Questier, Mathurin, dit Fort-Lys [1649 [?]], SVITTE DV IOVRNAL POETIQVE DE LA GVERRE PARISIENNE. Dedié aux Conseruateurs du Roy, des Loix, & de la Patrie. Par M. Q. dit FORT-LYS. SEPTIESME SEPMAINE. , françaisRéférence RIM : M0_1763. Cote locale : C_4_38_07.
Cette prise à Paris, causa vn grand murmure : On disoit : Cette guerre icy trop long-temps dure. Quoy ! auons du cœur de souffrir ce tourment, Il nous faut tous sortir, & sans commandement ; Aller vers l’ennemy, & la teste baissée, Luy monstrer qu’il a trop nostre force offensée. Qu’il est temps de monstrer que nous sommes soldats, Et que nous ne craignons les horreurs des combats : Sus, donc, ne tardons plus, puis que tout est perdu ? En ma vie ie ne vis Paris si esperdu ; Chacun disoit son mot selon sa fantaisie, Mon ame qui estoit desia toute saisie De la peur, ne songeoit qu’à son soulagement, Comment elle pourroit suruiure honestement.
Questier, Mathurin, dit Fort-Lys [1649 [?]], SVITTE DV IOVRNAL POETIQVE DE LA GVERRE PARISIENNE. Dedié aux Conseruateurs du Roy, des Loix, & de la Patrie. Par M. Q. dit FORT-LYS. SEPTIESME SEPMAINE. , françaisRéférence RIM : M0_1763. Cote locale : C_4_38_07. |