beaucoup de peine, des conjurations faites
contre sa personne par les propres enfans, &
par les Princes de l’Empire, parce qu’il auoit fait
venir dans sa Cour

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 260. P. M. D. C. [signé] /... . LE COMETE ROYAL PRONOSTIQVANT A LA Reine vn... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 40 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : M1_66 ; cote locale : B_4_2. le 2013-07-07 09:40:57.

fait connoistre
son nom, & qui n’a fait que des ennemis dans
son propre pays, où la bassesse de son extraction
le rend mesprisable par les Nobles, & où le
peuple deteste sa violence, & son humeur tyrannique.
Nous auons vn de nos Peres qui connoist
sa Race, & qui nous a asseuré que le nom qu’il
porte luy est commun, comme le sang & le cœur
auec la plus commune populace de... & qu’il
n’a point d’alliance recõmandable que par sa mere
seulement, fille d’vn Mareschal de France, qui estoit
vn Athee,

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 261. P. M. D. C. [signé] /... . LE COMETE ROYAL PRONOSTIQVANT A LA Reine vn... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 40 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : M1_66 ; cote locale : B_4_2. le 2013-07-07 09:40:57.

vie,
qu’il ne leur est permis de perdre volontairement,
que pour la conseruation de ce thresor.   Vous y estiez, mon Dieu, vous qui estant homme
auez chassé du Temple les Marchands. Pourquoy
Dieu & homme tout ensemble, n’auez-vous point
exterminé cette race maudite, qui n’a point eu
d’horreur non plus qu’en ont les demons, ny d’honneur
pour vostre S. Sacrement exposé sur les Autels,
ils l’ont renuersé du Sanctuaire pour faire place à ces
miserables victimes, ils l’ont foulé aux pieds. Vous
faisiez

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 262. P. M. D. C. [signé] /... . LE COMETE ROYAL PRONOSTIQVANT A LA Reine vn... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 40 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : M1_66 ; cote locale : B_4_2. le 2013-07-07 09:40:57.

le mesme Dieu qui donna vne si funeste suite à cette
parole espouuantable des Tribus desia sousleuez
en leur cœur, Que nous importe de prendre tant d’interest,
& d auoir tant de respect pour la posterité de Dauid ?
Qu’est il besoin de nous attacher si fort à la Race
d’isaj. C’est son Altesse Royale, c’est le fils de Henry
le Grand, que regarde à present ce lieu des Saintes
Lettres ; Ce n’est point au Roy qui est ieune, c’est à
Monsieur le Duc d’Orleans à dire pourquoy hazarder
nostre heritage, pour proteger vn

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 263. Pontac,? de [signé]. LETTRE DE MESSIEVRS DV PARLEMENT DE... (1650) chez Sassier (Guillaume) à Paris [?] , 7 pages. Langue : français. Sans page de titre. Informations éditoriales au colophon.. Référence RIM : M0_1965 ; cote locale : D_1_21. le 2013-02-16 10:18:03.

qu’il a conceuë
contre nous, en nous faisant du mal ; en sorte
que nous n’auons pas senti de relasche en nos
maux, puis qu’on n’a changé que les instrumens
de nos miseres, & que c’est toûjours vn mesme
fleau qui nous persecute, & vne mesme race :
Nous sommes aussi obligez de vous representer
que le sieur Mareschal de la Meilleraye s’est posté
depuis deux mois auec des forces considerables
sur la riuiere de Dordogne, qui est l’autre mammelle
d’où Bourdeaux tire sa subsistance, sur laquelle
il a

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 264. Saint-Julien,? [?]. LE COVRRIER BVRLESQVE DE LA GVERRE DE PARIS,... (1650) chez [s. n.] à [s. l.] , 32 pages. Langue : français. Jouxte la copie imprimée à Anuers, "Et se vend à Paris, au Palais". Partie 1. Voir aussi A_9_9 (partie 1). Dans Choix II de Moreau. Référence RIM : M0_814 ; cote locale : D_1_14. le 2013-07-22 15:47:33. lenees
Plus d’vn demy cent d’insolences.
Dieu qu’elles ont fait de cocus
Pendant ce mal-heureux blocus !
Que cette race Polonoise
En mettant Ville-Iuif dans Ponthoise,
Nous a laissez d’enfans metis !
Qu’il nous en reste de petits
Depuis que les grands sont en voye !
Iamais le Grec ne fit dans Troye
Ce que dans Meudon elle a fait,
Où sans laisser vn seul

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 265. Saint-Julien,? [?]. LE COVRRIER BVRLESQVE DE LA GVERRE DE PARIS,... (1650) chez [s. n.] à [s. l.] , 28 pages. Langue : français. Jouxte la copie imprimée à Anvers; "Et se vend à Paris, au Palais". Partie 1. Voir aussi D_1_14 (partie 1). Dans Choix II de Moreau.. Référence RIM : M0_814 ; cote locale : A_9_9. le 2013-07-22 15:50:23.

qu’à faire noises.
Au bourg de Sevre & de Meudon,
(Dieu vueille leur faire pardon,)
Commirent sans les violences
Plus d’vn demy cent d’insolences.
Dieu qu’elles ont fait de cocus
Pendant ce malheureux blocus !
Que cette race Polonoise
En mettant Ville-Iuif dans Ponthoise,
Nous a laissé d’enfans metis !
Qu’il nous en reste de petits
Depuis que les grand, sont en voye !
Iamais le Grec ne fit dans Troye
Ce que dans Meudon elle a fait,
Où sans laisser vn seul

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 266. Scarron, Paul [faux]. LE COEVR DES PRINCES, ENTRE LES MAINS DE... (1652 [?]) chez Guérard (Nicolas) à Paris , 8 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_707 ; cote locale : B_8_4. le 2013-06-30 17:17:05.

effects sont si notoires,
Que mesme les ames plus noires
Infectez de la faction :
Auouent du moins que la fortune
Aux Princes se montre oportune
Aimant Paris d’affection.    
Princes vos succez font conclure
Qu’a iamais la race future,
Ira vos hauts faits celebrans :
A bon droit vous donnant les titres,
De bons, de grands, iustes, arbitres,
De vainqueurs & de conquerans.    
Condé tu obliges la France,
Esgalement par ta prudence,
Et par ta

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 267. Scudéry, [?] de [signé]. L’OMBRE DV GRAND ARMAND. (1643) chez Sercy (Nicolas de) à Paris , 11 pages. Langue : français. N'est pas un autre exemplaire de: A_6_45, B_13_17 et C_6_41 (malgré le titre, en partie identique).. Référence RIM : Mx ; cote locale : D_1_5. Texte édité par Site Admin le 2013-06-09 10:47:14.

ces propos.    
Tremblez, tremblez meschãs, dõt la main sacrilege,
Viole des tombeaux le sacré priuilege ;
Et qui venez troubler par d’infames escrits,
Le paisible repos, des Bien-heureux Esprits.
Ie m’en plains ; mais pour vous ô race ingrate & noire,
Qui mourrez dans la honte, où ie vy dans la gloire ;
Et qui serez enfin apres cette action,
L’eternel des honneur de vostre Nation.
Mais ne presumez pas auec tant de feblesse,
Que iusques dans le Ciel, nul de vos traicts me

=> Afficher la page


Occurrence 268. Anonyme. ADVIS SVR LE GOVVERNEMENT DE L’ESTAT. (1650) chez [s. n.] à [s. l.] , 12 pages. Langue : français. Référence RIM : M2_36 ; cote locale : D_1_20. le 2014-12-02 13:51:18. othaire son petit fils, ne s’estant point rendu
prudent par le malheur d’autruy, laissa l’Empire si foible & si
fragile à son fils qu’il fut le dernier de la race de Charlemagne qui y
commanda. L’Empereur Louis mesme, ne se pût garantir qu’auec
beaucoup de peine des coniurations faites contre sa Personne par ses
propres Enfans, & par les Princes de l’Empire, par ce qu’il auoit fait
venir dans sa Cour Bernard Comte

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 269. Anonyme. ADVIS SVR L’ESTAT, touchant les Affaires... (1649 [?]) chez [s. n.] à Paris , 8 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_547 ; cote locale : D_2_11. le 2014-12-06 14:51:27.

ses
affaires à des Allemands, fust enfin despoüillé de sa Couronne, & finit
sa vie en prison : Et Lothaire son petit Fils ne s’estant point rendu
prudent par le malheur d’autruy, laissa l’Empire si foible & si fragile à
son Fils, qu’il fut le dernier de la race de Charlemagne qui y commanda.
L’Empereur Louis mesme ne se pust garentir qu’auec beaucoup
de peine des conjurations faites contre sa Personne par ses propres
Enfans, & par les Princes de l’Empire ; parce qu’il auoit fait venir
dans sa Cour Bernard Comte

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 270. Anonyme. AGREABLE ET VERITABLE RECIT DE CE QVI... (1649) chez Guillery (Jacques) à Paris , 16 pages. Langue : français. Avec permission. Référence RIM : M0_55 ; cote locale : C_8_43. le 2014-11-29 14:32:32.


Et s’il mettoit pour dire tout,
Parfois la piece aupres du trou.
Enfin dy de quelque maniere,
Il emplissoit sa gibbeciere.
Vrayement on ne sçay que trop bien,
Qu’il est natif Sicilien,
Mais on ne sçay de qu’elle face,
On doit enuisager sa race,
Parce que fort differemment,
On marque son commencement,
Pour bien parler de cette affaire,
Il faudroit consulter sa Mere,
Encor ne le sçayt elle pas,
Ayant pris differens esbats,
Le bruit court qu’elle estoit hostesse,

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 271. Anonyme. APOLOGIE CVRIEVSE POVR LES IVSTES PROCEDVRES... (1649) chez Besogne (Cardin) à Paris , 22 pages. Langue : français. Avec permission.. Référence RIM : M0_99 ; cote locale : A_2_1. le 2014-12-02 15:20:11.

interessé. Là dessus on dira, que nos Roys ont estably & entretenu des
Compagnies celebres composées de personnes les plus sensées
& plus qualifiées d’entre leurs Suiets, qu’ils ont appellez Senats
ou Parlemens, qui estoient proprement dans les premieres
races de la Maison de France. Les Conseils d’Estat, sans lesquels
les Roys ne resoudoient d’aucunes affaires, concernants
l’interest de la paix ou de la guerre, aussi estans presque toûjours
prés leur personnes, on les appelloit du nom de Parlement

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 272. Anonyme. APOLOGIE POVR MONSEIGNEVR LE CARDINAL... (1649) chez Preuveray (François) à Paris , 39 pages. Langue : français. Voir aussi C_5_28. Référence RIM : M0_127 ; cote locale : A_2_3. le 2014-12-06 14:58:02.

Les Huguenots
le regardoient desia comme vn Chef de party, qui eust esté capable
de releuer cette engeance que nous detestons si fort en Espagne & en Italie.
Si j’eusse regné encore vn peu plus long-temps, ou bien si ie remonte
sur ma beste, j’en veux exterminer la race; Car mon ambition estant d’estre
vn iour Pape, mon interest veut que j’estouffe ces monstres qui pourroient
bien m’oster mes droits, & en France & ailleurs, comme ils ont desia fait en
beaucoup d’endroits. Le Casuiste. Monseigneur, le sujet de la Comedie

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 273. Anonyme. APOLOGIE POVR MONSEIGNEVR LE CARDINAL... (1649) chez Preuveray (François) à Paris , 20 pages. Langue : français. Première partie. Voir aussi A_2_3 (qui contient les deux parties).. Référence RIM : M0_127 ; cote locale : C_5_28. le 2014-12-09 15:25:28.

Les Huguenots
le regardoient desia comme vn Chef de Party, qui eust esté capable
de releuer cette engeance que nous detestons si fort en Espagne & en Italie.
Si j’eusse regné encore vn peu plus long-temps, ou bien si ie remonte sur
ma beste, j’en veux exterminer la race ; Car mon ambition estant d’estre vn
iour Pape, mon interest veut que i’estouffe ces monstres qui pourroient
bien m’oster mes droits, & en France & ailleurs, comme ils ont desia fait en
beaucoup d’endroits. Le Casuiste. Monseigneur, le sujet de Comedie

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 274. Anonyme. EXAMEN DES DIVERS SENTIMENS SVR L’ARREST... (1652) chez [s. n.] à Paris , 16 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1318 ; cote locale : B_15_15. le 2014-07-12 09:08:23.

de Mere donne à vn ieune sils & l’on verra que
l’authorité Royale peust estre esclaue des passions
& que cette sorte de prison est autant ou
plus prejudiciable à l’Estat, que celle des plus
puissants ennemis. La plus part de nos Roys de
la premiere race ont esté Roys de nom & non
deffect Les Maires du Palais auoiẽt vsurpé toute
l’authorité Souueraine. Les François ne voyoiẽt
leurs Roys que dans les Temples ou lors que
ces Maistres valets iugeoient estre necessaire
pour contenter la curiosité du peuple.

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 275. Anonyme. LE VRAY POLYTIQVE OV L’HOMME D’ESTAT... (1649) chez Noël (François) à Paris , 15 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_4073 ; cote locale : A_5_94. le 2014-01-06 10:25:33.

iamais entreprendre. De s’imaginer que la
consideration de l’assistance qu’il en auoit receuë au besoin, fust
ce qui l’en destourna; c’est vn erreur, la suitte fit bien assez reconnoistre
à ce magnanime Prince, que c’estoit la secte de Caluin,
& non pas la race de Bourbon, qu’ils auoient fauorisez en
sa personne, & qu’ils l’auoient tousiours mieux aymé pour compagnon
de leurs erreurs, que pour Maistre de leurs villes. Estant
donc certain, que ny la souuenance des seruices qu’il auoit receus
de ce party, ny

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 276. Anonyme. LES CHARMANS EFFECTS DES BARRICADES, OV... (1649) chez [s. n.] à Paris , 8 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_687 ; cote locale : C_2_30. le 2014-02-01 15:30:15.


Doiuent deuenir amoureuses,
Et faire encor plus de cocus,
Qu’il n’en fut durant le blocus,
Les féneants & les auares,
Enuieux de nos tintamares,
Auront du moins vn pied de nez,
D’estre par nous ainsi bernez,
Et la septiesme de nos races,
Suiuant nos glorieuses traces,
En beuuant comme leurs ayeux,
En prendront pardessus les yeux,
Benissant Messieurs leurs grands peres,
Qui furent de l’ordre des freres,
Dont Picque-nique grand beuueur,
fut le premier

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 277. Anonyme. LES CONDITIONS DE L’ARREST RENDV SVR LE... (1652) chez [s. n.] à Paris , 16 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_733 ; cote locale : B_17_17. le 2014-02-03 13:54:23.

ce qui est rapporté par l’Autheur de l’Arrest
que la dignité du Roy est la multitude du peuple, & que la honte
du Prince est au petit nombre. Il dit vray : Mais comment ?
certainement ce n’est point de ce miserable siecle :
mis du temps dee Clouis en la premiere Race des
Rois de France, des Charlemagnes en la seconde Race des vrais imitateurs de nos Capets en cette troisiesme
qui ont vescu & sont decedez en cette dignité par la
multitude des Peuples de France, qui les ont reconnu dignes
Administrateurs de cet

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 278. Anonyme. LES CONDITIONS DE L’ARREST RENDV SVR LE... (1652) chez [s. n.] à Paris , 16 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_733 ; cote locale : B_17_17. le 2014-02-03 13:54:23.

la dignité du Roy est la multitude du peuple, & que la honte
du Prince est au petit nombre. Il dit vray : Mais comment ?
certainement ce n’est point de ce miserable siecle :
mis du temps dee Clouis en la premiere Race des
Rois de France, des Charlemagnes en la seconde Race des vrais imitateurs de nos Capets en cette troisiesme
qui ont vescu & sont decedez en cette dignité par la
multitude des Peuples de France, qui les ont reconnu dignes
Administrateurs de cet Empire. Mais combien
auons nous veu de Rois, qui auroient

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 279. Anonyme. LES CONFERANCES DV CARDINAL MAZARIN AVEC VN... (1652) chez [s. n.] à Paris , 32 pages. Langue : français. La pagination de l'original est erronée à partir de la page 25, numérotée 35, d'où la méprise dans la notice de Moreau qui indique 42 pages au total.. Référence RIM : M0_746 ; cote locale : B_11_35. le 2014-02-03 14:24:44.

Huguenots le regardoient
desia comme vn Chef de party, qui eust est é
capable de releuer cette engeance que nous detestons si
fort en Espagne & en Italie Si i’eusse regné encore vn
peu plus long temps, ou bien si ie remonte sur ma beste,
i’en veux exterminer la race ; Car mon ambition estant
d’estre vn iour Pape, mon interest veut que i’estouffe
ces monstres qui pourroient bien m’oster mes droits, &
en France & ailleurs, comme ils ont desia fait en beaucoup
d’endroits.   Response. Monseigneur, le sujet de la

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 280. Anonyme. LES CVRIEVSES RECHERCHES FAITES SVR LA VIE... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 14 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : M0_855 ; cote locale : B_12_35. le 2014-02-04 14:07:30.

pour rendre cette verité plus manifeste,
voicy ce que i’ay remarqué des conformitez du
destin de l’vn & de l’autre.   Premierement, ils nasquirent tous deux presqu’en
vn mesme climat : Le premier de parens mediocrement
riches ; & le second d’vne race tout à fait indigne,
& tous deux sous vn Astre qui les disposoit à
troubler le repos des autres hommes. L’augure du nom qui tesmoignoit qu’ils deuoient
estre heureux, semble aussi se rencontrer esgal en
tous les deux, puisque Cesar tira son nom de

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 281. Anonyme. LES CVRIEVSES RECHERCHES FAITES SVR LA VIE... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 14 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : M0_855 ; cote locale : B_12_35. le 2014-02-04 14:07:30.

l’obliger d’en sortir encore vne seconde
fois. Cesar fut esleu par brigue, Souuerain Pontife, au
prejudice de deux des plus grands personnages de
Rome ; & Mazarin estant assez heureux pour porter
le Chapeau de Cardinal, au lieu que le mestier de
ceux de sa race estoit, dit-on, d’en faire pour le commun,
& mesme esté assez vain pour porter son orgueil
iusqu’a l’espoir de la Papauté. Cesar dans les entreprises qu’il fit pour se rendre
Maistre de Rome, fit perir beaucoup de personnes de
marque, & perdit de

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 282. Anonyme. LES EXEMPLES POLITIQVES. (1649) chez Pépingué (veuve de Théodore), Maucroy (Estienne) à Paris , 12 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1326 ; cote locale : A_3_29. le 2014-02-12 13:35:22.

soins
de ses affaires à des Allemands, fut en fin despouillé de sa
Couronne, & finit ces iours en prison. Lhotaire ne s’estant
point rendu prudent par le mal heur d’autruy, laissa l’Empire
si foible & si fragile à son fils, qu’il fust le dernier de la
race de Charlemagne, qui y commanda les Empereurs. Louïs mesme ne se peût garantir qu’auec beaucoup de
peine des coniurations faittes contre sa personne par ses
propres enfans, & par les Princes de l’Empire, parce qu’il
auoit fait venir en sa Cour Bernard Comte

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 283. Anonyme. LES LOVANGES DES PARISIENS, DONNÉES EN... (1649) chez Coulon (veuve d'Antoine) à Paris , 8 pages. Langue : français. Avec permission.. Référence RIM : M0_2329 ; cote locale : C_4_49. le 2014-02-16 15:08:51.


Dissiper cette tyrannie,
En rendant à mon Parlement
L’authorité qu’on luy denie.
Rendez ces Palais enchantez,
Que mes sueurs ont cimentez,
A ceux dont le sang les reclame,
Et que vostre seuerité
Fasse de cette race infame,
Vn exemple d’horreur à la posterité.    
La France n’eut pas finy ces mots
D’vne mourante contenance,
Que tout d’vn coup mille sanglots
La contraignirent au silence.
Vn prompt euanoüissement
L’a pensa

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 284. Anonyme. LES PRESSANTES EXORTATIONS DE L’EVROPE,... (1649) chez [s. n.] à Paris , 22 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_2863 ; cote locale : A_6_74. le 2014-02-23 11:07:45.

Cyrus, & de tels
autres Princes, qui opprimoient son peuple éleu. C’est ce qui m’a tousiours fait croire, & ce qui
m’a consolée, mesmes dans mes plus grandes afflictions,
que si le Createur qui fait toutes choses
comme il veut, n’eust permis que cette race Turquesque
regnast pour vn temps, que sans doute
le glorieux dessein de l’vn des plus grands Roys de
France, comme des plus Saints, eust heureusement
& saintement reussi. Cependant l’experience
nous a fait voir qu’il mourut en vne si glorieuse

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 285. Anonyme. LES PRESSANTES EXORTATIONS DE L’EVROPE,... (1649) chez [s. n.] à Paris , 22 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_2863 ; cote locale : A_6_74. le 2014-02-23 11:07:45.

Tous ces Priuileges, & ces belles prerogatiues
montrent bien, que de tous les Princes
de la terre habitable, il en est le premier, le
plus grand le plus chery de Dieu, & consequemment
le plus digne aussi, comme le plus
capable de détruire la race Mahometane, &
de faire regner dans les Saints lieux, la loy du
Diuin Createur des Anges & des hommes, où
celle du Diable y a si long-temps esté professee. Mettez promptement la main à l’œuure,
Princesse l’ornement de toutes les autres; de
ma

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 286. Anonyme. LES PROPOSITIONS DE MESSIEVRS LES PRINCES,... (1652) chez Potet (Jean) à Paris , 8 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_2915 ; cote locale : B_5_35. le 2014-02-23 11:17:55.

coupable,
luy met deuant les yeux, & si profondement dans la fantaisie
qu’il croit perpetuellement auoir à ses costez vn bourreau,
comme tesmoin, & accusateur de ses infidelitez. Paris n’en doutes point, pour conseruer vne France, il a
fallu bannir cette race de Sicille. Pour maintenir la vertu, il estoit necessaire que le vice fut
exilé, pour entretenir la paix dans le Royaume, l’on a deu en
chasser les sedicieux comme premiers Moteurs d’vne sanglante
querelle, qui eust enfin acheué le funeste Tableau de la France

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 287. Anonyme. LES QVATRE NOVVELLES TRAHISONS DESCOVVERTES... (1652) chez [s. n.] à Paris , 8 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_2936 ; cote locale : B_12_36. le 2014-02-23 15:27:20.

ce Priuilege
leur ayant demandé ladite Euesché pour
Monseigneur Henry de Bourbon son Fils, &
que le C. Mazarin ne peust estre nommé à ladite
Euesché, sans enfeindre les Status de leur Eglise qui portent que l’Euesque doit estre
Noble de trois races, & que le Mazarin est fils
d’vn pauure l’aridon de Sicile.   Pour rompre tous les bons desseins des
Princes, La Cour fait semblant d’entendre à la
Paix Generalle & se dispose pour conduire le
C. Mazarin à Compiegne & fait courir le bruit

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 288. Anonyme. LES RAISONS OV MOTIFS POVR LA NVLLITÉ du... (1652) chez Chouqueux (André) à Paris , 8 pages. Langue : français. Avec permission.. Référence RIM : M0_2966 ; cote locale : B_15_19. le 2014-02-24 10:00:03.

Parlement de Paris,
où le Roy à son lict de Iustice, à l’exemple de
cet Auguste Tribunal, sur lequel il estoit toûjours dans l’Assemblée generale des François au commencement
de la Monarchie, ou dans l’Assemblée
des Grands de l’Estat en la seconde race.   En troisiéme lieu, ce fut en ce Parlement de
Paris, où Charles Duc de Lorraine, dernier de la
Maison de Charlemagne fut exheredé, & Hugues
Capet éleué au Throsne Royal, par le iugement
des François ; c’est à dire, parce Parlement
qui est

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 289. Anonyme. LES REGRETS DV CARDINAL MAZARIN, Sur la mort... (1652) chez Brunet (Jean) à Paris , 8 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_3084 ; cote locale : B_12_28. le 2014-02-24 15:23:29.

démanché,
Par la mort qui la cy-caché
Il fut aymé du Roy de France
Comme neueu de l’Eminence,
Il estoit d’vn esprit gaillard
Et s’il estoit vn peu paillard,
Il suiuoit de l’Oncle la trace,
Car les bons chiens chassent de race:
Il estoit habile & des dispos
Et caquetoit à tous propos.
Si donc tu veux que ie te die
La veritable maladie,
Qui renuersa dans le tombeau
Ce beau petit Mazarineau,
A la guerre n’estant Idoine
Du feu de Monsieur S. Antoine,

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 290. Anonyme. LES REGRETS DV CARDINAL MAZARIN, Sur la mort... (1652) chez Brunet (Jean) à Paris , 8 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_3084 ; cote locale : B_12_28. le 2014-02-24 15:23:29.

propos.
Si donc tu veux que ie te die
La veritable maladie,
Qui renuersa dans le tombeau
Ce beau petit Mazarineau,
A la guerre n’estant Idoine
Du feu de Monsieur S. Antoine,
Fut atteint auec que plusieurs
Autres Mazarins grands Seigneurs,
Ayant voulu reduire en cendre
Son faux-bourg qu’il sceut bien deffendre
Car peu apres il trespassa
Dont son Oncle se courroussa,
Passant dis vne Litanie
Pour que la race soit finie.  

FIN.

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 291. Anonyme. LES SERVICES QVE LA MAISON DE CONDÉ A... (1651) chez [s. n.] à [s. l.] , 30 pages. Langue : français. La page de titre est en page 2.. Référence RIM : M0_3666 ; cote locale : C_11_30. le 2014-02-26 15:13:24.

animaduersion contre ceux qui les debitent, & l’authorité du
Roy mesme requiert vne censure publique d’vn scandale si horrible.
L’injure faite à la maison de Bourbon reiallit sur celuy-là
mesme qui n’est nostre Souuerain, que parce qu’il est le premier de
cette race sacrée, & les Princes du Sang que le degré de proximité
appelle en leur rang à la succession du Royaume sont censez y
auoir a mesme part que les enfãs ont à l’heritage de leur pere durãt
sa vie, ainsi sa Majesté est la plus interessee à reprimer le

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 292. Anonyme. LES SERVICES QVE LA MAISON DE CONDÉ A... (1651) chez [s. n.] à [s. l.] , 30 pages. Langue : français. La page de titre est en page 2.. Référence RIM : M0_3666 ; cote locale : C_11_30. le 2014-02-26 15:13:24.

& des veritables
appuys de la maison sacrée que ce Monarque malheureux
faillit à voir esteindre en sa personne par les attentats des fameux
autheurs des Baricades, dont les nourriçõs & les enfans declament
auiourd’huy si licentieusement contre des Princes dont la race a
genereusement resisté a tous leurs efforts, & demeurera enfin auec
la grace de Dieu victorieuse des tyrannies qu’elle souffre de ceux
qui peuuent estre ses Subjets. La Bataille de Courtray fut la derniere
actiõ où il sigala sa generosité dõnãt la vie au braue

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 293. Anonyme. LES SERVICES QVE LA MAISON DE CONDÉ A... (1651) chez [s. n.] à [s. l.] , 30 pages. Langue : français. La page de titre est en page 2.. Référence RIM : M0_3666 ; cote locale : C_11_30. le 2014-02-26 15:13:24.

restablissement de la France chancelante, le
Genealogiste insolent cherche en cette mort la matiere de son
plus pernicieux venin comme les Sorciers employent les despoüilles
& les ossements des inocens pour en perdre d’autres, il pretend
d’vn seul coup etoufer toute la race & par les atteintes qu’il donne
aussi grossierement qu’impudemment à la reputation d’vne
Princesse perir tous ses decendans & vne posterité qui fait trop
d’honneur au nom de Bourbon pour estre desaduoüée, mais sa
propre contradiction conuaincq sa malice,

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 294. Anonyme. LES SERVICES QVE LA MAISON DE CONDÉ A... (1651) chez [s. n.] à [s. l.] , 30 pages. Langue : français. La page de titre est en page 2.. Référence RIM : M0_3666 ; cote locale : C_11_30. le 2014-02-26 15:13:24.

si parfaictement legitime
sous le sceau d’vn saint mariage, que toutes les defiances
contraires paroissent incontinent aussi ridicules que meschantes,
les Cendres de saint Louys s’esmeuuent asseurement en leur chasse
contre ces infames calomniateurs pour l’interest de sa race, dont
apres trois Princes heritiers de Henry le Grand, il ne reste que ce
rejetton, & pour la conseruation d’vn honneur pour la deffence
duquel Dieu forme la voix & donne de l’eloquence aux choses les
plus insensibles, i’ay peine de prendre le soin

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 295. Anonyme. LES SERVICES QVE LA MAISON DE CONDÉ A... (1651) chez [s. n.] à [s. l.] , 30 pages. Langue : français. La page de titre est en page 2.. Référence RIM : M0_3666 ; cote locale : C_11_30. le 2014-02-26 15:13:24.

donna en sa jeunesse charmerent
d’abord les affections de Henry le Grand qui le regardant auec des
tendresses tres iustes, fit declarer son successeur par vne formalité
que les seules broüilleries de la ligue rendoient necessaires comme
au commencement de la troisiesme Race, nos Roys couronnoient
de leur viuant leurs enfans. Il le fit receuoir dés l’aage de
sept ans en ce grade qui sembloit encore releuer sa condition de
premier Prince de Sang en tous les Parlemens & grandes Villes du
Royaume, & l’ayant fait instituer dans toutes

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 296. Anonyme. LES SERVICES QVE LA MAISON DE CONDÉ A... (1651) chez [s. n.] à [s. l.] , 30 pages. Langue : français. La page de titre est en page 2.. Référence RIM : M0_3666 ; cote locale : C_11_30. le 2014-02-26 15:13:24.

c’est la poursuite violente
qu’on a fait contre Madame sa femme, laquelle apres luy
auoir desnié la consolation de demeurer pres luy au Bois de Vincennes,
ce que Concini ne refusa pas à sa belle mere plus soigneux
qu’on est à present de ne pas laisser perdre la race Royalle, on a
voulu arracher ce cher & vnique gage de leur amour mort où vif par
des gens de guerre qui l’ont enfin par vne singuliere assistance du
Ciel & l’aide de ces genereux amis obligée à se retirer en vne des
plus grandes villes du Royaume ou les

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 297. Anonyme. LETTRE BVRLESQVE A MAZARIN. (1649) chez [s. n.] à [s. l.] , 8 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1816 ; cote locale : C_4_42. le 2014-04-22 16:27:34.

nous blesse tant elle esclatte,
Fait croire aisement à nostre œil,
Que vous estes fils du Soleil,
Et sa seconde geniture
D’vne ambitieuse nature.
Mais vous ne ressemblez pourtant
Au premier fils qu’il aimoit tant,
Qui sortant vraiment de sa race
N’auoit rien de mal que l’audace,
Et bien qu’il eust l’esprit hautain
N’estoit pas vn fils de putain
Ie crains bien pour vostre Eminence
Vne pareille decadence
Si peut-estre encore le sort
Vous donne vne si belle

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 298. Anonyme. LETTRE DV PARLEMENT DE METZ. A MONSEIGNEVR... (1652) chez Chevalier (Jacob) à Paris , 7 pages. Langue : français. Signée du 10 août 1652 au colophon.. Référence RIM : M0_2126 ; cote locale : B_5_31. le 2014-06-02 08:27:34.

que l’Empereur Charles Qnint
n’a sceu forcer auec cent mille assiegeans, non plus
que la Ville qu’il attacquoit par l’endroit le plus
foible. Si on veut restablir l’ancien Royaume
d’Austrasie, & partager la France comme elle estoit
dans les premieres races, en voicy les proiets & les
commencemens certains, puis qu’on laisse occuper
sa Capitale à l’ennemy du Roy, qui estant
appuié du Mareschal de Senneterre qui possede
la Lorraine auec trop de pouuoir, du Comte d’Harcourt
qui commande à Brisac & à toute

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 299. Anonyme. LETTRE DV SIEVR MAZARINI au Cardinal Mazarin... (1649 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 7 pages. Langue : français. Sans page de titre.. Référence RIM : M0_2204 ; cote locale : C_3_24. le 2014-06-14 16:05:21.

ne peut pas estre
appellé ridicule ny extrauagant, ie vois bien presentement, qu’il est impossible,
que iamais la confiance se restablisse de part & d’autre. Le Sieur d’Auaux est encore vn de ceux de qui ie dois apprehender la societé,
parce qu’il est de race de gens qui ne pardonnent point les offenses : &
qu’il a suiet de se plaindre de la protection que i’ay despartie au Sieur Seruient
pendant la diuision qui a esté entr’eux deux estant à Munster. I’ay essayé de me
bien remettre auec luy en apparence pendant le

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 300. Anonyme. LETTRE DV SIEVR MAZARINI AV CARDINAL MAZARIN... (1649) chez [s. n.] à Paris , 16 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_2203 ; cote locale : A_5_66. le 2014-06-14 16:11:41.

ne peut pas estre appellé
ridicule ny extrauagant, ie vois bien presentement qu’il est
impossible, que iamais la confiance se restablisse de part &
d’autre. Le Sieur d’Auaux est encore vn de ceux de qui ie dois apprehender
la societé, parce qu’il est de race de gens qui ne
pardonnent point les offenses: & qu’il a sujet de se plaindre
de la protection, que i’ay despartie au Sieur Seruiert pendant
la diuision qui a esté entr’eux deux estant à Munster. I’ay essayé
de me bien remettre auec luy en apparence pendant

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


1 2 3 4 5