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Rechercher dans le corpus des Mazarinades
(262 occurrences trouvées)

Résultat de votre recherche de l'expression "prince.? prison" dans le corpus des Mazarinades :


Occurrence 1. Anonyme. CONSEIL NECESSAIRE DONNÉ AVX BOVRGEOIS de... (1649) chez Besogne (Cardin) à Paris , 8 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_760 ; cote locale : C_1_32. le 2012-05-12 15:49:58.

l’assistance du Ciel, car au contraire elle
est condamnable deuant Dieu, & deuant les hommes, & sans
doute vous deuez esperer, Messieurs, la continuation des graces
cœlestes : car y a-il pas lieu d’admirer que ce tyran insupportable
apres auoir tenu dans vne prison de cinq à six années vn
des plus genereux Princes du Monde, les delices & la ioye de
Paris que Dieu en vn moment en faueur de son innocence ait
rompu ses fers & l’ait mis en estat de poursuiure la vengeance de
l’outrage qui luy est fait, & la perte de son persecuteur ? Comment
est-il possible que

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Occurrence 2. Anonyme. CONTRE-VERITEZ DV VRAY, ET DV FAVX DV... (1652) chez [s. n.] à Paris , 16 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_789 ; cote locale : B_10_16. Texte édité par Site Admin le 2012-05-20 15:32:44.

de diuerses conjonctures
ne s’y trouuoient pas disposées, & vous ne pûtes souffrir
que Monsieur le Prince pacifia les choses dans vn temps
où il ne pouuoit pas dauantage. C’est ce que vous passez
si delicatement pour venir aux feux de joye que l’on fit
de la prison de Monsieur le Prince, que vous auez poursuiuie
auec tant d’instance, & fait executer auec tant
de rigueur; vous pensiez d’vn costé vous venger de Monsieur
le Prince par sa detention, & de l’autre receuoir
du Mazarin tous les aduantages que vous en esperiez :
mais vos

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Occurrence 3. Anonyme. CONTRE-VERITEZ DV VRAY, ET DV FAVX DV... (1652) chez [s. n.] à Paris , 16 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_789 ; cote locale : B_10_16. Texte édité par Site Admin le 2012-05-20 15:32:44.

de diuerses conjonctures
ne s’y trouuoient pas disposées, & vous ne pûtes souffrir
que Monsieur le Prince pacifia les choses dans vn temps
où il ne pouuoit pas dauantage. C’est ce que vous passez
si delicatement pour venir aux feux de joye que l’on fit
de la prison de Monsieur le Prince, que vous auez poursuiuie
auec tant d’instance, & fait executer auec tant
de rigueur; vous pensiez d’vn costé vous venger de Monsieur
le Prince par sa detention, & de l’autre receuoir
du Mazarin tous les aduantages que vous en esperiez :
mais vos esperances furent deceuës par ses fourbes ordinaires :
ce que l’on vous offroit n’estoit pas ce que vous
demandiez, ce que vous eussiez receu eust bien

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Occurrence 4. Anonyme. DISCOVRS SVR LE SVIET DES DEFIANCES DE... (1651) chez Vivenay (Nicolas) à Paris , 24 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : M0_1150 ; cote locale : B_6_14. Texte édité par Site Admin le 2012-10-07 16:28:49.

formé le
crime, ou plustost le malheur
de ceux qui les ont faites ;
ce qui a obligé cét Illustre Historien de
dire, qu’ils ne deuoient pas moins apprehender
vne grande reputation, qu’vne mauuaise ; Nous
pouuons asseurer sans exaggeration, que Monsieur
le Prince fait en nostre siecle vne rude experience
de cette verité ; si deuant sa prison il gagne
des batailles & force l’Espagne & l’Empire
à demander la paix, on publie qu’il faut craindre
les suites de tant de succés advantageux ;
des prosperitez, dont Dieu benit sa conduite
dans les Armées, l’on en fait le sujet de sa

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Occurrence 5. Anonyme. DISCOVRS SVR LE SVIET DES DEFIANCES DE... (1651) chez Vivenay (Nicolas) à Paris , 24 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : M0_1150 ; cote locale : B_6_14. Texte édité par Site Admin le 2012-10-07 16:28:49.

on luy fait vn crime de sa modestie, tant est
veritable, ce que i’ay dit au commencement de
ce Discours : Militaris gloria cupido ingrata temporibus
quibus sinistra erga eminentes interpretation, nec
minus persecutum exmagnâ famâ quàm ex mala.   La prison de ce Prince, & qui peut passer pour
vne oppression, non moins sans exemple que
sans raison, sembloit auoir fermé la bouche à la
médisance, & les ennemis honteux de leur persecution,
non moins iniurieuse aux loix qu’outrageuse
à sa vertu, & à ses grands

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Occurrence 6. Anonyme. DISCOVRS SVR LE SVIET DES DEFIANCES DE... (1651) chez Vivenay (Nicolas) à Paris , 24 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : M0_1150 ; cote locale : B_6_14. Texte édité par Site Admin le 2012-10-07 16:28:49.

soit pour ses amis ? Et bien qu’il ait declaré
au Parlement de Paris & à tous les autres du
Royaume, Qu’il n’auoit aucune pretention, & qu’il
ne cherchoit que sa seureté, & celle du public par
l’esloignement des personnes qui auoient conseillé
sa prison & toutes les violences passées, & que l’on
sçauoit d’ailleurs fauoriser le retour du Cardinal
Mazarin, on ne laisse pas d’assurer que ce n’est qu’vn
artifice & vn pretexte ; Et cét esloignement qui
auoit paru si necessaire aux gens de bien, lors de la
proscription de ce Cardinal deuient suspect, &
passe pour vne entreprise sans raison, parce que c’est
Monsieur le Prince qui le propose. Mais ie demanderois volontiers, si ces Messieurs sont deuenus innocens, parce que ce ne sont plus
ceux qui distribuent la bonne ou mauuaise Reputation
de puis trois ans, qui accusent leur conduite ;
Ne sont-ce pas les mesmes artisans de

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Occurrence 7. Anonyme. DISCOVRS SVR LE SVIET DES DEFIANCES DE... (1651) chez Vivenay (Nicolas) à Paris , 24 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : M0_1150 ; cote locale : B_6_14. Texte édité par Site Admin le 2012-10-07 16:28:49.

plus salutaires, passans pour des poisons les plus
dangereux, parce que c’est la main de ce Prince qui
les presente. Enfin s’il trauaille a establir sa seureté, qui est
celle de Monsieur le Duc d’Orleans & de tout l’Estat,
& pour laquelle apres vne prison de treize
mois, & ce qui s’est passe depuis sa liberté, on ne
peut pas trouuer estrange qu’il apporte les dernieres
precautions ; l’on dit qu’il manque de respect
enuers sa Majesté, & l’ont traitte de desobeyssance,
le refus qu’il fait de porter sa teste à ses Ennemis,
qui assiegent il y a long temps le Palais
Royal, & qui possedent l’esprit de la Reyne, laquelle
ne reçoit d’impression de la conduite de ce Prince, que celle qu’ils luy donnent toûjours
à son desauantage, parce qu’ils ne peuuent
souffrir, que personne entre en partage
de leur pouuoir.   Mais, dit-on, il est bien extraordinaire, que
l’on authorise par vne Declaration des proscriptions
&

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Occurrence 8. Anonyme. DIVERSES PIECES DE CE QVI S’EST PASSÉ A... (1649 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 20 pages. Langue : français. Voir aussi A_1_5 et D_2_5. Référence RIM : M0_1160 ; cote locale : E_1_110. le 2012-10-08 08:43:32.

puissent entrer dans cette grande Chambre pour y
prononcer des Arrests contre nostre authorité, où autrefois
elle estoit receüe auec tant de veneration. Qu’ils se representent
vne fois, que ceux qui ont tenu leurs places si dignement,
ont choisi plustost l’exil & la prison, que de manquer
à leur deuoir & à l’obligation de seruir leur Roy ; mais ils
ne se sont pas contentez de se soustraire de nostre obeїssance,
ils ont trauaillé par leur caballes d’en tirer ceux qui
estoient les plus obligez par leur naissance & par le rang
qu’ils tiennent dans le Royaume, à nous honnorer & à nous
seruir, nous voulons dire le Prince de Conty, qui auoit
grand sujet de demeurer reüny à la Maison Royalle par l’exemple
de nostre tres cher & tres amé Cousin le Prince de
Condé son Frere, qui continuë de jour en jour de faire paroistre
par ses signalés seruices, le zele qu’il a

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Occurrence 9. Anonyme. DIVERSES PIECES DE CE QVI S’EST PASSÉ A... (1649 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 20 pages. Langue : français. Voir aussi A_1_5 et D_2_5. Référence RIM : M0_1160 ; cote locale : E_1_110. le 2012-10-08 08:43:32.

puissent entrer dans cette grande Chambre pour y
prononcer des Arrests contre nostre authorité, où autrefois
elle estoit receüe auec tant de veneration. Qu’ils se representent
vne fois, que ceux qui ont tenu leurs places si dignement,
ont choisi plustost l’exil & la prison, que de manquer
à leur deuoir & à l’obligation de seruir leur Roy ; mais ils
ne se sont pas contentez de se soustraire de nostre obeїssance,
ils ont trauaillé par leur caballes d’en tirer ceux qui
estoient les plus obligez par leur naissance & par le rang
qu’ils tiennent dans le Royaume, à nous honnorer & à nous
seruir, nous voulons dire le Prince de Conty, qui auoit
grand sujet de demeurer reüny à la Maison Royalle par l’exemple
de nostre tres cher & tres amé Cousin le Prince de
Condé son Frere, qui continuë de jour en jour de faire paroistre
par ses signalés seruices, le zele qu’il a pour la grandeur
de nostre Couronne, & qu’il employe auec tant de generosité,
pour la deffendre contre les attentats de nos Subjets

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Occurrence 10. Anonyme. DIVERSES PIECES DE CE QVI S’EST PASSÉ A... (1649 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 20 pages. Langue : français. Voir aussi D_2_5 et E_1_110. Référence RIM : M0_1160 ; cote locale : A_1_5. Texte édité par Morvan Perroncel le 2012-10-08 08:46:43.

puissent entrer dans cette grande Chambre pour y
prononcer des Arrests contre nostre authorité, où autrefois
elle estoit receüe auec tant de veneration. Qu’ils se representent
vne fois, que ceux qui ont tenu leurs places si dignement,
ont choisi plustost l’exil & la prison, que de manquer
à leur deuoir & à l’obligation de seruir leur Roy; mais ils
ne se sont pas contentez de se soustraire de nostre obeïssance,
ils ont trauaillé par leur caballes d’en tirer ceux qui
estoient les plus obligez par leur naissance & par le rang
qu’ils tiennent dans le Royaume, à nous honnorer & à nous
seruir, nous voulons dire le Prince de Conty, qui auoit
grand sujet de demeurer reüny à la Maison Royalle par l’exemple
de nostre tres cher & tres-amé Cousin le Prince de
Condé son Frere, qui continuë de jour en jour de faire paroistre
par ses signalés seruices, le zele qu’il a

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Occurrence 11. Anonyme. DIVERSES PIECES DE CE QVI S’EST PASSÉ A... (1649 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 20 pages. Langue : français. Voir aussi D_2_5 et E_1_110. Référence RIM : M0_1160 ; cote locale : A_1_5. Texte édité par Morvan Perroncel le 2012-10-08 08:46:43.

puissent entrer dans cette grande Chambre pour y
prononcer des Arrests contre nostre authorité, où autrefois
elle estoit receüe auec tant de veneration. Qu’ils se representent
vne fois, que ceux qui ont tenu leurs places si dignement,
ont choisi plustost l’exil & la prison, que de manquer
à leur deuoir & à l’obligation de seruir leur Roy; mais ils
ne se sont pas contentez de se soustraire de nostre obeïssance,
ils ont trauaillé par leur caballes d’en tirer ceux qui
estoient les plus obligez par leur naissance & par le rang
qu’ils tiennent dans le Royaume, à nous honnorer & à nous
seruir, nous voulons dire le Prince de Conty, qui auoit
grand sujet de demeurer reüny à la Maison Royalle par l’exemple
de nostre tres cher & tres-amé Cousin le Prince de
Condé son Frere, qui continuë de jour en jour de faire paroistre
par ses signalés seruices, le zele qu’il a pour la grandeur
de nostre Couronne, & qu’il employe auec tant de generosité,
pour la deffendre contre les attentats de nos Subjets

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Occurrence 12. Anonyme. EXTRAICT DES REGISTRES DV PARLEMENT,... (1652) chez Les imprimeurs et libraires ordinaires du roi à Paris , 50 pages. Langue : français. Avec privilège.. Référence RIM : M0_1351 ; cote locale : B_11_29. Texte édité par Site Admin le 2012-10-20 11:10:13.

le cõmerce, diuerty le fonds des Rentes,
desquelles beaucoup de pauures viuent, & qui font la meilleure partie
du bien de plusieurs riches ; mescontenté vos Alliez, mesmes les
Suisses, destournant les deniers destinez à leur solde ; fait emprisonner
Messieurs les Princes de Condé & de Conty, & le Duc de
Longueuill sur des conjectures legeres, s’imaginant qu’vn attentat
de cette nature ne produiroit aucune alteration dans le Royaume,
& qu’on laisseroit souffrir en prison le Sang Royal, sans en
considerer l’importance ; interdit le Parlement de Bourdeaux par
mauuais conseils, & contraint la Ville & la Prouince à prendre les
Armes ; abandonné aux Espagnols non seulement la Champagne,
mais l’Isle de France & les enuirons

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Occurrence 13. Anonyme. EXTRAICT DES REGISTRES DV PARLEMENT,... (1652) chez Les imprimeurs et libraires ordinaires du roi à Paris , 50 pages. Langue : français. Avec privilège.. Référence RIM : M0_1351 ; cote locale : B_11_29. Texte édité par Site Admin le 2012-10-20 11:10:13.

à leur solde ; fait emprisonner
Messieurs les Princes de Condé & de Conty, & le Duc de
Longueuill sur des conjectures legeres, s’imaginant qu’vn attentat
de cette nature ne produiroit aucune alteration dans le Royaume,
& qu’on laisseroit souffrir en prison le Sang Royal, sans en
considerer l’importance ; interdit le Parlement de Bourdeaux par
mauuais conseils, & contraint la Ville & la Prouince à prendre les
Armes ; abandonné aux Espagnols non seulement la Champagne,
mais l’Isle de France & les enuirons de Paris, lors que vos meilleures
Troupes estoient employées pour accabler vos Subjets ; fait traduire
les Princes prisonniers en la Citadelle du Havre, lieu incommode
à leur santé, dont ils pouuoient estre aisément enuoyez hors du
Royaume ; couuert tous ses conseils precipitez ou temeraires du pretexte
specieux de vostre authorité Royale, sans auoir appris en
quoy elle

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Occurrence 14. Anonyme. IOVRNAL ET ECLAIRCISSEMENT, des affaires... (1652) chez Pétrinal (Jean) à Paris , 8 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1761 ; cote locale : B_18_8. le 2012-11-09 02:39:17.

sa fureur contre ceux qui s’estoient
opposés a ses violences. Il a par vne impieté sans
exemple tourné sa rage contre vn Prince du sang, lequel
auoit esté son protecteur. Par vne trahison la plus detestable
qui se puisse trouuer parmy les hommes il a fait arrester
le Prince de Condé, le Prince de Conty, & le Duc de Longeville,
& publier en mesme temps vne Declaration pleine de
faussetez & de Calomnies, le rigueurs que ces trois Illustres
Innocens ont souffert dans leur Prison furent extremes, vn
homme cruel & barbare en eust la garde du quel ils n’apprenoient
d’autre nouuelles que celles qui les pouuoient affliger.
Il les fit transferer dans vn lieu qui fut tout à sa diposition
quoyque mal sain & apres que la Cour eust

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Occurrence 15. Anonyme. IOVRNAL ET ECLAIRCISSEMENT, des affaires... (1652) chez Pétrinal (Jean) à Paris , 8 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1761 ; cote locale : B_18_8. le 2012-11-09 02:39:17.

qui s’estoient
opposés a ses violences. Il a par vne impieté sans
exemple tourné sa rage contre vn Prince du sang, lequel
auoit esté son protecteur. Par vne trahison la plus detestable
qui se puisse trouuer parmy les hommes il a fait arrester
le Prince de Condé, le Prince de Conty, & le Duc de Longeville,
& publier en mesme temps vne Declaration pleine de
faussetez & de Calomnies, le rigueurs que ces trois Illustres
Innocens ont souffert dans leur Prison furent extremes, vn
homme cruel & barbare en eust la garde du quel ils n’apprenoient
d’autre nouuelles que celles qui les pouuoient affliger.
Il les fit transferer dans vn lieu qui fut tout à sa diposition
quoyque mal sain & apres que la Cour eust

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Occurrence 16. Anonyme. LA DISCVSSION DES QVATRE CONTROVERSES... (1652 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 24 pages. Langue : français, latin. Pièce 10 des 52 de Carrier. Référence RIM : M0_1154 ; cote locale : B_2_32. Texte édité par Patrick Rebollar le 2012-11-18 14:13:29.

de la raison, comme il arriua à Charles VI. lequel
allant faire la guerre contre le Duc de Bretagne,
fut surpris d’vne fievre chaude qui le mit au
lict, & lui laissa vne manie qui le rendit incapable
du Gouuernement. La troisiesme est l’esloignement
du Prince ou volontaire, cõme quand Louys
IX. entreprit le voyage de la terre Saincte, ayant
laissé le Gouuernement entre les mains de sa mere
la Royne Blanche, ou inuolontaire, comme durant
la prison du Roy Iean & de François I. Or graces
au bon Dieu, nostre Monarque n’a aucun de ces
trois empeschemens. Il est Majeur, il est sain de
corps & d’esprit, il est au milieu de son Royaume ?
& neantmoins on n’a pas laissé de proposer au Parlement

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Occurrence 17. Anonyme. LA GENEALOGIE DV PRINCE. ET COMME TOVS CEVX... (1650) chez Charles (N.) à Paris , 6 pages. Langue : français. Sans page de titre. Informations éditoriales au colophon. Voir aussi A_9_36. Référence RIM : M0_1477 ; cote locale : D_2_32. le 2012-11-26 07:06:39.

luy eut fait
aualer du poison pour s’en deffaire. Et pour punir
vne action si equitable, ceux de la Rochelle condamnerent
le Medecin & le Cuisinier à mort, à
cause qu’ils auoient seruy de moyen pour arriuer
à vne fin si glorieuse ; & la Princesse à vne prison
perpetuelle, qui estoit S. Iean d’Angely, où elle
accoucha de Henry, dit le Bourbon, pere de celuy-cy,
treize ou quatorze mois apres la mort de
ce miserable Prince. Car Henry de Bourbon fut
esleué en la Religion Pretenduë Reformée auec
sa mere, iusques en l’an mil cinq cens nonante
six qu’elle se conuertist auec son fils en la Religion
Catholique, Apostolique & Romaine. Ledit
Prince, pour ne degenerer en

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Occurrence 18. Anonyme. LA GENEALOGIE DV PRINCE. ET COMME TOVS CEVX... (1650) chez Charles (N.) à Paris , 6 pages. Langue : français. Sans page de titre. Informations éditoriales au colophon. Voir aussi D_2_32. Référence RIM : M0_1477 ; cote locale : A_9_36. le 2012-11-26 07:10:20.

luy eut fait
aualer du poison pour s’en deffaire. Et pour punir
vne action si equitable, ceux de la Rochelle condamnerent
le Medecin & le Cuisinier à mort, à
cause qu’ils auoient seruy de moyen pour arriuer
à vne fin si glorieuse; & la Princesse à vne prison
perpetuelle, qui estoit S. Iean d’Angely, où elle
accoucha de Henry, dit de Bourbon, pere de celuy-cy,
treize ou quatorze mois apres la mort de
ce miserable Prince. Cét Henry de Bourbon fut
esleué en la Religion Pretenduë Reformée auec
sa mere, iusques en l’an mil cinq cents nonante-six,
qu’elle se conuertist auec son fils en la Religion
Catholique, Apostolique, & Romaine. Ledit
Prince, pour ne degenerer

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Occurrence 19. Anonyme. LA GVERRE DECLAREE AV CARDINAL MAZARIN. (1650) chez [s. n.] à [s. l.] , 8 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1526 ; cote locale : D_1_28. le 2012-11-30 10:07:55.

allume la Guerre Ciuile qui est ennemy de la
Maison Royalle, la Nogotie, dans cette conformité d’intentions
nous nous obligeons reciproquement par vn traicté solemnel
de ne poser iamais les armes & de n’entendre iamais à autre proposition
d’accommodement que les Princes ne soient libres,
comme aussi les Espagnols declarent que dés le moment qu’ils
seront libres & sortis de prison, ils se remettront entierement
quand aux conditions de la conclusion de la paix à Monsieur le
Duc d’Orleans & à Monsieur le Prince qu’ils en feront les Arbitres,
tout ce traicté se rapporte à ces deux point l, si n veut vous
en donner quelque impression elle

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Occurrence 20. Anonyme. LA GVERRE DECLAREE AV CARDINAL MAZARIN. (1650) chez [s. n.] à [s. l.] , 8 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1526 ; cote locale : D_1_28. le 2012-11-30 10:07:55.

obligeons reciproquement par vn traicté solemnel
de ne poser iamais les armes & de n’entendre iamais à autre proposition
d’accommodement que les Princes ne soient libres,
comme aussi les Espagnols declarent que dés le moment qu’ils
seront libres & sortis de prison, ils se remettront entierement
quand aux conditions de la conclusion de la paix à Monsieur le
Duc d’Orleans & à Monsieur le Prince qu’ils en feront les Arbitres,
tout ce traicté se rapporte à ces deux point l, si n veut vous
en donner quelque impression elle est fauce, ainsi doncques
puisque les repos des peuples, & l’vnion des deux Couronnes
sont attachez à la personne de Monsieur le

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Occurrence 21. Anonyme. LA GVERRE DECLAREE AV CARDINAL MAZARIN. (1650) chez [s. n.] à [s. l.] , 8 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1526 ; cote locale : D_1_28. le 2012-11-30 10:07:55.

obligeons reciproquement par vn traicté solemnel
de ne poser iamais les armes & de n’entendre iamais à autre proposition
d’accommodement que les Princes ne soient libres,
comme aussi les Espagnols declarent que dés le moment qu’ils
seront libres & sortis de prison, ils se remettront entierement
quand aux conditions de la conclusion de la paix à Monsieur le
Duc d’Orleans & à Monsieur le Prince qu’ils en feront les Arbitres,
tout ce traicté se rapporte à ces deux point l, si n veut vous
en donner quelque impression elle est fauce, ainsi doncques
puisque les repos des peuples, & l’vnion des deux Couronnes
sont attachez à la personne de Monsieur le Prince & que desormais
ces choses dependent de sa liberté. Il faut necessairement
que ceux qui l’empescheront se declarent ennemis de la France
& qu’ils se rendent odieux a toute la Chrestienté, c’est pourquoy
nous protestons deuant Dieu & deuant les hommes

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Occurrence 22. Anonyme. LA TRES-HVMBLE ET VERITABLE REMONSTRANCE DE... (1652) chez Chevalier (Jacob) à Paris , 20 pages. Langue : français. Avec permission des députés.. Référence RIM : M0_3808 ; cote locale : B_12_62. le 2012-12-30 15:55:52.

Commerce ; diuerty le fond des rentes,
desquelles beaucoup de pauures viuent, & qui font la
meilleure partie du bien de plusieurs riches : mescontenté
vos Alliez, mesmes les Suisses, destournant les deniers
destinées à leur solde ; fait emprisonner Messieurs
les Princes de Condé, de Conty, & Duc de Longueville,
sur des coniectures legeres, s’imaginant qu’vn attentat
de cette nature, ne produiroit aucune alteration
dans ce Royaume, & qu’on laisseroit souffrir en prison
ce sang Royal, sans en considerer l’importance ; interdit le Parlement de Bordeaux par mauuais conseils, & contraint
la Ville, & la Prouince à prendre les armes ; abandonné
aux Espagnols, non seulement la Champagne,
mais l’Isle de France,

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Occurrence 23. Anonyme. LA TRES-HVMBLE ET VERITABLE REMONSTRANCE DE... (1652) chez Chevalier (Jacob) à Paris , 20 pages. Langue : français. Avec permission des députés.. Référence RIM : M0_3808 ; cote locale : B_12_62. le 2012-12-30 15:55:52.

destinées à leur solde ; fait emprisonner Messieurs
les Princes de Condé, de Conty, & Duc de Longueville,
sur des coniectures legeres, s’imaginant qu’vn attentat
de cette nature, ne produiroit aucune alteration
dans ce Royaume, & qu’on laisseroit souffrir en prison
ce sang Royal, sans en considerer l’importance ; interdit le Parlement de Bordeaux par mauuais conseils, & contraint
la Ville, & la Prouince à prendre les armes ; abandonné
aux Espagnols, non seulement la Champagne,
mais l’Isle de France, & les enuirons de Paris, lors
que vos meilleurs trouppes estoient employées pour accabler
vos suiets ; fait traduire les Princes prisonniers en
la Citadelle du Haure, lieu incommode à leur santé,
dont ils pouuoient estre aisément enuoyées hors du
Royaume ; couuert tous ses conseils precipitez & temeraires,
du pretexte specieux de vostre authorité
Royalle, sans auoir appris en quoy

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Occurrence 24. Anonyme. LA VERITABLE CONDVITE DV COVRTISAN GENEREVX. (1649) chez Preuveray (François) à Paris , 14 pages. Langue : français. Voir aussi A_5_107. Référence RIM : M0_3925 ; cote locale : C_1_18. le 2012-12-31 15:55:17.

de ses mœurs mettront
son innocence à l’abry de la calomnie, & quelques richesses
qu’il possede par la faueur du Prince, il les employera toutes
au seruice de l’Estat, & du public. Oüy certes ce seroit auoir
trop mauuaise opinion de ceux qui sont aupres des Princes,
que de les croire ou malheureux, ou imprudens : ce seroit
noircir d’infamie le plus noble employ du monde, de dire
qu’il ne puisse estre exercé que par des hommes lasches ; &
ce seroit faire passer la Cour pour vne prison, où l’on ne voit
que des criminels, ou des desesperez. Non non, la Cour n’a
rien que d’agreable pour ceux qui la connoissent bien, &
les pretensions du genereux Courtisan, que le vulgaire blâme
ou mesprise, sont tres-nobles, tres-releuées, &

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Occurrence 25. Anonyme. LA VERITABLE CONDVITE DV COVRTISAN GENEREVX. (1649) chez Preuveray (François) à Paris , 14 pages. Langue : français. Voir aussi C_1_18. Référence RIM : M0_3925 ; cote locale : A_5_107. le 2012-12-31 15:56:38.

de ses mœurs mettront
fon innocence à l’abry de la calomnie, & quelques richesses
qu’il possede par la faueur du Prince, il les employera toutes
au seruice de l’Estat, & du public. Oüy certes ce seroit auoir
trop mauuaise opinion de ceux qui sont aupres des Princes,
que de les croire ou malheureux, ou imprudens: ce seroit
noircir d’infamie le plus noble employ du monde, de dire
qu’il ne puisse estre exercé que par dés hommes lasches; &
ce seroit faire passer la Cour pour vne prison, où l’on ne voit
que des criminels, ou des desesperez Non non, la Cour n’a
rien que d’agreable pour ceux qui la connoissent bien, &
les pretensions du genereux Courtisan, que le vulgaire blâme
ou mesprise, sont tres-nobles, tres-releuées, &

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