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Rechercher dans le corpus des Mazarinades
(59 occurrences trouvées)

Résultat de votre recherche de l'expression "mouche|mouches" dans le corpus des Mazarinades :


Occurrence 1. Anonyme. DEMOCRITE ET HERACLITE, RIANT ET PLEVRANT,... (1649) chez [s. n.] à Paris , 8 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_999 ; cote locale : A_2_42. Texte édité par Morvan Perroncel le 2012-09-23 02:45:35.

des estoilles, & c’estoit temps perdu aux anciens Egyptiens d’employer
toute leur vie en l’estude de l’Apologie; les bestes mesmes
apprehendẽt les mal-heurs qu’ils preuoyent par vne insigne nature,
se cachent dans leurs tannieres deuant l’orage & les mouches à miel
se retirent dedans leurs ruches, auparauant que quelque grande
tempeste suruienne Tu diras que ie ne puis pas remedier non plus
que toy aux mal-heurs qui nous menacent, qu’il soit vray, au moins
en témoigneray-je quelque sentiment par mes larmes. Democ.

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Occurrence 2. Anonyme. EXPOSITION ET EXPLICATION DES DEVISES,... (1649) chez Estienne (Antoine) à Paris , 8 pages. Langue : français, latin. Avec permission.. Référence RIM : M0_1336 ; cote locale : C_7_83. Texte édité par Morvan Perroncel le 2012-10-20 09:35:58.

belles lumieres, la
terre s’est resioüie, les cœurs se sont reschauffez & reünis
à la chaleur de ce feu : Les broüillards des mauuais soupçons
ont esté dissipez, & la tranquillité, l’amour & la
paix ont paru par tout. La seconde est vn essain de mouches à miel, attachées
auprés de leur Roy, auec ces mots : Cuncti gens vna sumus, Pour suiure nostre Roy nous sommes tous vnis. QVAND ces petits animaux sont trop hastez de
sortir de leur Ruche, & que leur Roy n’est pas
encor dehors, vous voyez de

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Occurrence 3. Anonyme. GALIMATIAS BVRLESQVE SVR LA VIE DV CARDINAL... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 18 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1463 ; cote locale : B_12_54. le 2012-10-26 07:47:21.


Et par le fer, & par le feu,
Qu’elle ne perd rien à ce jeu.    
Voila comment le long des ruës
Chacun en conte des plus cruës,
Et sans respect de sa grandeur,
Disent tout ce qu’ils ont au cœur,
Disent à la premiere mouche,
Tout ce qui leur vient à la bouche ;
Sur tout merite chastiment,
Ce qu’ils comptoient dernierement,
Que lors que Vierges esplorées,
Qu’Allemands auoient defflorées
Se ietterent à ses genoux,
Sans s’esmouuoir, que

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Occurrence 4. Anonyme. LA CONFERENCE DV CARDINAL MAZARIN, AVEC LE... (1649) chez [s. n.] à [s. l.] , 39 pages. Langue : français. "Jouxte la copie imprimée à Bruxelles". Voir aussi C_1_19. Référence RIM : M0_742 ; cote locale : B_11_34. Texte édité par Morvan Perroncel le 2012-11-10 08:35:15.

perdu, & ne sçauez
plus où vous estes. Ie me souuenois bien de ce que ie vous auois
dit ; mais comme les avis suiuent la face des affaires, ie m’estois
figuré que Monsieur le Prince s’attacheroit plus fortement à vous,
lors que vous auriez chassé toutes les mouches qui vous enuironnent.
Neantmoins il est à craindre que ce voyant seul, cela ne luy
enflast tellement le courage qu’il n’aspirast à la place que vous tenez,
quoy qu’il ne puisse la remplir aussi dignement comme vous faictes. Cela fait, que ie change

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Occurrence 5. Anonyme. LA FRANCE PROSTERNÉE AVX PIEDS DE MESSIEVRS... (1649) chez Langlois (Denis) à Paris , 8 pages. Langue : français, latin. Voir aussi A_3_58. Référence RIM : M0_1438 ; cote locale : B_14_24. le 2012-11-25 12:51:14.

les bestes & les choses insensibles.
Car qui est l’homme si cruel qui voulust accabler
soubs la pesanteur des fardeaux, ou la rigueur
des coups le cheual qui le porte, ou qui le sert ? qui
est-ce qui pour tirer plus facilement le miel d’vne
ruche voudroit tuer les mouches qui le font ? ou enfin
qui est-ce qui pour cueillir plus aisément les
fruicts d’vn arbre voudroit le mettre par terre ? Ces
impitoyables harpies font encore pis que tout cela,
car ils ne se contentent pas de les reduire à l’impuissance
de se releuer de leur

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Occurrence 6. Anonyme. LA FRANCE PROSTERNÉE AVX PIEDS DE MESSIEVRS... (1649) chez Langlois (Denis) à Paris , 8 pages. Langue : français, latin. Voir aussi B_14_24. Référence RIM : M0_1438 ; cote locale : A_3_58. Texte édité par Patrick Rebollar le 2012-11-25 12:53:18.

les bestes & les choses insensibles.
Car qui est l’homme si cruel qui voulust accabler
soubs la pesanteur des fardeaux, ou la rigueur
des coups le cheual qui le porte, ou qui le sert? qui
est-ce qui pour tirer plus facilement le miel d’vne
ruche voudroit tuer les mouches qui le font? ou enfin
qui est-ce qui pour cueillir plus aisément les
fruicts d’vn arbre voudroit le mettre par terre? Ces
impitoyables harpies font encore pis que tout cela,
car ils ne se contentent pas de les reduire à l’impuissance
de se releuer de leur

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Occurrence 7. Anonyme. LA FRANCE VICTORIEVSE AV ROY, OV... (1649) chez Dupont (Pierre) à Paris , 32 pages. Langue : français. Avec permission.. Référence RIM : M0_1446 ; cote locale : C_5_20. le 2012-11-25 13:58:29.

vne infinité d’autres places, remportées sur vos ennemis,
& de batailles gagnées, sont des tesmoings irreprochables
du zele & de l’ardeur des genereux François, au maintien
de vostre Couronne, & que tous les Seigneurs de vostre
Cour, à l’imitation des mouches à miel, selon le raport des
Naturalistes, lesquelles y ont vn Roy qu’ils portent des
aisles de l’amour iusques au Ciel de la Gloire ; employent
leur industrie à le seruir, leur soin à luy complaire, leur diligence
à le garder, leur miel à l’adoucir, &

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Occurrence 8. Anonyme. LA RELATION DE CE QVI C’EST PASSÉ A LA... (1652) chez [s. n.] à Paris , 7 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : M0_3114 ; cote locale : E_1_37. le 2012-12-25 02:17:39.

DC. LII. LA RELATION DE CE QVI S’EST
passé à la Cour, en la Reception des Deputez du Parlement
de Paris. CELVY qui a dit que les Loix estoient
semblables aux toiles d’Aragnées qui
n’arrestent que les petites Mouches, au
lieu que les frelons passent hardiment
tout au trauers ; n’a rien proferé qui ne
soit veritable. Et celuy encore qui a dit
que les Loix les plus mauuaises estant obseruées seruent
plus à l’Estat, que les meilleurs qui ne s’obseruent
point du

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Occurrence 9. Du Pelletier, Pierre [?]. LA IOYE PVBLIQVE, SVR LE RETOVR de la Paix. (1649) chez Vigne (Nicolas de La) à Paris , 8 pages. Langue : français. Avec permission. Signé "D. P." au colophon.. Référence RIM : M0_1739 ; cote locale : C_5_68. le 2012-12-05 06:44:08.

prieres d’vn nombre infiny de saints Anacorettes,
& d’amez Religieuses nous obtiendroient
la paix par leurs prieres. Cette guerre de peu de
iours donnera peut-estre de l’auantage à ce Royaume,
& quelque lustre à la couronne, comme
les taches noires ou les mouches en donnent à
la blancheur du teint. Les fautes que l’on commet
en l’administratiõ des Estats ne sont pas inutiles,
puis que ce sont des leçons visibles, pour instruire
les Ministres, & vn achopement qui nous
oblige de prendre garde par apres de n’y

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Occurrence 10. Morgues, Mathieu de [?]. BONS ADVIS SVR PLVSIEVRS MAVVAIS ADVIS. ([s. d.]) chez [s. n.] à [s. l.] , 28 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_594 ; cote locale : A_9_13. le 2012-05-20 08:09:53.

persuader le contraire, ne
manqueront iamais de pretexte: pour engager les
foibles dans vn mauuais party. Ils chercheront des
raisons apparentes, & les debiteront dans des écrits
agencez & polis; mais ces tissus d’araignées venimeuses
ne prendront que des mouches. Ces hommes inquiets, & desireux de choses nouuelles, nous
proposent les passées, & les presentes, pour nous dérober
la preuoyance des futures: en disant qu’ils nous
veulent soulager, ils ont dessein d’appliquer à leur
luxe, ce qu’ils

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Occurrence 11. P. D. B. D. P. [signé]. HARANGVE EN PROVERBES, FAITE A LA REINE, Par... (1652) chez [s. n.] à Paris , 32 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1562 ; cote locale : B_15_41. Texte édité par Morvan Perroncel le 2012-10-27 10:08:51.

Parisiens sont bons cheuaux de trompette,
qui ne s’estonnent pas pour le bruit, &
qui sçauent laisser pleuuoir en attendant le beau
temps, qui vient tousiours apres la pluye. Ainsi
voyant que les assiegez, à qui vous donniez le
nom de rebelles, esseimoient comme mouches,
frappoient comme sourds, & se deffendoient
comme perdus : vous iugeastes apres auoir fait
tous vos cinq sens de nature pour en venir à
bout, qu’il est fou qui d’amis parle, qu’il n’y a
si mauuais accord qu’il ne vaille mieux qu’vn
bon procez,

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Occurrence 12. Anactofile [signé]. L’OYSEAV DE RIVIERE, OV LE TOVRNOY NAVAL.... (1649) chez Variquet (Pierre) à Paris , 40 pages. Langue : français, latin. En 88 pièces en 9 vers burlesques.. Référence RIM : M0_2587 ; cote locale : C_8_13. Texte édité par Site Admin le 2013-06-10 08:50:02.

point sans Echelles,
Et trop souuent, à faute d’aisles,
On faisoit de beaux entrechats :
Les gens n’y sembloient qu’hirondelles,
En nids de bouë & de crachats.  

XX.  
Conceuez comme vn camp volant
De mouches, de freslons, de guespes,
Semblables à de noirs & longs crespes,
Entre ses dents va grommelant ;
Et comme d’vn épais nuage,
Il assiege vn ample fromage,
Qui caché dessous semble noir ;
Telle estoit l’Isle & le Riuage,
Que la

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Occurrence 13. Anonyme. A TOVS LES HABITANS DE LA TERRE, L’HEVREVX... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 47 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_11 ; cote locale : B_18_34. le 2013-03-26 18:16:30.

 
O desolation de l’humaine nature !
Dedans l’inimitié la martialité !
Forger vn galand homme auec cette posture !
Et ne manquer de cœur que pour l’Eternité !
Qu’on ne s’embrasse point qu’auec vn faux visage
Et pour vn pied de mouche en venir au carnage !    
Il faut estre sans ame, il faut estre Satyre,
Il faut estre enragé dans vn tel sentiment,
Helas pour se damner se donner le martyre !
Y establir sa gloire, & son contentement !
Helas quelle misere !

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Occurrence 14. Anonyme. A TOVS LES HABITANS DE LA TERRE, L’HEVREVX... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 47 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_11 ; cote locale : B_18_34. le 2013-03-26 18:16:30.


Celles qu’on croit auoir tant d’appas & de charmes
Ne sont peintes icy qu’auec de grosses larmes.    
Le Peintre qui les peint dessus vne cartouche,
Il flatte le pinceau voicy le naturel,
Ce beau teint si poly releué d’vne mouche
A bien changé de traits pour estre adoré tel,
Le temps qui la formé l’a mis dans cette quesse,
Prouuant que la beauté n’est qu’vne anchanteresse.    
Voyons si c’est ce teint orné de tant de grace,
Qui sembloit vn Soleil en

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Occurrence 15. Anonyme. LA VERITÉ DE CE QVI S’EST passé à Paris... (1652) chez Guillemot (veuve de Jean) à Paris , 19 pages. Langue : français. En page 19: "le brevet que le duc d'Orléans avait accordé à la veuve Guillemot" (selon Moreau), signé "Gaston" et "De Fromont".. Référence RIM : M0_3986 ; cote locale : B_12_48. le 2013-01-05 06:46:00.

l’Assemblée : croyant fermement auoir appaisé cette
multitude, qui estoit composée de plusieurs sortes de gens ; à sçauoir
d’Artisans sans ouurage, & par consequent pauures ; de quelques
soldats, qui roulans dans les ruës estoient accourus au bruit, comme
les mouches vont aux playes : les Chefs estoient ceux qu’on appelle
Filoux, méchans Demons, qui se meslent dans toutes les tempestes
de Paris. A ces trois sortes de gens s’estoient ioints les plus hardis entre
ceux qui auoient esté pratiquez par les Emissaires du Cardinal

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Occurrence 16. Anonyme. LE BON CITOIEN FAISANT VOIR. I.... (1652) chez [s. n.] à Paris , 23 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : M0_585 ; cote locale : B_19_55. Texte édité par Morvan Perroncel le 2013-06-11 15:17:30.

ie ne pretends pas de persuader ceux
qui portent les armes de les quitter. Ie sçay
qu’on respondit aux Mamertins, que le bruit
du Tambour empesche d’entendre la voix des
Loix & de la Iustice. Ie scay que pour authoriser
la guerre on allegue l’exemple des mouches
à Miel, qui sont conduites par leurs Roys,
se tengent en battaille, se choquent & s’entretuent. Sæpe duobus. Regibus incessit magno discordia motu
Continuoque animos vulgi & trepidentiæ
bello
Corda licet longe

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Occurrence 17. Anonyme. LE CARACTERE DE LA ROYAVTE. ET DE LA... (1652) chez [s. n.] à Paris , 24 pages. Langue : français, latin. Pièce 25 des 52 de Carrier. Référence RIM : M0_631 ; cote locale : B_2_35. Texte édité par Site Admin le 2013-06-24 08:29:16.

Il n’est rien
qui attire dauantage la diuine vengeance sur les
peuples que de laisser le peché impuni. C’est
neantmoins commun en ce Royaume que le
supplice est destiné au malheureux & non au
coulpables, nos loix sont des toiles d’Aragnée
qui prennent des mouches & sont trauersées
par les gros frelons. On vole, on viole, on tuë
on massacre impunement dans tout le Royaume,
non seulement en temps de guerre, mais
en pleine paix, quiconque aura quelque accez
à la Cour ou pourra descouurir la Maistresse
d’vn Iuge

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Occurrence 18. Anonyme. LE COMMERCE DES NOVVELLES RESTABLY, OV LE... (1649) chez [s. n.] à Paris , 16 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_718 ; cote locale : C_1_17. Texte édité par Site Admin le 2013-07-07 09:52:27.

iamais sans sa langue, & quand elle n’auoit rien à dire son
esprit malicieux forgeoit sur le champ des nouuelles bonnes ou mauuaises telles qu’elles luy venoient à la bouche,
Mademoiselle flatterie estoit en bonne intelligence auec
cette fine mouche, c’estoit deux testes dans vn bonnet,
l’vne n’alloit iamais sans l’autre, & lors que Gazette estoit
empeschée à faire quelque Relation, celle-cy ne manquoit
point d’estre au prés d’elle, & de luy souffler aux aureilles
les termes dont elle deuoit

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Occurrence 19. Anonyme. LE GRAND DIALOGVE DE LA PAILLE ET DV PAPIER,... (1652 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 26 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1508 ; cote locale : B_8_10. le 2013-07-28 15:53:16.

la nouueauté
de cette harmonie, brayoient comme des
demons : mais tu seruois d’organe à la voix de ce
Dieu pour former les diuers tons & muances qu’il
luy plaisoit sans y rien contribuer de ton genie.
Aussi tu n’as pas le demy quart de la ceruelle d’vne
mouche, & les anciens qui logerent leurs Nymphes
& Deesses par tout, & mesme sous l’escorce
des arbres, n’en ont iamais imaginé sous la tienne
parce que n’y trouuant nul suc elles y fussent mortes
de faim & de soif, & que le vent les eust

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Occurrence 20. Anonyme. LE MANIFESTE DE LA NOBLESSE QVI S’EST... (1651) chez [s. n.] à [s. l.] , 24 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_2357 ; cote locale : B_6_15. Texte édité par Morvan Perroncel le 2013-09-04 00:34:07.

fortune de l’Estat ont
esleué à l’honneur de sa confidence : pour nier cette
verité il faudroit encherir par dessus la flaterie
de ce Courtizan de la Cour de Macedoine, qui disoit
autre fois pour flatter son maistre, qu’il seroit
à propos de diuiniser les mouches qui se repaissoient
du sang d’Alexandre ; & que cette boisson
estant beaucoup plus pretieuse que le Nectar des
Dieux, il ne falloit point douter que celles qui s’en
repaissoient, meritoient d’estre esleuées à l’immortalité. Ie presuppose en second

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Occurrence 21. Anonyme. LE MIROIR FRANÇOIS REPRESENTANT LA FACE DE... (1649) chez [s. n.] à Paris , 15 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_2480 ; cote locale : C_6_22. le 2013-09-21 15:43:02.

Agesilaus, pour s’estre fait respecter plus que
son maistre : Et ceux-cy dans vostre camp, en vostre Cour, sont recherchez
d’vn chacun, non pour les recognoistre dignes de cet honneur,
mais pource qu’ils ont l’argent. Ostez leur la cause, l’effect cessera :
ce sont mouches guespes, faites leur perdre cet esguillon, elles seront
inutiles. Vn Crassus fut apres sa mort plongé dans vn vaisseau plein d’or pour
auoir trop aimé l’or. Faictes que ceux-cy terminent leur vie dans ces
grands tresors, qu’ils ont esté si cupides

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Occurrence 22. Anonyme. LE PLAISANT RAILLEVR DE LA COVR, Sur les... (1649) chez [s. n.] à [s. l.] , 8 pages. Langue : français. Page de titre en page 2.. Référence RIM : M0_2800 ; cote locale : C_9_1. Texte édité par Site Admin le 2013-10-06 10:38:55.

plus d’aigreur que d’intelligence, & qu’ils seruoient plustost à leur interest particulier, que non pas au
soulagement & a l’edification des peuples.   Et pour monstrer que ie dis vray, & que ie ne me
raille pas sans cause de ces mouches guespes, dont
plusieurs ont ressenti les aiguillons : Ie ne vous mets
au deuant des yeux que les impertinences auec lesquelles
ils ont parlé de la Royauté, Ie m’estonne
grandement que ces Messieurs (qui font profession
de sciences) sont si ignorans dans cette

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Occurrence 23. Anonyme. LE QV’ASTV-VEV de la Cour. Ou les contre... (1649 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 7 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_2941 ; cote locale : A_7_11. le 2013-10-20 10:17:39.

& pour auoir conseillé l’extinction du Prest. Duquel i’ay veu
les sieurs Bonneau, la Railliere & Catelan ne se plus soucier
en demandant eux mesmes la suppression. Enfin i’ay veu les
filles de la Reine, n’aimer plus à parler à personne, bannir les
mouches & les affiquets, & les gens de guerre ne plus voler,
brusler, ny violer, veu la deffence qu’on leur en a faicte.   Il commença ces discours au commencement du Cours, &
nous estions à la porte de la Conference quand il l’acheua, & là
ie le

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Occurrence 24. Anonyme. LE RETORQVEMENT DV FOVDRE DE IVPINET, CONTRE... (1649) chez [s. n.] à Paris , 26 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : M0_3526 ; cote locale : C_7_59. le 2013-12-08 08:21:11.

confonds toy-mesme
dans ta Babel. Icare temeraire, tu presume d’aborder
le char triõphant du Soleil de iustice ;
mais en te precipitant, il t’abismera. Petit Caligula, tu veux imiter le grand Dieu
tonnant, par ton bruit artificiel ; mais à peine les
mouches s’en remuënt-elles. Tu sçauois bien, dis-tu, qu’il me seroit impossible de respondre à ta Censure, sans faire paroistre
mon insuffisance ; Et ie n’eusse iamais pensé que tu
eusse esté si effronté de paroistre derechef au iour
auec les

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Occurrence 25. Anonyme. LE ROMAN DES ESPRITS REVENVS A S. GERMAIN.... (1649) chez [s. n.] à [s. l.] , 16 pages. Langue : français. Voir aussi C_9_86. Sur l'imprimé à Paris.. Référence RIM : M0_3559 ; cote locale : E_1_78. le 2013-12-09 13:51:11.

le Card. &
pour auoir conseillé l’extinction du Prest. Duquel i’ay veu les sieurs
Bonneau, la Railliere & Catelan ne se plus soucier en demandant
eux mesmes la suppression. Enfin i’ay veu les filles de la Reine, n’aimer
plus à parler à personne, bannir les mouches & les affiquets, &
les gens de guerre ne plus voler, brusler, ny violer, veu la deffence
qu’on leur en a faicte.   Il commença ces discours au commencement du Cours, & nous
estions à la porte de la Conference quand il l’acheua, & là ie le

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